Albert Coroz: Rappelons-nous: les dernières élections en Bulgarie ont été sabotées par le Deep State, qui trouvait intolérable que le peuple bulgare ait élu un président pro-russe, Boïko Borissov, et ses opposants ont réussi à invalider le vote deux fois de suite.
Après que M. Borissov eut été élu et réélu durant dix ans, les médias achetés ont fomenté des manifestations massives, accusant le gouvernement de corruption.
Notons que le terme "corruption" est une des armes favorites lorsque le président d'un gouvernement déplaît aux Démocrates américains (Benyamin Netanyahou, Viktor Ianoukovytch, ou encore Andrej Babiš, etc.). D'immenses manifestations ont été organisées après une prétendue affaire de corruption du genre "les costumes de Fillon".
Il est à noter que les techniques de manipulation de masses, que les gaucho-mondialistes maîtrisent à merveille, arrivent de nos jours à conduire des populations à battre le pavé pour n'importe quelle cause validée par le Deep State; néo-féminisme, climatisme, antiracisme, etc. Rappelons-nous, en Suisse, depuis l’avènement de l'ère Greta Thunberg, ces manifestations d'une ampleur jamais vue auparavant, utilisant majoritairement les catégories de personnes les plus faciles à influencer émotionnellement, la jeunesse et pour certains les femmes!
En Bulgarie, la troisième fois, lorsque le "bon candidat" pour l'UE (et par conséquent pour les USA), Roumen Radev, fut sorti des urnes, le vote a été validé. Le nouveau mouvement "anticorruption", créé par deux entrepreneurs formés, comme par hasard, aux États-Unis, a fini par accéder au pouvoir.
Actuellement, il y a en Hongrie une polarisation entre le Fidesz (Orbán) et l'opposition, Gauche et pseudo-Droite associées pour renverser le Fidesz. Le leader de cette opposition, Péter Márki-Zay, est un pieds nickelés gauchiste, qui est vendu comme conservateur, et qui a également été formé, comme par hasard, aux États-Unis.
Et lorsque l'on sait qu'aux États-Unis, pays le plus puissant au monde, il a été possible, en toute impunité, de falsifier la dernière élection présidentielle, il faut dorénavant s'attendre à ce que les résultats des élections soient manipulés par ces mêmes forces dans le monde entier si cela leur chante.
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En plus de la délégation de l'OSCE liée à Soros, d'autres organisations de Soros surveillent les élections hongroises du dimanche 3 avril
Les journalistes de Mandiner ont examiné la liste des observateurs électoraux officiellement enregistrés en Hongrie, et il s'avère que non seulement la délégation de l'OSCE, remplie de gens de Soros, risque d'aider la gauche à établir un récit de fraude électorale, mais que d'autres organisations soutenues par Soros sont également présentes comme observateurs électoraux.
La Political Accountability Foundation Poland est une organisation soi-disant indépendante financée par la Fondation Stefan Batory en Pologne. Mais il en va de même pour l'Union des citoyens informés, dont les partenaires incluent Freedom House, financée par le ministère américain des Affaires étrangères, et la fondation Soros arménienne Open Society Foundations Armenia. Une organisation appelée ENEMO, qui délègue 275 observateurs en Hongrie, est peut-être également liée à Soros. ENEMO a été fondée en 2001 par des organisations non gouvernementales des Balkans et d'Asie centrale. Parmi les membres de cette association faîtière, on trouve le Comité biélorusse d'Helsinki et la branche arménienne de Transparency. Ils sont basés au Monténégro, leur seule activité étant l'observation des élections. Jusqu'à présent, les observations n'ont été faites que dans les pays dont ils ont une organisation membre.
La mission s'est récemment élargie avec de nouveaux membres : en principe, le directeur de l'OSCE/BIDDH, Matteo Mecacci, supervise personnellement la régularité des élections hongroises en tant qu'observateur enregistré. Le fait qu'en tant que militant de la gauche radicale et représentant du Parti démocrate italien au parlement romain de 2008 à 2013, il ait fait activement campagne et manifesté contre le chef de la droite italienne de l'époque, le Premier ministre Silvio Berlusconi, en dit long sur sa qualiaté d'homme "au-dessus des partis", écrit Mandiner.
Mais ce n'est pas seulement Mecacci qui est représentant d'une idéologie parmi ceux qui viennent d'arriver en Hongrie. La cheffe du département des élections de l'OSCE, Meaghan Fitzgerald, était auparavant membre du Centre Carter, du nom du président américain connu comme un homme de gauche, en partenariat avec les Open Society Foundations. Fitzgerald a également travaillé pour une organisation de lobbying libéral appelée Democracy Reporting International (DRI), dont l'un des partenaires, Civitates, est également parrainé par le réseau Soros, écrit Mandiner. La Britannique Katya Andrusz, porte-parole de l'OSCE/BIDDH, est diplômée de l'Université d'Europe Centrale et a précédemment collaboré en tant que "journaliste indépendante" à la presse internationale de gauche, notamment The Guardian ou The Economist. Mandiner écrit que, sur la base des précédents rapports publiés par l'OSCE et de la composition de son personnel, on ne devrait pas beaucoup de tromper en disant que
le travail de l'organisation en Hongrie a pour but délibéré de miner la confiance dans les élections démocratiques hongroises et de faire en sorte que le vote semble illégitime, offrant ainsi une "issue de secours" à la gauche au cas où elle perdrait les élections.
Source : pestisracok.hu
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Provocation: la fausse nouvelle d'une destruction de bulletins de vote est répandue par tous les médias de gauche
Des journalistes de Transylvanie à la solde de Soros ont affirmé que des bulletins de vote brûlés ont été retrouvés dans une décharge près de Târgu Mureş. Une vidéo mise en scène a été réalisée sur le tas d'ordures, sur la base de quoi la gauche hongroise exige la destruction de tous les votes par correspondance de Transylvanie, la région où vivent la majorité des hungarophones de Roumanie.
Mais sous la provocation, les ficelles sont décidément trop grosses.
Tout d'abord, n'importe qui pouvait faire des photocopies de son bulletin de vote pour les brûler ensuite à la frontière comme pseudo-preuve. Deuxièmement, il n'y a pas de feuille d'identification à côté des "bulletins brûlés", c'est-à-dire du document attestant l'identité de la personne qui ayant voté.
Or en l'absence de ce document, le vote par correspondance est nul. Un bulletin de vote postal n'est valable que s'il est tamponné et accompagné de la feuille d'identification. La vidéo ne montre aucun sceau, cachet ou document d'identification sur les pseudo-bulletins de vote.
Troisièmement, le Fidesz n'aurait aucun intérêt à brûler les bulletins de vote de l'opposition puisqu'il dispose déjà d'une très large avance parmi les Hongrois de Transylvanie.
Un piquant particulier de l'affaire est que la page Facebook de la journaliste Boróka Parászka, qui a été régulièrement signalée aux services secrets roumains, a été la première à rendre compte de l'affaire. Elle y a écrit:
"Il faut savoir qu'il s'agit d'un endroit très fréquenté, où passe l'autoroute reliant Târgu Mureş à Nyárádszereda. La zone est gardée à cause des matériaux de construction disponibles, le service de sécurité est là tous les soirs et on travaille même la nuit."
Pourquoi quelqu'un brûlerait-il des bulletins de vote au bord d'une route très fréquentée, en un endroit qui est strictement gardé et régulièrement surveillé par la police? a demandé le Bennfentes.
Source: vadhajtasok.hu
Et vous, qu'en pensez vous ?