NON à la loi sur le cinéma. NON au cinéma politique

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NON à la loi sur le cinéma. NON au cinéma politique

 

Le 15 mai prochain nous allons nous prononcer sur une modification de la loi sur le cinéma. Il vaut alors la peine d’y regarder d’un peu plus près.

Le projet contient deux obligations nouvelles pour les diffuseurs de films en ligne (ex. Netflix). Une taxe de 4 % sur leur chiffre d’affaire qui devra être redistribuée au cinéma suisse et une obligation de proposer au moins 30 % de films européens.

Ces modifications figurent dans l’adjonction d’un nouveau chapitre 3a dans notre loi sur le cinéma. Ce chapitre s’intitule «Prescriptions régissant l’encouragement de la diversité de l’offre cinématographique hors des cinémas ». Alors autant le dire d’emblée, cette notion de diversité relève de l’escroquerie intellectuelle, le cinéma suisse est tout sauf divers.

Selon le Conseil fédéral et la majorité du parlement il ne s’agirait que d’accroître la diversité de l’offre cinématographique en Suisse. Comme c’est gentil !

Ces gens nous prennent vraiment pour des idiots ! Le cinéma suisse est tout sauf divers, c’est un cinéma politiquement orienté à gauche. Il suffit de lire la liste des 5 films nominés au dernier prix du cinéma suisse de 2021, ils sont tous littéralement de gauche. Aucun ne présente un thème original. Les 5 films visent tous une critique sociale acerbe de la Suisse du point de vue de la gauche, ou font l’apologie des migrants, ou dépeignent la famille de manière détestable selon les canons nihilistes bien connus que la gauche déverse sur le peuple depuis des décennies. (Voir en fin d’article la liste et l’analyse des 5 films nominés).

Quant à l’obligation pour les diffuseurs de nous imposer au moins 30 % de films européens son objectif va exactement dans le sens inverse d’une diversification. Le cinéma européen, à quelques exceptions près, est déjà strictement identique à ce qui vient d’être dit du cinéma suisse de gauche, qui ne fait que singer son grand frère européen dans l’espoir d’être un jour nominé à Paris ou Berlin.

On rappelle d’autre part à ceux qui l’ignorent que cette obligation de 30 % de films européens n’est en réalité qu’une mise en conformité de la loi suisse à la Directive européenne sur le cinéma, directive qui a pour but de privilégier le cinéma de l’UE [1]. En matière de diversité vous repasserez. Cette obligation de 30 % de cinéma européen nous mène directement à l’hégémonie culturelle que l’on cherche à nous imposer, hégémonie dérivée des théories de Gramsci dont on connait la volonté de réformer la conscience des peuples, ces éternels idiots incultes dont il faut absolument modifier les manières de penser.

A trois semaines du scrutin, on s’étonne donc du manque de questionnement entourant ce vote. Ou plutôt on ne s’en étonne plus. Faut-il rappeler que le cinéma est aujourd’hui l’outil de manipulation politique le plus utilisé par le soft power auprès des jeunes. Soft power, pour rappel, qui consiste à influencer et emporter « de manière douce » l’opinion des citoyens pour les amener à adhérer sans heurts aux thèses du pouvoir en place.

La question essentielle qui aurait dû être posée, puisque l’on parle de diversité, c’est comment il se fait que le cinéma (et le théâtre) si largement subventionnés en Suisse sont quasi exclusivement de gauche alors que la population elle ne l’est pas. Il y a quand même ici comme un « petit » problème.

La question non seulement du cinéma mais du financement de la culture en général aurait dû être posée à cette occasion. Les fonds alloués en Suisse à la culture sont très importants, contrairement à ce qu’affirment les milieux culturels. On peut estimer que toutes sources confondues la culture au sens large reçoit au moins 4 milliards de subventions par année, ce n’est pas rien. Et le problème ici ce ne sont pas ces 4 milliards mais le fait qu’une partie importante de cette manne est exclusivement attribuée à une production culturelle de gauche qui ne représente qu’une partie de la population et qui s’en sert pour manipuler et influencer l’opinion de tous les citoyens.

Dans notre pays environ 30 % des personnes votent UDC (encore plus sont souverainistes) et à cette aune au moins 30 % de la production cinématographique de films de fiction ou documentaire ou de pièces de théâtre devrait y correspondre. Or c’est l’exact inverse qui est vrai. La production culturelle de gauche dans le secteur du cinéma rafle à elle seule pour ainsi dire la quasi-totalité des subventions, et ça c’est un vrai problème démocratique dans la juste répartition des fonds publics. Comment cela est-il possible ?

Que celui qui a déjà vu un film UDC dans lequel un acteur UDC pisse sur la tête de Pierre-Yves Maillard lève la main, pour autant que l’on puisse s’abaisser à un tel manque de respect pour ceux qui ne pensent pas comme vous. Tout le monde se rappelle l’esclandre de 2004 au centre culturel suisse de Paris lorsqu’Hirshhorn, entièrement subventionné par la fondation Pro Helvetia, gauchiste avéré, faisait pisser un acteur sur une photo de Christophe Blocher, tandis que tous les milieux culturels applaudissaient en rond.

La question qui se pose est donc de savoir comment dans une démocratie il est possible que l’art soit politisé à ce point et en plus financé par toute la collectivité ?

Et puisque nous parlons de cinéma, comment il est possible qu’il soit aussi monothématique et littéralement confisqué par la gauche ? En voici quelques éléments de réponse.

Celui qui veut obtenir une subvention fédérale pour un film doit s’adresser à l’Office fédéral de la culture (OFC). Mais, point important, ce n’est pas l’OFC qui décide si le film mérite ou non d’être financé par l’Etat, c’est une commission d’experts triés sur le volet, des professionnels de la profession comme l’on dit.

Et alors on vous pose cette question. Croyez-vous qu’il soit possible que l’on retrouve les mêmes personnes de chaque côté de la barrière ? Que l’on retrouve les mêmes personnes du côté qui accorde les subventions et du côté qui les reçoit ? Vous croyez que ce n’est pas possible ? Peine perdue. Dommage.

Pami les 5 réalisateurs nominés en 2021 au prix du cinéma suisse 3 étaient membres du comité fédéral d’experts qui attribue les subventions et qui étaient donc à la fois donneurs et receveurs de subventions, autrement dit à la fois juges et parties (Niccolò, Štaka, Oberli, 3 réalisateurs nominés qui sont en même temps membres de la commission fédérale qui finance les films, on vous laisse vérifier la liste à la fin de l’article). [2] [3]

Dans la douzaine de membres romands actuels de cette commission fédérale on trouve toute la cohorte des réalisateurs d’extrême gauche bien connus pour leur activisme ou leur vindicte tels les Nicolas Wadimoff, Daniel Schweizer et Jacob Berger. La totalité des membres romands de l’actuelle commission a par ailleurs sans aucun doute été un jour ou l’autre elle-même largement subventionnée dans ses projets respectifs. Selon leur CV culturel tous les membres romands actuels de la commission sont manifestement et exclusivement de gauche.

Interpellé sur l’impartialité de cette commission en 2006 le Conseil fédéral n’y trouva rien à redire, et pour cause, les thématiques exclusives de la gauche telles que la migration et le pro-européanisme favorisent de facto la libre-circulation si chère aux PLR et aux PDC. [4]

Bien évidemment la gauche aurait beau jeu de rétorquer que l’UDC et les souverainistes n’ont qu’à faire eux aussi des films. Mais on défie n’importe quel jeune UDC de tenir plus de deux mois dans une école de cinéma, ces écoles elles-mêmes ont été phagocytées par cette gauche et ces mêmes personnes qui y enseignent. L’emprise de la gauche sur la culture et le cinéma a dépassé le stade de la cristallisation, c’est devenu une chasse gardée dans laquelle ceux qui ne pensent pas selon la doxa n’ont aucun espoir d’y réussir, tant l’ostracisme y est devenu inamovible et légendaire.

Que faire ? Il ne semble y avoir qu’une solution. Nous devons demander par une réforme constitutionnelle que les dépenses culturelles soient désormais différenciées et attribuées selon le poids politique dans la population. Que si l’enveloppe cinéma se monte à 100 que 30 % soient attribués à des projets approuvés par l’UDC et correspondent à son électorat. Il n’y a en l’état pas d’autre solution. Une société démocratique ne peut pas vivre en permettant à une minorité activiste de tirer profit de l’entier des subventions publiques dans certains secteurs culturels comme c’est le cas dans le cinéma. Ça ce n’est pas possible, c’est tout simplement contraire à la démocratie.

On comprendra donc ici qu’en ce qui concerne l’actuelle modification de la loi sur le cinéma il faut déjà commencer par lui dire NON.

Par la suite il faudra trouver le moyen de dire NON aux rentes de situation et aux abus politiques de la gauche dans la culture. Et l’attribution des subventions selon le poids politique respectif de la population semble d’ores et déjà inéluctable et la bonne solution. Si des pans entiers de la culture sont politisés et confisqués par un bord politique alors seul un contrôle politique peut y remédier et y mettre fin.

 

Michel Piccand

 

 

 

 

ANNEXE

LISTE DES 5 NOMINES DU CINEMA SUISSE 2021

 

ATLAS de Niccolò Castelli (journaliste et animateur à Rete Tre de la RSI (Radio Svizzera di Lingua Italiana).

L’héroïne survit à un attentat terroriste. Pour retrouver confiance et amour, elle se lance dans un voyage difficile pour se remettre en question. Elle rencontre Arad, un jeune réfugié du Moyen-Orient, qui l'amène à une rencontre-confrontation avec l'Autre.

(THEME EXISTENCE FEMININE ET MIGRATION)

Atlas

 

MARE de Andrea Štaka

Voici comment le journal Le Temps décrit l’héroïne de ce film-là : Mare fait tourner la maison, blanchit le linge quand la machine à laver n’est pas en panne, cuisine de succulents poivrons farcis, s’occupe des trois gosses. Mare est insatisfaite, Mare vit avec Rudo, son mari, un pachyderme rugueux pour qui la sexualité est un assouvissement. Alors quand la jeune femme aux ailes rognées croise Piotr, un ouvrier polonais au doux sourire, ses sens s’embrasent. Elle exulte dans des étreintes autrement ardentes que l’exercice du devoir conjugal.

(THEME EXISTENCE FEMININE ET MIGRATION)

https://www.letemps.ch/culture/ca-bovaryse-dubrovnik-mare

 

PLATZSPITZBABY "Les enfants du Platzspitz" de Pierre Monnard.

La RTS décrit ce film comme un film lumineux sur les heures sombres de Zurich. Des images de l'inconscient collectif suisse.

https://www.rts.ch/info/culture/cinema/11017946-platzspitzbaby-un-film-lumineux-sur-les-heures-sombres-de-zurich.html

(THEME CRITIQUE SOCIALE DE LA SUISSE ET PEINTURE DE SON SOI-DISANT COTE SOMBRE)

 

SCHWESTERLEIN (Petite soeur) de Stéphanie Chuat, Véronique Reymond.

L’héroïne, brillante, ici aussi se sacrifie pour un homme, son frère, face aux duretés de la vie. On vous laisse lire le synopsis.

PETITE SŒUR – SCHWESTERLEIN

(THÈME EXISTENCE FÉMININE ET DRAME EXISTENTIEL DE LA VIE)

 

WANDA, MEIN WUNDER (Ma fabuleuse Wanda) de Bettina Oberli.

L’histoire d’une jeune migrante méritante qui met au jour les dessous peu reluisants d’une famille bourgeoise helvétique. On vous laisse lire la présentation qu’en font l’auteure et la presse.

« Wanda, 35 ans, jeune Polonaise, s'occupe de Josef, 70 ans, dans sa villa au bord du lac. Elle est là pour lui 24 heures sur 24 et aide également sa femme Elsa, 75 ans. Gregi le fils cadet, 28 ans, l'aime particulièrement. Le travail est mal payé, mais Wanda a besoin de cet argent pour sa propre famille en Pologne. »

https://www.swissfilms.ch/fr/movie/wanda-mein-wunder/B4E2ACDE921E4252AC339C617CE31D84

Ou le compte rendu de la RTS qui met l’accent sur la sale exploitation que font les Suisses des pauvres étrangers, encore...

https://www.rts.ch/info/culture/cinema/12393615-ma-fabuleuse-wanda-le-nouveau-film-douxamer-de-bettina-oberli.html

(THÈME CRITIQUE SOCIALE DE LA SUISSE, DÉFENSE DES MIGRANTS)

 

Faut-il vraiment en dire plus ?

Lorsque les thèmes des 5 nominés pour le Prix du cinéma suisse 2021 convergent tous dans le même sens c’est un indice clair que le cinéma suisse est socialiste et orienté. Le signal pour tout jeune réalisateur qui souhaiterait être nominé est plus qu’évident, il comprend que plus il fera une critique sociale acerbe de la Suisse du point de vue de la gauche, que plus il montrera l’exploitation de la femme ou fera l’apologie de la migration et plus il aura une chance d’être reconnu comme un réalisateur digne de ce nom. Relisez bien la liste. C’est littéralement une liste de codes de conduite.

Le cinéma suisse est socialiste, pro-migrants et pro UE. Ne vous attendez jamais à voir un film qui montre par exemple comment tous les Suisses qui dans les campagnes laissaient les portes de leurs maisons ouvertes ont tous dû se barricader à double tour. Ça ce sont de choses qu’ils ne vous montreront jamais.

Ne vous attendez pas à ce que l’on vous montre un jour un film sur ce jeune genevois qui ayant terminé brillamment son apprentissage et accompli ses obligations militaires a dû dormir deux ans dans un container froid et mal chauffé dans la cour de son patron, pendant qu’il voyait arriver des migrants par milliers qui eux trouvaient des logements dans sa bonne ville des droits humains.

On ne vous montrera jamais son drame lorsqu’une fois qu’il eut enfin trouvé un petit studio au loyer exorbitant il a compris qu’il devrait probablement renoncer à fonder une famille, faute d’en avoir les moyens nécessaires. Jamais aucun film ne vous montrera pourquoi la libre circulation est défendue bec et ongle par la gauche et comment elle lui sert à recapitaliser les actifs immobiliers de ses caisses de pension ou à trouver de larges subventions pour ses projets artistico-politiques.

Le cinéma suisse est littéralement confisqué, propagandiste, il est sans espoir. C’est un cinéma politique, orienté, manipulateur, ségrégationniste, sans véritable liberté, qui ressemble comme deux gouttes d’eau au cinéma et à la culture française qui ont été phagocytés depuis longtemps par le socialisme, qui déjà depuis le naturalisme et Zola ne savait plus rien faire d’autre que de dépeindre de manière misérabiliste l’existence de l’être humain et d’induire chez lui un désespoir permanent ou une culpabilité profonde. Lorsqu’une culture s’acharne à tel point à ne dessiner que les travers et les difficultés de l’existence, et d’une seule partie des êtres humains, pour l’opposer de manière manichéenne à l’autre, alors cela porte un nom, cela s’appelle du cinéma politique.

 

(La livrée des nominés du prix du cinéma suisse de 2022 est exactement du même tonneau que celle de 2021 : WET SAND, drame sur la diversité de genre queer en Géorgie ; SOUL OF A BEAST, un jeune père se lance dans un voyage bizarre entre rêve et réalité après avoir libéré les animaux d'un zoo ; OLGA, vie d’une jeune gymnaste ukrainienne réfugiée en Suisse après que sa mère activiste politique ait été agressée au moment, selon le commentaire RTS, « où les manifestants pro-européens se retrouvent écrasés par les autorités à Kiev » ; LA MIF, vie dans un foyer d'accueil pour adolescentes qui met au grand jour, toujours selon la RTS, tout un système sclérosé et rétrograde ; AZOR, thriller financier qui met en prise deux banquiers privés genevois en Argentine qui sont complices d’une forme de colonisation discrète et impitoyable. Ici presque tout est dit, c’est sans commentaire).

 

[1]

COMMUNICATION DE LA COMMISSION EUROPEENNE (2020/C 223/03)

« La directive «Services de médias audiovisuels» (ci-après la «directive SMA») établit des règles renforcées en matière de promotion des œuvres européennes. Son article 13, paragraphe 1, dispose que les fournisseurs de services de médias audiovisuels à la demande [ci-après les «services à la demande» ou les «services de vidéo à la demande (VOD)»] doivent «proposer une part d’au moins 30 % d’œuvres européennes dans leurs catalogues et mettre ces œuvres en valeur».

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=CELEX:52020XC0707(03)&from=EN

 

MODIFICATION SUISSE DE LA LOI CINEMA PRESENTEE EN VOTATION

Art. 24a 1 Les entreprises qui proposent en Suisse des films par le biais de services électroniques à la demande ou par abonnement doivent, en vue de la promotion d’une offre diversifiée, garantir qu’au moins 30 % des films proposés sont des films européens et que ces films sont désignés comme tels et faciles à trouver.

https://www.fedlex.admin.ch/eli/fga/2021/2326/fr

 

On relève soit dit en passant, qu’une fois de plus le Conseil fédéral viole le principe de l’unité de la matière qui interdit les paquets ficelés. Le peuple devrait avoir la possibilité de dire oui à la taxe de 4%  sur les diffuseurs online et non à l’obligation de diffuser 30 % de films européens, ou l’inverse, mais que pour faire passer l’adaptation de la loi suisse à la directive européenne et à son obligation de 30% de films européens le Conseil fédéral la lie au « susucre » de la manne supplémentaire issue de la taxe de 4 % pour le cinéma suisse.

Non seulement une telle pratique viole le principe de l’unité de la matière mais elle frise cette autre interdiction qui interdit d’acheter des voix.

Deux violations dont la majorité des partis se moque puisqu’elles sont en train de devenir leur pratique courante pour faire accepter en votation la mise en conformité des lois suisses au droit européen. Un sujet sur lequel il faudra aussi revenir.

 

[2]

PRIX DU CINEMA SUISSE 2021

https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-82108.html

 

[3]

COMMISSION D'EXPERTS POUR L'ENCOURAGEMENT DU CINEMA

https://www.admin.ch/ch/f/cf/ko/Gremien_interessenbindung_10581.html

 

[4]

ENCOURAGEMENT DU CINEMA PAR LA CONFEDERATION. EGALITE DES CHANCES POUR TOUS ?

Question 5.

https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20063429

 

 

2 commentaires

  1. Posté par Sergio le

    La culture ne peut être que de gauche. Le non-gauchiste est un rustre handicapé, il lui manque quelque chose et n’a rien compris à la vie. À gauche, on ne rit pas, on grimace, on applaudit et l’on pisse sur la photo de Blocher.

  2. Posté par antoine le

    Rappel à tous ceux qui n’ont pas été informé ou qui ont oublié :
     »Tout le monde se rappelle l’esclandre de 2004 au centre culturel suisse de Paris lorsqu’Hirshhorn, entièrement subventionné par la fondation Pro Helvetia, gauchiste avéré, faisait pisser un acteur sur une photo de Christophe Blocher, tandis que tous les milieux culturels applaudissaient en rond. »
    A l’instar des piqures de rappel du covid, il est nécessaire de rappeler certains épisodes du cinéma suisse subventionné à 200% !! Quels œuvres !!

Et vous, qu'en pensez vous ?

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