L’Arcom (ex-CSA) note que des personnes blanches et aisées apparaissent bien plus que celles issues de l’immigration et de catégories sociales moins fortunées.
« La République est une et indivisible ; elle doit l’être aussi dans sa représentation sur les écrans. » Cet impératif, énoncé par Carole Bienaimé Besse, membre de l’Arcom (ex-CSA), fait office de chimère pour la télévision. En un peu plus d’une décennie, elle n’a que peu progressé et préfère toujours montrer à l’antenne des personnes blanches appartenant à des catégories sociales aisées et vivant dans des grandes villes plutôt que celles issues de l’immigration, de catégories sociales inférieures et vivant à la campagne, conclut le rapport annuel établi par le régulateur de l’audiovisuel. Celui-ci s’est appuyé sur 1 800 heures de programmes tous genres confondus visionnés sur dix-neuf chaînes de la télévision numérique terrestre en 2021. « On voit qu’il reste extrêmement difficile pour les éditeurs de représenter la société française », se désole Carole Bienaimé Besse, également productrice.
En 2021, la situation a même empiré pour « les personnes perçues comme “non blanches” ». Leur taux de représentation est passé en un an de 16 % à 14 %, notamment en raison des chaînes d’information en continu, où le taux n’a pas dépassé les 10 %, à l’exception de BFM-TV (14 %). Non contentes d’avoir été sensiblement moins représentées dans les programmes d’information, les personnes de couleur y ont tenu en 2021, dans 43 % des cas, un rôle négatif, soit un bond de 11 points en un an.
Une occasion manquée, observe l’Arcom, alors que l’actualité française, dominée l’an passé par des sujets grand public comme la stratégie vaccinale, constituait « un terrain propice à la juste représentation de la société française ». « Dès qu’on baisse la garde, on voit bien que le naturel revient au galop », poursuit Carole Bienaimé Besse, qui évoque toutefois des progrès accomplis en matière de fiction. « Les rôles proposés sont moins stéréotypés dans les fictions et laissent la part belle aux rôles positifs et de héros. »
Ce truc a été voté en 2009. L’annexe 3 est assez dingue. Ce sont les engagements de chaque groupe médiatique privé (TF1/M6/Canal+) pris auprès du CSA. Ils sont contrôlés sur ces objectifs. pic.twitter.com/cdhKeQjZ5U
— Peter Columns (@PeterColumns) July 19, 2022
Extrait de: Source et auteur
“Pas d’ARCOM ! Yen a plus ! Fallait pas jouer le mauvais chameau !” aurait dit Louis de Funès.
Depuis quelques temps il y a beaucoup de personnes de couleurs à la télévision !
Avant il y avait la télévision en noir et blanc : jamais eu de problèmes !
Maintenant qu’elle est en couleurs, tous les problèmes et défauts apparaissent.
Avant on était un peu bronzé grâce au soleil de l’été ça passait, maintenant avec la couleur on nous demande si on sort de la soute à charbon … !!
REGARDANT PAR HASARD UNE TELE ZAIROISE, PAS UN BLANC !!!!
QUE FAIT L’ARCOM ????
Où est le problème ? Si cela ne convient pas, il faut retourner à la source.
Le créateur du monde a bien fait son travail. En fonction du contexte il a placé les gens avec la couleur sombre dans une certaine région du monde. Ceux avec la couleur plus claire ont été installés dans une autre région. Il faut respecter la travail du créateur.
Le coût social de ces déplacements est énorme.
Ils sont déjà sur représenté dans les agressions et vols !!!
On oublie les tendances politiques, les LGTBX+, les culs-de-jatte, les bègues, les papistes, etc. Il faudrait pour compliquer un maximum toutes nos démarches, fixer des quotas afin que chaque minorité soit représentée et bannir toute forme de compétence.
Si les médias se donnaient la peine de relater tous les faits divers (attaques au couteau, larcins, agressions, vols, viols, etc) tout en mentionnant diligemment l’origine ethnique, la minorité aurait une visibilité médiatique qui dépasse largement son pourcentage dans la population .
Mais on dira encore que les statistiques sont racistes.