Sébastien Jallamion : m’engager pour Eric Zemmour, une évidence !

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Sébastien Jallamion : m'engager pour Eric Zemmour, une évidence !

 

Comme nombre de Français, pour ne pas dire la majorité, j'ai désespéré de voir un jour la droite se rassembler pour que nos idées l'emportent. Je ne reviendrai pas sur mon parcours, largement relayé sur les réseaux sociaux, et dont j'ai témoigné dans "A mort le flic !" publié aux éditions Riposte Laïque, pour m'atteler à témoigner de mon cheminement politique.

 

Engagé politiquement depuis l'université, j'ai adhéré au RPR puis à l'UMP, parti au sein duquel j'ai activement milité. Je fais partie de ceux qui ont cru aux sirènes de Nicolas Sarkozy dont les discours enflammaient les meetings en 2007, avant de déchanter en le voyant brader notre souveraineté par la voie parlementaire, passant outre le résultat du référendum de 2005.

 

En 2008, j'ai accepté de me présenter sur une liste divers droites pour les élections municipales à Sainte-Foy-Lès-Lyon, contre le candidat sortant investi par l'UMP, notre liste arrivant en deuxième position avec 34,23% des voix.

 

J'ai alors rejoint le FN devenu RN, parti au sein duquel j'ai également activement milité, misant sur la faculté de sa présidente à rassembler. Le débat du second tour face à Emmanuel Macron m'a clairement fait comprendre que c'etait une impasse, et le nombre ahurissant d'amis de droite ayant préféré s'abstenir ou voter blanc m'a convaincu que l'union des droites ne se ferait pas derrière elle.

 

Contacté par Karim Ouchikh, j'ai accepté de rejoindre le SIEL, micro-parti qu'il préside, convaincu que la droite "hors les murs" pouvait servir d'aiguillon aux partis traditionnels afin qu'ils prennent en considérant des sujets aussi importants que le grand remplacement, l'islamisation galopante de la France, ou la nécessité de recouvrer notre souveraineté.

 

Ayant du quitter la France pour la Suisse, où je réside actuellement, j'ai pris quelques distances avec le parti, tout en suivant de très près l'évolution - ou plutôt la dégradation - de mon pays où je séjourne chaque week-end, enracinement oblige. Il est intéressant de noter que la distance ne fait que rendre encore plus flagrante la réalité que nous vivons : à chaque retour j'ai l'impression que la situation s'est aggravée de plus belle.

 

Fort d'une certaine notoriété sur les réseaux sociaux, je n'ai cessé de militer pour dénoncer les abus de pouvoir incensés commis sous le quinquennat d'Emmanuel Macron, que ce soit à l'occasion de la répression des gilets jaunes ou de la mise en place de la politique sanitaire, notamment en ce qui concerne l'obligation vaccinale et la ségrégation des non-vaccinés. J'ai par ailleurs régulièrement fustigé la montée en puissance de l'islamisme et de l'insécurité qui gangrènent notre pays, ou encore le traitement médiatique de sujets d'actualité sous le prisme du politiquement correct ou de la propagande au service du pouvoir Exécutif.

 

Au cours de ces activités, j'ai pu ressentir le degré de désespoir de mes compatriotes, en proie à un certain défaitisme que je peux comprendre, sans toutefois l'accepter. Il faut dire qu'il est dans ma nature de ne pas baisser les bras, et d'affronter les épreuves en considérant qu'elles nous apportent nécessairement la force dont nous avons besoin pour avancer. C'est sans doute pour cela que je suis encore là, contrairement à de trop nombreux policiers qui ont fini par commettre un geste irréparable...

 

Alors qu'Emmanuel Macron, qui a sans doute été le pire président de la Vème Rèpublique, arrive au terme de son mandat, beaucoup de français semblaient résignés et s'apprètaient à le subir 5 ans de plus, tout en ne voulant surtout pas que cela se produise, mais en étant convaincus que le même scénario allait encore se produire : un second tour entre lui et Marine Le Pen se concluant de la même manière.

La candidature d'Eric Zemmour est venue changer la donne. J'ai immédiatement compris que quelque chose d'inédit allait enfin se produire : l'union des droites, tant espérée, rendant possible la victoire de nos idées et donc un changement radical de politique dans l'intérêt de la France et des français. Les nombreux raliements de personnalités issues de tous les partis de droite n'ont fait que confirmer cette intuition.

 

J'ai donc adhéré à Reconquête !, et plus encore : j'ai décidé de m'engager en postulant pour être candidat des Français de Suisse et du Liechtenstein lors des prochaines législatives, avec la même détermination que celle dont j'ai su faire preuve dans ma vie.

 

Je crois en la victoire car je ne crois pas aux sondages relatifs aux intentions de vote publiés dans les médias, dont je suis convaincu qu'ils ne servent qu'à préjuger d'un résultat ne correspondant pas à la réalité, dans le but de l'obtenir en décourageant les électeurs à se rendre dans les urnes.

 

L'affluence que tout le monde peut constater dans les meetings d'Eric Zemmour suffit à se convaincre qu'il existe bel et bien une dynamique largement sous-évaluée, et qui se concrétisera j'en suis sûr le 10 avril au soir, car je sais que les Français ont majoritairement compris que ce qui est en jeu, ce n'est ni plus ni moins que notre avenir, et que cela transcende toute logique partisane !

 

C'est pourquoi m'engager pour Eric Zemour est pour moi une évidence. A votre tour de vous en convaincre, en prenant connaissance de son programme, et en devenant les ambassadeurs de la reconquête !

 

Sébastien Jallamion

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un commentaire

  1. Posté par Jeandupeux le

    Bravo!!!
    Oui Éric Zemmour est l’homme de la situation car apolitique et son constat est irréfutable!

Et vous, qu'en pensez vous ?

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