La fête des mères remplacée dans certaines écoles par la «fête des gens qu'on aime»
TÉMOIGNAGES - Des enseignants renoncent à célébrer les fêtes des mères et des pères afin de s'adapter «à la diversité des situations familiales». D'autres résistent à cette évolution.
Ne dites plus «fête des mères» ou «fête des pères», mais «fête des parents», ou encore «fête des gens qu'on aime». Les traditionnelles célébrations, qui ont respectivement lieu cette année le 29 mai et le 18 juin, sont de plus en plus souvent remplacées par des fêtes alternatives plus adaptées, disent les enseignants concernés, aux enfants qui n’ont pas de père ou de mère. L’initiative ne vient pas de l’Éducation nationale, elle est à la discrétion des classes ou des écoles qui choisissent quelle fête observer.
“Fête des gens qu’on aime”. Difficile de faire plus gnangnan. On a compris, il faut tout déconstruire afin de complaire à une infime minorité qui n’aurait pas de mère (sic). La norme c’est la diversité, des partenaires, N° 1 et 2, plus si affinité, fluides et dézingués avec une progéniture condamnée à être psychiatrisée ad vitam.