Après "Un traître mot" et "Hôtel Beauregard", Thomas Clavel, enseignant et écrivain, signe son troisième opus "Le jardin des femmes perdues". Victor Sabran est un coureur de femmes. Magali Bavoir, sa voisine de palier, se rêve croqueuse d’hommes. Lui, est un bourreau des cœurs en guerre contre le féminisme conquérant, enragé et totalitaire. Elle, est l’archétype de ces misandres qui monopolisent les petits écrans et qui se désignent comme les victimes autoproclamées d’une société misogyne et patriarcale. Puisant ses références chez Barbey d’Aurevilly, Flaubert et d’Annunzio, Thomas Clavel offre un portrait féroce des penchants de notre société à travers deux personnages clivants qui nous font parcourir les sentiers diaboliques de la convoitise.
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