La banque Credit Suisse aurait accepté comme clients de grands criminels durant des années, selon une enquête de plusieurs médias. Interview sans filtre de Carlo Lombardini, avocat et professeur de droit bancaire à l'Université de Lausanne.
Image: Montage watson
La banque Credit Suisse aurait accepté comme clients de grands criminels durant des années, selon une enquête de plusieurs médias. Interview sans filtre de Carlo Lombardini, avocat et professeur de droit bancaire à l'Université de Lausanne.
En très résumé, un consortium de 48 médias a révélé dimanche que des banques suisses planquaient l’argent de gens méchants durant le 20e siècle. Oui... et?
Carlo Lombardini: Et rien… C’est du ressassé. Comme cela avait été le cas pour les Swissleaks. Je conçois tout à fait que les pratiques bancaires visées ne correspondent plus à nos valeurs contemporaines. Mais à l’époque, ce n’étaient pas les mêmes règles. La société évolue.
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