Genève : l’ONU défend la propagandiste islamique Rana Ayyub et demande au gouvernement indien de la protéger contre le “harcèlement judiciaire”

post_thumb_default

par Ashlyn Davis, Jihad Watch, 23.02.2022

Le 21 février 2022, le compte Twitter officiel des Nations Unies à Genève a diffusé un tweet contenant un lien vers un article défendant la faiseuse d'opinion islamiste Rana Ayyub, connue pour propager de fausses affirmations sur les injustices et persécutions dont serait victime la communauté musulmane, et accusée maintenant de blanchiment d'argent. Le tweet laissait entendre que la justice indienne visait cette "journaliste" en raison de son identité religieuse, accusait l'Inde de harcèlement judiciaire et demandait au gouvernement indien de la protéger contre toute attaque de ce type.

La "journaliste" autoproclamée, qui n'est en réalité qu'une rédactrice d'éditoriaux pour une plateforme de gauche, a été arrêtée par la Direction de l'application des lois de l'Inde. La Direction, qui a saisi des avoirs d'une valeur de 237'000 $ sur ses comptes bancaires, a accusé Ayyub d'avoir détourné des fonds pour ses besoins personnels. Ces fonds avaient été recueillis par le biais d'une plateforme de crowdfunding en ligne contre la promesse d’actions caritatives en faveur des victimes du Covid. Comme aucun acte de bienfaisance n'a été entrepris, la Direction affirme que la chroniqueuse a tenté de blanchir cet argent en utilisant les comptes bancaires de membres de sa famille.

Ce n'est pas la première fois que cette journaliste autoproclamée se retrouve du mauvais côté de la loi. Championne des causes islamiques et de leur expansion, elle a bâti sa carrière sur la critique du Premier ministre indien Narendra Modi. Accusant Modi d'être l'instigateur des émeutes du Gujarat, qui avaient éclaté en représailles à l'incendie du train Sabarmati Express par une foule de musulmans, elle a publié un ouvrage de fiction en le vendant comme un reportage réel : Gujarat Files : Anatomy of a Cover Up. Bien que le livre ait initialement contribué à renforcer la tendance anti-Modi au sein de la clique libérale-gauchiste et musulmane, il a été sévèrement critiqué par la Cour suprême de l'Inde, qui a observé qu'il était "fondé sur des conjectures et des suppositions et n'a aucune valeur probante". Pourtant, ce livre de pacotille a également permis à Ayyub d'obtenir un poste d'éditorialiste au Washington Post, qui lui a offert une plateforme de rêve pour poursuivre sa campagne anti-Modi.

Il est frappant que l'ONU ait cru pouvoir exercer une pression sur l'Inde, une nation indépendante et souveraine. Les représentants indiens ont immédiatement pris connaissance de l'ingérence injustifiée de l'ONU et ont remis l'organisation à sa place, lui rappelant que même une propagandiste islamique - quelle que soit son influence au sein d'une organisation de plus en plus discréditée - n'est pas au-dessus de la loi en Inde.

Une des "experts" qui ont rédigé l'article défendant Ayyub est la rapporteuse spéciale des Nations Unies Irene Khan, une avocate bangladeshi. C'est extrêmement intéressant quand on se souvient de ce que Khan a fait lorsque des foules de musulmans ont traqué les hindous du Bangladesh - une communauté marginalisée dans le pays - incendiant leurs temples, vandalisant leurs magasins et leurs maisons, et tuant des fidèles hindous pour venger le blasphème commis par un autre musulman, Iqbal Hossein, qui avait placé le Coran dans un pavillon hindou pendant les Durga Pujas de 2021. Rien. Un pogrom anti-hindou à l'échelle nationale a été mené dans le pays de Khan, et elle n'a rien fait.

À part un tweet sans conséquence provenant du compte d'un fonctionnaire de l'ONU basé au Bangladesh - et non du compte officiel de l'ONU - l'organisation est restée silencieuse pendant les violences au Bangladesh. Elle accorde régulièrement des millions de dollars de subventions au Bangladesh ; il n'aurait pas été difficile pour elle d'obliger le gouvernement Hasina à protéger les hindous.

L'ONU n'a rien fait non plus lorsque les talibans ont renversé un gouvernement et se sont emparés de l'Afghanistan, ont pris des petites filles comme esclaves sexuelles et ont abattu des femmes pour avoir montré quelques centimères carrés de peau. Le Secrétaire général de l'ONU a "exhorté" les djihadistes islamiques à "faire preuve d'une réelle volonté de faire partie de la communauté internationale". Oui, parce que nous devons agir sur les groupes terroristes au moyen d'"exhortations". C'est très efficace.

Il y a quelques jours, en application de la charia, une Mexicaine travaillant au Qatar a été condamnée à 100 coups de fouet et à sept ans (!) de prison par la justice qatarie parce qu’elle avait été agressée sexuellement (!) dans cette nation islamique. Il s'agissait là aussi d'un cas où l'État s'en prend à une femme et manifestement il aurait mérité l'attention de l'ONU. Mais une fois encore, l'ONU ne veut pas se mêler de la charia et blesser les musulmans.

De nombreux assassinats ont été commis en Inde au cours des deux derniers mois. Des gens ont été lynchés pour avoir célébré leurs fêtes, d'autres pour avoir défendu le principe d'égalité. Les victimes étaient des hindous et les accusés sont tous des musulmans qui veulent établir un califat islamique jusqu’au dernier recoin d'une terre non-islamique dans cette région du monde. L'ONU a gardé un silence complet dans ces affaires.

En faisant ainsi des droits humains une farce, les Nations Unies sont un machin obsolète qui a fait son temps et doit être définitivement démantelé.

Elles font le jeu des propagandistes islamiques et, si elles continuent sur leur voie actuelle, elles deviendront une organisation islamique à part entière œuvrant à l'établissement d'un califat mondial.

Source et liens: UN Geneva Defends Islamic Propagandist Rana Ayyub, Demands Indian Government Protect Her Against ‘Harassment’

Traduction libre: Albert Coroz

 

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.