Par rapport aux précédentes populations déplacées à cause de conflits, un changement de sémantique s’opère de la part de l’Europe envers les réfugiés ukrainiens
(…) Un changement de sémantique apparu ces derniers jours qui n’a pas échappé à Smaïn Laacher, sociologue et spécialiste des déplacements forcés de populations dans l’espace européen : « Il y a une attitude totalement différente à propos des Ukrainiens qu’envers les Syriens, les Kurdes, les Afghans… », confirme-t-il.
(…) Entre les Syriens de 2015 ou les Kurdes de novembre 2021 et les Ukrainiens d’aujourd’hui, il y a, selon Smaïn Laacher, une autre différence fondamentale : « Il s’agit de Blancs occidentaux non-musulmans. Les populations européennes sont plus emphatiques pour eux et ont moins d’inquiétudes autour d’une intégration sur le territoire. Les thèmes sur l’immigration musulmane sont constamment débattus en Europe, ce qui influe notre jugement et notre regard au moment d’accueillir Syriens ou Kurdes. »
Le sociologue poursuit : « L’Ukraine est considérée, aujourd’hui encore plus qu’hier, comme un pays de l’espace européen. Accueillir les Ukrainiens, dans l’idée des Vingt-Sept, c’est accueillir non pas un étranger, non pas un migrant, ni même pas un réfugié, mais un semblable ». Même constat chez François Gemenne, chercheur et expert des déplacements de population : « On aura davantage tendance à être solidaire avec des personnes similaires à nous, qui sont dans une situation dans laquelle on peut se projeter et se dire que ça nous aurait pu nous arriver. » Preuve en est pour le chercheur : de nombreux reportages attestent que des étudiants africains sont refoulés à la frontière polonaise, la solidarité concernant principalement les Ukrainiens blancs.
Pour Smaïn Laacher, l’effet pourrait être contreproductif : « Il est en train de s’installer une hiérarchie dans les migrations, qui risque de rendre l’Europe encore plus hostile aux réfugiés ne venant pas de son continent. »
Extrait de: Source et auteur
Pour la gauche, moins un type est disposé à s’ intégrer , et davantage il est le bienvenu….
Sauf que ceux qui défendent cette manière de voir ” l’ enrichissement culturel” s’ arrangent toujours pour ne pas habiter à proximité des losers inemployables qu’ ils appellent dans notre pays.
Nos gauchistes lausannois habitent tous dans les derniers quartiers monoethniques de la ville, étonnamment…
La bonne question est de connaître pourquoi et qui a intérêt à transformer la population européenne par une autre musulman-africaine.
“Il y a une attitude totalement différente à propos des Ukrainiens qu’envers les Syriens, les Kurdes, les Afghans… », confirme-t-il.” (sic).
Ce qui semble totalement insensé aux yeux de Smaïn Laacher. Car, il est entendu que les populations réfugiées musulmanes doivent être prioritaires, car ces chances que nous allons chercher chez Allah sont bien supérieures aux voyous venus de l’Est.
Ce que les bullots ne comprennent pas, c’est que se placer sous l’orbite américaine, ou même seulement désormais se revendiquer du camp “occidental” comme la Suisse, c’est devoir aussi accepter la “diversité” et à terme entériner la dissolution de son propre peuple.
Ce constat prouve précisément que l’on force les populations européennes à accepter sur leur sol des personnes dont elles ne veulent pas ou alors en petite quantité. La submersion migratoire afro-musulmane ad nauseam est contre-nature et ne peut se profiler comme un phénomène normalement acceptable!