Cenator: Actuellement, le canton de Vaud envisage d'interdire la thérapie de conversion librement choisie par des adultes, ce qui est le comble dans un pays où les temples satanistes et les marabouts pullulent, et aussi dans un canton qui est pionnier en matière d'endoctrinement scolaire par la propagande LGBT.
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Notre discours pastoral sur l'interdiction de la thérapie de conversion ne regarde pas le gouvernement
Andrea Williams, 19 décembre 2021
La semaine dernière, plus de 2 000 responsables religieux, dont de nombreux membres de l'Église d'Angleterre, ont signé une lettre ouverte à l'intention de la Secrétaire à l'Égalité, Liz Truss, déclarant qu'ils sont prêts à être criminalisés si le gouvernement continue dans son projet d'interdire les thérapies de conversion.
Le Bureau de l'Égalité a répondu : « Nous reconnaissons que pour les croyants, le soutien de leurs responsables religieux et de leurs communautés peut être vital.
»L'interdiction n'empêchera pas les responsables religieux d'offrir leur soutien sur les questions d'orientation sexuelle et d'identité transgenre. Elle ne couvrira que ceux qui cherchent à changer une personne pour qu'elle soit ce qu'elle n'est pas, au lieu d'offrir un soutien impartial. La liberté d'exprimer les enseignements de n'importe quelle religion ne sera pas affectée par l'interdiction.»
Ma réponse à cela, en tant que directeur de Christian Concern et du Christian Legal Centre, c'est qu'Henry Ford a dit qu'un client pouvait avoir une voiture de n'importe quelle couleur pourvu qu'elle soit noire. Ce porte-parole du gouvernement pour l'Égalité suit le même genre de logique dans sa tentative de rassurer les responsables religieux sur l'interdiction des thérapies de conversion.
C'est très bien de reconnaître que pour les croyants, « le soutien de leurs responsables religieux et de leurs communautés peut être vital ». Mais quand on nous précise que « l'interdiction ne couvrira que ceux qui cherchent à changer une personne pour qu'elle soit ce qu'elle n'est pas », là nous ne sommes plus sûrs de rien.
Qui définit l'identité réelle de la personne qui recherche des conseils ou un soutien? Le garçon de cinq ans qui prétend être une fille le devient-il immédiatement? L'auto-identification d'une fille de 13 ans en tant que « genre du puzzle » (quelqu'un qui pense que son genre doit être reconstitué comme un puzzle) est-elle une déclaration sacrée qui ne saurait être contestée dans le cadre d'un soutien pastoral ou d'une thérapie?
« L'identité de genre » est par définition séparée de la réalité observable du sexe. Il n'y a aucun moyen de tester si quelqu'un « est » trans, car l'identité de genre appartient uniquement au domaine des idées. Une interdiction qui sacralise l'identité de genre en en faisant la réalité objective d'une personne, plutôt que simplement la façon dont elle souhaite être traitée, est pure idéologie.
Être « homosexuel » ou « hétérosexuel » n'a pas non plus de test objectif, à part la description du comportement d'une personne à un moment donné. « Né gay » est également une idéologie séparée de la réalité. Il n'y a pas de test génétique pour prouver l’orientation sexuelle d'une personne.
Puisque l'attirance sexuelle est bien connue pour être fluide au fil du temps, comment pouvons-nous juger si un pasteur a aidé une personne hétérosexuelle à découvrir son hétérosexualité ou a « cherché à changer une personne pour qu'elle soit ce qu'elle n'est pas » ?
Si un homme mène une vie de célibat conforme à sa foi pendant 20 ans après un certain soutien, mais qu'il adopte ensuite une identité homosexuelle au milieu de sa vie, ce pasteur a-t-il commis une thérapie de conversion ? Et le pasteur sera-t-il déclaré innocent si l'homme revient plus tard à un style de vie chaste?
Si un chrétien ayant une femme et des enfants commence à éprouver des désirs d'activités sexuelles qui ne peuvent être satisfaites dans le cadre du mariage, est-il autorisé à s'identifier comme « hétéro » et à recevoir un soutien pastoral volontariste pour l'aider à rester fidèle à ses vœux et à garder la famille ensemble ?
Est-ce qu'une personne qui s'identifie comme un ex-gay ou un ex-transgenre pourrait porter plainte pour thérapie de conversion contre les conseillers ou les services de santé publique qui ont dit qu'elle devrait adopter une identité gay ou trans ?
Le seul test objectif relatif à la sexualité et au genre est de regarder le corps de quelqu'un et de déterminer qu'il s'agit bien d'un homme ou d'une femme. Ainsi, les seuls types de pratiques qui peuvent être démontrés comme « cherchant à changer une personne pour qu'elle soit ce qu'elle n'est pas » sont les hormones sexuelles croisées et la chirurgie de réassignation.
Cette interdiction des thérapies de conversion ne touchera pas aux pratiques objectivement néfastes qui conduisent, entre autres, à une perte définitive de la fertilité.
Elle ne sera utilisée que pour cibler les personnes qui croient en l'éthique sexuelle chrétienne traditionnelle, ou qui ne croient pas en l'idéologie du genre.
Il en est ainsi parce que tous ceux qui ont fait pression sur le gouvernement dans ce projet législatif désastreux s'opposent farouchement à ces visions traditionnelles et y voient une occasion de criminaliser leurs opposants.
L'application de ces lois sera inévitablement : « Vous pouvez suivre n'importe quelle thérapie pourvu que vous adoptiez une identité gay ou trans. »
Mais les chrétiens – comme presque tout le monde – croient au bien et au mal. Dire aux pasteurs qu'ils peuvent apporter leur soutien pour autant que cela renforce l'idéologie approuvée par le gouvernement frappe au cœur du caractère moral de l'Église.
L'Église a une vision forte de ce que signifie s'épanouir à l'image de Dieu en suivant l'enseignement de Jésus-Christ. Le gouvernement n'a simplement pas à faire la police des entretiens pastoraux.
Traduction: Cenator
Ben ils ont certainement soutenu Brigitte. C’est ok.
Par contre au dîner du CRIF , Le type a monté le bras de Macron de force comme si c’était son pantin, or les espions du monde entier savaient depuis longtemps pour la conversion de jean-michel\Brigitte.
Du coup qui, mais qui dirige la politique de la France ?
Ou est la Sécurité Nationale ???