[…] Dans le nord de la Virginie, une jeune musulmane, étudiante de deuxième année au lycée de Fairfax, a affirmé que mardi 14 décembre, elle a été victime d'une attaque "islamophobe". Elle et une soi-disant témoin ont affirmé que "plusieurs élèves avaient fait des dessins offensants au sujet des musulmans, des juifs et de George Floyd". Lorsqu'elles ont voulu leur en faire le reproche, ils "ont tenu des propos offensants et l'un d'eux s'est approché très près" de la jeune musulmane.
Selon cette dernière, le chaos a suivi : "Mon sac à dos l'a heurté, il s'est mis en colère, m'a poussée et a attrapé mon hijab. Alors je lui ai donné un coup de poing dans le ventre parce qu'il ne voulait pas me lâcher. Il m'a jetée à travers la pièce et j'ai heurté tout mon côté gauche sur la chaise et le pupitre." Elle affirme qu'"elle s'est finalement retrouvée à terre et avait du mal à respirer".
Elle dit avoir été profondément traumatisée. "Je n'ai rien pu manger, j'ai même vomi", a-t-elle déclaré à WUSA, "à cause du stress et du fait que je suis dégoûtée d'avoir dû subir cela dans mon école, où je devrais me sentir en sécurité". Elle a précisé qu'elle se battait pour que justice soit rendue à toutes les filles qui portent le hijab. "J'ai fait ça pour toutes les hijabistes. Chaque fille musulmane, chaque personne musulmane, chaque gars musulman. Ce n'est pas, euh - c'est une chose quotidienne que nous vivons, et les gens essaient de dissimuler cela et de le faire ressembler à, euh, un accident." Elle a également accusé "l'école d'essayer d'étouffer l'affaire et de dire que j'ai eu une crise de panique, ce qui n'est pas vrai".
Les élèves du lycée ont soutenu leur camarade. Après tout, on leur a appris toute leur vie que, depuis le 11 septembre, les musulmans sont particulièrement victimes de discrimination, de harcèlement et de crimes de haine, et que seuls les sectaires et les suprémacistes blancs ne se montrent pas solidaires avec eux. Ils ont donc tout gobé et environ 350 élèves du lycée Fairfax ont manifesté devant l'établissement le surlendemain, se disant en colère non seulement contre l'attaque "islamophobe", mais aussi contre la réaction de l'école.
En effet, la jeune musulmane a affirmé qu'"elle et l'élève qui lui aurait arraché son hijab ont tous deux reçu une suspension d'un jour dans l'établissement et ont été placés pour cela mercredi dans la même pièce." Pourquoi l'agresseur et sa victime ont-ils reçu la même punition ? Les responsables de l'école n'ont pas voulu le dire, et Ibrahim Hooper, du Conseil des relations américano-islamiques (CAIR), liée au Hamas, toujours prêt à sauter sur n'importe quel prétendu "crime de haine islamophobe", a fulminé: "Il est de la responsabilité des administrateurs et des éducateurs d'assurer la sécurité de tous les élèves […]. Cet incident doit faire l'objet d'une enquête […]." Une pétition a même été lancée sur Change.org, demandant aux administrateurs de l'école d'agir de manière plus décisive dans le cadre de cet incident ; à l'heure où nous écrivons ces lignes, elle compte plus de 27'000 signatures.
C'était donc une véritable orgie de victimisation… à laquelle la police de Fairfax a brusquement mis un terme. WTOP a rapporté samedi qu'"une enquête du département de police de la ville de Fairfax a déterminé qu'une altercation physique au lycée de Fairfax mardi n'était pas un crime de haine. ... L'enquête a révélé qu'aucun des deux étudiants n'avait tenu de propos racistes", selon la police. L'étudiante a confirmé que "son hijab s'est partiellement défait pendant l'altercation, exposant ses cheveux". Elle a également déclaré à la police que les informations publiées sur plusieurs sites de médias sociaux, affirmant que des commentaires raciaux avaient été prononcés pendant l'altercation, étaient fausses.
Ne soyez pas surpris. Bon nombre des cas les plus célèbres de harcèlement de femmes et de filles en hijab se sont révélés avoir été inventés par les victimes elles-mêmes. Dans un de ces cas, une fillette de onze ans de Toronto a fait la une de journaux internationaux en affirmant qu'un homme l'avait suivie et avait coupé son hijab avec des ciseaux. Après une enquête, la police a conclu que l'agression n'avait jamais eu lieu. De même, Yasmin Seweid, une adolescente musulmane, a affirmé en décembre 2016 que des partisans de Trump dans le métro de New York lui avaient arraché son hijab et que personne dans le wagon bondé ne l'avait aidée. Elle aussi a attiré l'attention des médias internationaux, et elle aussi avait tout inventé. Peu auparavant, une étudiante musulmane portant un hijab à l'université d'État de San Diego a prétendu à tort avoir été agressée par des partisans de Trump. En juillet 2017, une musulmane de Grande-Bretagne a faussement affirmé qu'un homme lui avait arraché son hijab. En novembre 2016, une étudiante musulmane de l'université du Michigan a affirmé avoir été "accostée par un homme blanc qui lui a dit d'enlever son hijab sinon il l'enflammerait avec un briquet." Elle aussi avait fabriqué l'incident de toutes pièces. […]
Traduction libre: Albert Coroz
N’oubliez pas Jussie Smollett! Un avant-goût de ce qui nous attend avant les élections en France pour diaboliser les partisans du politiquement incorrect !
Marre d’entendre toujours les mêmes offensés. Marre des femmes voilées et des barbus furieux. Marre de toutes ces minorités qui, chaque jour un peu plus, empiètent sur nos libertés et nous pourrissent la vie. Et marre surtout, des médias et des parlementaristes, qui nous contraignent à suivre une idéologie à l’opposé de nos mœurs et de notre histoire.
”Bon nombre des cas les plus célèbres de harcèlement de femmes et de filles en hijab se sont révélés avoir été inventés par les victimes elles-mêmes …”
C’est complètement fou ces histoires inventées par de jeunes adolescentes muzz … il faut croire que cela ne tourne pas rond dans leur tête … vite, vite un rendez-vous chez le psy !