Noire et musulmane, la double peine

Yvan Perrin
Ancien Conseiller national
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Noire et musulmane, la double peine
Par ce titre, Arcinfo nous propose ce jour la façon dont Amina voit le voile. Pour cette mère de famille somalienne de La Chaux-de-Fonds, c’est un barrage. Jusqu’ici, on pourrait penser que l’article constitue un plaidoyer contre de triste symbole de la soumission féminine mais non. En fait, Amina se plaint du fait que son voile soit mal perçu dans son pays d’accueil. Elle peine à trouver du travail, on lui refuse des postes ou alors, injure suprême, on lui demande d’ôter le voile pour exercer son job d’aide-soignante. Ses déboires ne s’arrêtent pas là. Travaillant dans une institution publique, Amina souhaite suivre une formation, ce qui lui est refusé par trois fois sous prétexte qu’elle n’est pas assez motivée. Allons, allons, ce n’est que vil argument bidon, c’est son voile qui lui a valu de ne pas être sélectionnée, même si elle n'a jamais pu le prouver.
N’est pas stigmatisé celui qui choisit d’imposer sa différence aux autres. Amina a fait un choix, elle veut porter le voile et assumer publiquement sa foi. Libre à elle. Libre aussi aux autres de ne pas voir d’un bon œil l’islam dans sa version conquérante. Cela vaut tout particulièrement à La Chaux-de-Fonds, ville bien connue pour son Musée des Civilisations de l’Islam et son financement provenant du Qatar. Ce pays sponsor officiel des Frères Musulmans, braves types pour qui la femme non voilée passe de mains en mains telle une pièce de monnaie et mérite la lapidation en cas d’adultère.
Yvan Perrin, 28.03.2022

9 commentaires

  1. Posté par kandel le

    Les commentaires prouvent que les Suisses sont déjà mentalement colonisés, ils essaient de prouver qu’elle devrait faire profil bas.

    Mais il n’y a pas qu’un SEUL MOT qui convienne, celui de Jean Raspail: «FOUTONS-LA DEHORS !»

  2. Posté par Ral bol le

    Que devient mon pays ? Est t`il encore raisonnable et logique d`accepter les propos de cette femme ? A titre personnel le voile n`est pas dans nos coutumes ,encore moins pour les fillettes dans certaines écoles du pays ,alors par pitié Madame pourriez vous avoir tout simplement un peu de respect pour le pays qui vous accueille en lieu et place de toujours revendiquer polémiquer ,réclamer ,en Somalie vous avez vos coutumes que nous devrions respecter si par hasard nous venions chez vous ,ce qui est assez rare ,alors pourquoi toujours nous imposer votre religion et réclamer par la suite ,vous pourriez simplement dire MERCI ET MERCI pour tout ce que notre pays fait pour vous !
    Ral bol de constater que nous sommes toujours critiqué concernant les requérants ,les sans papiers les clandestins à qui nous devrions tout payer :loyer ,caisse maladie ,appartement formations cours de langues ,dentiste ,nourriture ,taxe Serafe ,électricité ,et argent de poche ,et nous devrions encore régulariser toutes ces personnes sans rien dire ! Madame je vis avec 1400-. par mois aussi je vous laisse le soin de savoir qui pourrait légitimement se plaindre de sa situation !
    Alors Chère Madame en conclusion le mieux est de rentrer chez vous ,je suis certain que vous seriez plus heureuse que de rester dans un pays aussi intolérant .A bon entendeur salut

  3. Posté par kandel le

    Posté par Lucide le 28 mars 2022 à 22h02
    «Et ça continue à chialer et à geindre!!!! Mais qu’elle se casse ailleurs!!!»
    @Lucide, vous avez totalement tort, elle ne partira jamais, elle est très bien entretenue par les contribuables.
    Les fautifs sont tous ceux qui la tolère en Suisse… et l’entretienne.
    Une seule solution, celle de Jean Raspail: «FOUTONS-LES DEHORS !»

  4. Posté par bonardo le

    C`est très triste ,mais cette dame à fait un choix !
    Libre aux autres de ne pas accepter son voile !

  5. Posté par mady le

    Merci Monsieur Perrin pour votre article.
    Je vous lis toujours avec autant d’intérêt et de plaisir.
    C’est incroyable que ces personnes ne veuillent pas accepter nos coutumes.
    Mais elles veulent nous imposer d’accepter leur manière de vivre.
    Personne n’est obligé de le faire.
    Qui n’est pas contente, retourne dans son pays et je me demande pourquoi elle l’a quitté
    Heureusement que beaucoup de personnes n’entrent pas en matière.

  6. Posté par Serguei le

    La victimisation est la seule chose que ces individus savent faire… Par opposition à l’intégration dans la société dans laquelle ils vivent, profitent des allocations et ne rendent rien pour les avantages qu’ils trouvent…

  7. Posté par Clairvoyant le

    Pratique ce voile pour se poser en victime et émouvoir les benêts bien-pensants !
    Pratique aussi pour afficher sa différence dans une optique de conquête du pays d’accueil.
    Pratique peut-être aussi pour se faire exclure du monde du travail et se la couler douce sur le dos des Suisses bosseurs.
    Plutôt que d’essayer par tous les moyens d’importer sa culture somalienne en Suisse, pourquoi ne retourne-t-elle pas en Somalie, tout serait beaucoup plus facile pour elle, sauf peut-être les allocations… mais bon, on ne peut pas tout avoir !
    Ou alors la Somalie serait elle un pays où il ne fait pas bon vivre, et alors pourquoi en garder la culture et pourquoi vouloir changer le pays d’accueil qui fait visiblement beaucoup mieux ?

  8. Posté par Lucide le

    Et ça continue à chialer et à geindre!!!! Mais qu’elle se casse ailleurs!!!

  9. Posté par Bravo Yvan Perrin le

    “Est stigmatisé celui qui CHOISIT d’ imposer sa différence aux autres” , probablement. Une faute de frappe d’ Yvan Perrin, que je respecte totalement.
    En fait, ces ethnies surgies du néolithique font tout pour ne pas être engagées.
    Ainsi, elles peuvent prolonger leur dépendance aux services sociaux tout en se faisant passer pour des victimes du racisme.
    Aucun Suisse ne se promène dans la cité avec une arbalète et un crucifix pour décrocher un emploi, que je sache. De même qu’ un loser au visage tatoué n’ a aucune chance d’ être incorporé dans une banque ou une garderie.
    On fait ses choix et on en assume les conséquences.
    Inutile de gémir ensuite.

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