A moins de deux mois du scrutin présidentiel, Emmanuel Macron cherche les bonnes nouvelles pour assurer sa popularité. Dans une France marquée par l’autoritarisme et l’austérité sous prétexte sanitaire, le président agite le rachat des turbines nucléaires Arabelle par EDF… Une bonne nouvelle à nuancer très largement. Et pour cause…
En 2015, Emmanuel Macron arrive à Bercy. Ministre de l’Economie et des Finances, c’est à lui que revient la validation de la vente de la branche énergie du français Alstom à l’Américain General Electric. Arnaud Montebourg, son prédécesseur n’aura pas voulu signer, Emmanuel Macron le fera sans état d’âme. C’est d’ailleurs une opération visiblement prévue de longue date par celui qui deviendra deux ans plus tard, le président de la République. En effet, Emmanuel Macron s’est directement impliqué dans l’opération très tôt. Dès 2012, alors qu’il est secrétaire général adjoint de l’Elysée chargé des questions économiques et industrielles, une étude commandée en urgence et payée 200 000 euros au cabinet de conseil américain A T Kearney se penche sur les avantages et inconvénients d’un rachat de la branche énergie d’Alstom à GE…
Depuis, Emmanuel Macron continue de nier et de mentir sur sa réelle implication dans le scandale qui a coûté l’emploi de plus de 4 000 Français, une perte de savoir-faire et de brevets, et l’effondrement d’une part de notre industrie de pointe stratégique.
Spécialiste des questions industrielles, le coordinateur national de l’Avenir Français et membre du Bureau National du RN, Jean-Philippe Tanguy, revient sur une affaire qui fleure bon le scandale d’Etat et le pacte de corruption au service d’Emmanuel Macron depuis près de 10 ans.L’article Le Samedi Politique avec Jean-Philippe Tanguy – Corruption : le scandale qui peut tuer Macron est apparu en premier sur TVLibertés - 1ère chaîne alternative | Nous, c’est vous.
Extrait de: Source et auteur
Il serait intéressant de savoir combien M. Micron a touché comme ”commission” pour cette vente ?
Il est très étonnant que les syndicats si rapide pour dégainer n’ont pas manifesté lors de la suppression de 4’000 emplois.
Maintenant, M. Micron se présente en ”sauveur” lors du rachat du département turbine !!
La période pré-électorale nous montre tous les méfaits du ”fossoyeur” de l’industrie française !