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À la fin… quelqu’un sera-t-il en mesure de développer et de produire un médicament permettant au patient Poutine de guérir de son angoisse irrépressible face à l’approche croissante de pays porteurs de résistance démocratique – et du soutien que ceux-ci reçoivent de la part des démocraties occidentales ? Mais il semble malheureusement impossible pour cet individu de renoncer aux milliards de milliards d’Euros et autres devises que lui promettent l’ensemble des ressources russes – énergétiques, minérales, métaux rares, et notamment d’uranium (enrichi en Russie même pour le confort des pays acheteurs), ainsi qu’alimentaires. Et l’on peut comprendre l’ivresse infinie qu’il trouve à gérer à lui tout seul un tel patrimoine national ; et de surcroît d’y ajouter à l’occasion et pour le fun, le gaz, les céréales et les ports de l’Ukraine. Selon mon intuition, certes toute fragile, le moment venu, l’aventure de cet individu va malheureusement se terminer par une chute de tomates sur son lieu de résidence avant qu’il ne puisse l’anticiper, et avant qu’il ne soit trop tard pour toute notre Planète.