Comme on a pu le lire dans l’édition de ce jour de la « Weltwoche », le DDPS aurait volontairement affaibli l’armée suisse et accessoirement violé la neutralité de notre pays. Le DDPS aurait en effet jugé que les armes antichars des stocks de l’armée suisse étaient défectueuses et les aurait renvoyées au fabricant en Allemagne… pour que ce dernier les livre à l’Ukraine.
Pour l’UDC, si ces faits sont avérés, alors ils sont très problématiques. C’est dans ce contexte que l’UDC demande donc à la cheffe du DDPS Viola Amherd des réponses aux questions suivantes :
- Les armes polyvalentes épaulées ont-elles été commandées et livrées à la Suisse, conformément au programme d’armement 2016 et si oui, lesquelles, dans quelles proportions et quand ?
- Des défauts ont-ils été constatés sur les armes commandées, si oui, lesquels ?
- Des armes défectueuses ont-elles été renvoyées aux fabricants, si oui, quand cela a-t-il été fait et pour quelles raisons ?
- Les armes retournées faisaient-elles auparavant partie du stock de l’armée suisse, si oui, depuis combien de temps et pourquoi n’ont-elles, cas échéant, pas été renvoyées immédiatement ; accessoirement, pourquoi, cas échéant toujours, d’éventuels défauts n’ont-ils pu être constatés immédiatement ?
- L’affirmation dans la presse selon laquelle des armes prétendument défectueuses et retournées chez le fabriquant auraient pu être utilisées pour la défense antichars est-elle correcte ?
- Le DDPS a-t-il connaissance du fait que les armes retournées ont été expédiées en Ukraine ?
- Existe-t-il un accord entre le fabricant des armes retournées et le DDPS stipulant que les armes ont été délibérément retournées en raison de défaut, afin qu’elles puissent être expédiées en Ukraine ?
- Face à l’évolution de la situation sécuritaire, pourquoi le DDPS affaiblit-il l’armée suisse ? Comme le DDPS s’assure-t-il que notre armée puisse rapidement disposer d’armes antichars ?
- De telles livraisons mettent en danger (voire même violent) la neutralité de la Suisse ; comment le DDPS s’assure-t-il que de telles « affaires » ne puissent se reproduire à l’avenir ?
L’UDC déposera une interpellation en ce sens lors de la session extraordinaire.
Extrait de: Source et auteur
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En effet la haute technologie des zéropéens implique de recharger les batteries des missiles portable, sans doute chez l’habitant, pour autant que les prises ukrainiennes correspondent à la norme Suisse. Combien de temps le 4 ème reich va t il survivre, fin de l’année sans doute.
Foutez dehors toute la frange féministe du conseil fédéral et les gauchistes dangereux qui mènent ce pays à sa perte.
Ou ces armes ne sont pas défectueuses, et il y a délit, ou elles le sont, donc on va livrer des armes de pacotille aux Ukrainiens !
Pas 100% fiables car ayant dépassé la date limite des piles lithium?
Il doit bien y avoir des piles au lithium dans ces armes bourrées d’électronique!
Ont-elles été renvoyées en Allemagne pour y faire changer les piles lithium?
Est-ce des faits RÉELS ? :
”Le DDPS aurait en effet jugé que les armes antichars des stocks de l’armée suisse étaient défectueuses et les aurait renvoyées au fabricant en Allemagne… pour que ce dernier les livre à l’Ukraine.”
Attendons avec impatience les réponses de Mme Amherd !!
Ou alors écrivons-lui pour qu’elle nous réponde personnellement !!
Ahmerd alors !