Découragés par les discriminations, anxieux face à la montée de l’extrême droite, de nombreux Français d’origine africaine ont décidé de prendre un aller simple pour le continent. Et tous s’en félicitent. Témoignages.
Il y a Ina, qui s’est vu refuser la location d’un appartement parce que son dossier était « trop beau pour être vrai », selon la propriétaire, qui a cru bon d’ajouter : « On connaît les arnaques des Africains. » Ou Aminata, qui garde un souvenir douloureux des nombreux contrôles de police auxquels elle assistait, enfant, quand elle se promenait dans les rues de Paris avec son père.
Chacune des personnes rencontrées a ce type d’anecdotes à raconter, ces « petites » remarques soi-disant bienveillantes, ces actes de racisme ordinaire qui finissent par peser. Nées dans l’Hexagone ou dans leur pays d’origine, ces Françaises noires ont fini par être lassées d’être toujours « l’autre » dans leur propre pays.
Animées par un désir d’entreprendre, de changer les choses, de renouer avec leur famille ou avec leurs racines, elles ont fait le choix de (re)venir s’installer sur le continent. (…) Toutes confient aussi le choc culturel qui les a surprises dans leur nouveau pays, qu’elles ont parfois rejoint avec un peu de naïveté. Pourtant, elles n’envisagent pour rien au monde de retourner dans l’Hexagone. Rencontre avec ces ex-Afropéennes qui ont fait le choix du retour.
• Ina, 36 ans, à Bamako depuis 2015 : « Nos parents sont partis pour réussir, on revient pour les mêmes raisons »
« C’est à la naissance de mon premier enfant que j’ai eu envie de partir. Petite, les micro-agressions racistes m’ont beaucoup marquée, je ne voulais pas que mes enfants grandissent dans le même contexte. Je refuse qu’ils puissent se dire que les Noirs sont inférieurs aux Blancs. Quand on est jeune, on a juste envie d’être comme tout le monde. Le racisme et l’islamophobie ne cessent d’empirer en France. Mon mari est très pratiquant, et je sais qu’il serait passé pour islamiste si on n’était pas partis. Enseigner l’islam à ses enfants, c’est prendre le risque d’être accusé de sectarisme, de communautarisme. Pratiquer sa religion en France quand on est musulman, avoir une barbe, aller à la mosquée, c’est prendre le risque d’être fiché S.
(Merci à Adri)
Extrait de: Source et auteur
Regardez seulement l’égoïsme crasse et l’égocentrisme ultra arrogant et ingrat des africains lorsque leur “Eldorado” ukrainien se trouve malmené…. aucune pensée, ni aide, ni réflexe de solidarité à l’égard de leur peuple d’accueil qui souffre et qui a tout perdu! Constamment cette pleurnicherie arabo-africaine qui exige, exige et exige encore sous prétexte de racisme! Mais qu’ils aillent vertement se faire foutre!!!! Ils ne méritent aucune considération et se comportent comme des hyènes infectes qui ne regardent que leurs nombrils sans oser une seule seconde condamner leurs “shit holes” de ne faire aucun effort pour les rapatrier! Stop stop et stop! Pour la première fois depuis les grandes migrations clandestines une partie de l’Europe est en guerre et ils montrent leurs visages de lâches et de profiteurs intolérables en pleureuses égocentriques que l’on soupçonnait aisément!!! A croire que leur sort est davantage dramatique que celui de millions d’Ukrainiens c’est hallucinant! Loin! Basta! Il y en a plus que marre de ces chienlits! D’ailleurs il suffit de voir le courage des Ukrainiens à défendre leur pays et la couardise de ces africano-musulmans à fuir les leurs à la moindre escarmouche (laissant femmes, enfants et vieillards derrière eux) pour se faire un profil fidèle de cette daube! Mais qui peut encore trouver des excuses à ce type de comportements????? BASTA!
Bon vent! Et bon débarras! Zoum zoum zoum!
Et ben faut amplifier ces discriminations, il faut leur pourrir la vie! Jusqu’à ce qu’ils partent jusqu’au dernier!
J’espère qu’ils seront nombreux à suivre cet exemple sincère et édifiant. Bravo.