Premier conflit entre la rédaction de l’hebdomadaire et son nouvel actionnaire, l’homme d’affaires Vincent Bolloré. La raison ? La une du prochain numéro, en kiosque jeudi, consacrée au très réac cardinal Robert Sarah.
Alors que le pape François, 85 ans, souffre de douleurs au genou, qu’il a annulé un voyage en Afrique prévu début juillet et qu’il se déplace en fauteuil roulant, les rumeurs se propagent à vitesse grand V au Vatican : il aurait un cancer, serait sur le point de démissionner… Le 4 juillet, le souverain pontife a mis le holà, en démentant ces deux assertions dans un entretien à l’agence Reuters : « Cela ne m’a jamais effleuré l’esprit. Pour le moment, non, pour le moment, non. Vraiment ! » C’est pourtant le moment que choisit « Paris Match » pour mettre en vedette, en couverture et en pied, avec la coupole de Vatican en arrière-plan, dans le numéro en kiosque jeudi 7 juillet, l’un de ses principaux opposants : l’ensoutané et très réac cardinal Robert Sarah, 77 ans. Pour le grand public, un parfait inconnu dont on doute qu’il fasse exploser les ventes. Mais pas pour l’homme d’affaires Vincent Bolloré, actionnaire de l’hebdomadaire, dont il se dit qu’il a déjeuné avec lui voici quelques jours.
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Pourquoi tous ces journal(eux)istes ne démissionent pas ??
Le Vatican met toutes ses forces et même celles du Seigneur au service de l’immigration de masse. On comprend qu’une sainteté du troisième type face tache en couverture d’un média qui sanctifie l’idéologie gauchiste.