Quand Vert rime avec sectaire
Les Verts tiennent à interdire tout ce qui ne correspond pas à leur conception du monde. Leur cible favorite, c’est la campagne. Car le Vert vit en ville, bénéficiant de toutes les commodités. Il peut affirmer que le transport individuel n’est qu’une forme d’égoïsme et doit donc être hautement taxé. Et quand les taxes ne suffisent pas, il suffit de créer artificiellement ralentissements et bouchons, histoire de contrarier la vie de ceux qui ne veulent pas prendre le bus.
Le Vert est souvent un scientifique, ayant lu le « Que-sais-je » sur l’agriculture. Il maîtrise ainsi le travail de la terre, à l’inverse des agriculteurs qui pensent naïvement que leur métier consiste à nourrir la population. Il n’en est rien. La campagne, c’est un lieu de délassement pour les urbains qui tiennent à leurs dimanches dans la verdure, là où ils oublient souvent de ramasser les rebus du pique-nique.
Aujourd’hui, toujours animés de leur haine du paysan, les Verts annoncent qu’ils attendent de leurs candidats et élus qu’ils se passent de viande lors des repas liés à leur fonction. On le sait, les éleveurs sont pour l’essentiel de vils personnages retenant leur cheptel dans des conditions dignes de l’enfer.
Le Vert les voit bien, le dimanche, à la campagne, ces troupeaux qui paissent dans les pâturages, honteusement exploités pour leur lait, leur viande et dont les flatulences provoquent une masse de CO2. En plus, ces bestioles se soulagent n’importe où, déposant des bouses dans lesquelles le Vert salit ses mocassins.
Il faut montrer l’exemple. En renonçant à la viande, on finira enfin par reconvertir les agriculteurs en véritables promoteurs de la nature, entretenant leurs géraniums aux fenêtres pour réjouir les touristes. Hélas, il y a toujours un pisse-froid pour rappeler que sous nos latitudes, le bétail est un acteur important pour ce qui est de la préservation de la terre et du paysage. On n’appelle pas les pâturages ainsi pour rien.
Le monde que les Verts nous préparent ressemble de plus en plus à la peu regrettée Union soviétique. Les écolos sont aussi crédibles en matière d’agriculture que l’était un modèle du genre, Trofim Lyssenko, ce héros du pays des travailleurs ayant substitué la lutte des classes à la génétique végétale. Lui aussi était un fervent partisan de la dictature verte, ayant veillé à ce que nombre de véritables spécialistes soient envoyés au goulag voire au poteau.
Seul celui qui n’a jamais eu faim peut se permettre de traiter l’agriculture avec un tel mépris. Et le Vert n’a jamais eu faim, lui qui trouve toujours du bio en suffisance dans la petite boutique où il fait ses emplettes. Mais la guerre en Ukraine pourrait bien raréfier la marchandise en rayon. Et ce jour-là, pourvu que les Verts continuent à se passer de viande car il n’y en aura plus assez pour tout le monde.
Agriculteur, membre du comité directeur UDC-Genève
Satigny
Et en plus, nos verts trouvent le vert de l’islam tellement beau vert qu’ils font tout pour que les mahométans verts de haine nous envahissent pour nous “enrichir” (c’est de l’ironie)!
L’écologie est la science qui décrit ce qui est vivant. Les verts (ils sont rouges) prônent l’écologisme, soit une doctrine idéalisée par les fous du climat, ce qui n’a rien de scientifique.
Les “Verts” font partie de ce que l’humanité a inventé de pire en matière politique.
Rappelons que, lors de leur création (au niveau européen), les verts-bobo-CohnBendit (les “pastèques”, verts dehors, rouge dedans) ont exterminé les véritables Ecologistes respectables (version Antoine Waechter en France).
Sous nos contrées, on avait Daniel Brélaz, qui devait émettre autant de gaz à effet de serre en montant une fois le Petit-Chêne (rue raide à Lausanne dont il était le syndic) qu’un troupeau de vaches de taille raisonnable en émet en pétant pendant une année.
Les pastèques sont des égalitaristes hystériques, des féministes fanatiques, alors que l’écologie qu’ils prétendent – sans rire – défendre, est à l’exact opposé de l’égalitarisme et du féminisme ! L’humain est-il donc en dehors de la nature pour celui qui se réclame de l’écologie, soit de l’équilibre naturel ? Contradiction majeure !
Ce sont également des immigrationnistes fanatiques, car tout le monde sait que plus il y a d’habitants sur un territoire donné (la Suisse par exemple), plus le pays est “naturel” et dépourvu de pollution.
On observe que les “Verts” foisonnent de femmes immigrées, originaires la plupart du temps de pays qui n’ont strictement rien à f… de l’écologie. En fait, elles ont trouvé dans l’hystérie bobo-pastèque un substitut à la bigoterie de leurs mères (et souvent un outil pour maudire le pays d’accueil qu’elles détestent au fond de leurs tripes)…
”La campagne, c’est un lieu de délassement pour les urbains qui tiennent à leurs dimanches dans la verdure, là où ils oublient souvent de ramasser les rebus du pique-nique.”
Je le constate malheureusement chaque fois que je scie du bois en forêt .. je retrouve de tout dans mon tas de bois !!
”Mais la guerre en Ukraine pourrait bien raréfier la marchandise en rayon. Et ce jour-là, pourvu que les Verts continuent à se passer de viande car il n’y en aura plus assez pour tout le monde.”
C’est à ce moment-là que l’idiot de Vert se rendra compte que les patates et tous les autres légumes ne poussent pas sur les rayonnages de son épicerie !!