JÉRUSALEM, le 8 décembre 2021
Une femme juive qui accompagne ses enfants à l'école est poignardée dans le dos par une voisine musulmane de 15 ans qui a ensuite pris la fuite.
L'attaque s'est produite près du quartier Shimon Hatzaddik (surnommé Sheikh Jarrah par les musulmans) de la capitale israélienne, lorsqu'une mère juive de 26 ans a été poignardée dans le haut du dos par une terroriste musulmane de 15 ans qui a ensuite pris la fuite.
INN (h/t Frederic F) Les premiers répondants d'urgence United Hatzalah et MDA ont été dépêchés sur les lieux et ont soigné la victime, Moriah Cohen, avant de l'évacuer vers le centre médical Hadassah Mount Scopus pour des soins supplémentaires.
Des unités de police ont été déployées dans la zone pour rechercher le terroriste responsable de l'attaque. Le terroriste, âgé de 15 ans, a été découvert plus tard, caché dans une école près du lieu de l'agression. L'ambulancier Yehiel Stern de United Hatzalah a déclaré que la victime avait été attaquée alors qu'elle accompagnait ses enfants à l'école.
"Des passants ont déclaré que [la victime] a été poignardée alors qu'elle se promenait avec un landau et qu'elle emmenait ses enfants à l'école, et qu'elle a été gravement blessée, mais qu'elle est maintenant dans un état stable".
La jeune Palestinienne (ci-dessous), également résidente de Sheikh Jarrah, a été arrêtée car elle est soupçonnée d'être l'assaillante. L'adolescente nie tout lien avec l'attaque, déclare son avocat au Times of Israel.
Le mari de la victime de l'agression au couteau, Dvir Cohen, a déclaré à Israel Hayom que "l'agresseur est notre voisin". Moriah se sent bien. Le couteau était long mais n'a pas blessé les organes internes". Lorsqu'on lui a demandé s'il connaissait l'assaillante, Dvir a répondu : "Il semble que ce soit une de nos voisines. Elle a suivi ma femme.
"Nous sommes menacés, et j'ai entendu des menaces comme 'je vais te tuer' à plusieurs reprises. De tels incidents se produisent quotidiennement, et il y a aussi des graffitis menaçants. Pendant Hanoukka, notre menorah a été éteinte et une autre a été brisée. Nous vivons à proximité de terroristes".
Depuis l'opération "Gardien des remparts", notre maison a reçu 11 cocktails Molotov et a été la cible de lanceurs de pierres. Nous continuerons à vivre ici, cela fait partie de notre mission.
https://barenakedislam.com/2021/12/08/jerusalem-jewish-woman-walking-her-kids-to-school-stabbed-in-back-by-muslim-teenage-terrorist-neighbor/
https://www.israelnationalnews.com/news/318284
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Cenator: La propagande de Gauche a besoin, pour faire vivre ses causes, de jeunes-filles photogéniques. Greta Thunberg pour le climat ou Ahed Tamimi pour la cause palestinienne, etc.
Des palestiniens militants du Hamas s'introduisent dans des foyers, égorgent des familles juives entières... et il s'agit d'une non-nouvelle en Suisse. Une jeune-fille poignardée en pleine rue en Israël, au nom de la cause palestinienne et nos médias n'en parlent pas.
Par contre, une mascotte des terroristes, Ahed Tamimi, qui crache, donne des coups de pieds aux soldats israéliens, nos journalistes en font une héroïne!
Cette propagande unilatérale de la RTS est tolérée sans la moindre remise en question.
Lorsque Ingnazio Cassis a dit: "l'UNRWA fait partie du problème, non de la solution", une meute de journalistes s'est jetée sur lui et il a fini par devoir se justifier, puis s'excuser.
Dans le sillage de ce journalisme militant, des ONG, des politiciens s'engouffrent en vue d’obtenir de la visibilité, des subventions.
Et la Suisse se paye même le luxe (avec l'argent des contribuables) de se donner un rôle humaniste, via des organismes comme l'UNRWA, qui finance et entretient un conflit, une animosité israélo-palestinienne depuis 1948.
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Ahed Tamimi, la jeune activiste qui défie Israël
La vidéo a été vue plus de 3 millions de fois. Lundi 18 décembre, en marge d’une échauffourée dans le village palestinien de Nabi Saleh, près de Ramallah, des affrontements ont lieu entre des Palestiniens et des soldats israéliens.
Ahed Tamimi, 17 ans, et sa cousine Nour Naji Tamimi, 21 ans, s’en prennent à deux soldats israéliens devant leur maison. Les deux militaires restent impassibles face à ces provocations. Ahed finit par gifler un des hommes. Les soldats partent à reculons. Quatre jours après les faits, elle et sa mère, Nariman Tamimi, sont placées en garde à vue, emmenées sous l’œil des caméras israéliennes. Sa cousine est arrêtée un jour plus tard par les Israéliens.
Une famille activiste
Ahed n’est pas tout à fait une inconnue. Son visage encadré de boucles blondes est une figure de l’activisme palestinien contre les abus de l’occupation israélienne. On la reconnaît sur plusieurs vidéos et photos qui participent à la guerre d’images à laquelle se livrent Palestiniens et Israéliens.
La jeune fille est plutôt rodée aux apparitions médiatiques. En 2012, des images d’elle à seulement 11 ans, brandissant le poing face à des soldats israéliens hilares, avaient déjà fait le tour du monde.
Dans sa famille, défendre la cause palestinienne par la communication est un combat de tous les jours. Son père, Bassem Tamimi, 50 ans, est un activiste bien connu des forces israéliennes. Il collectionne les arrestations à la suite de participations à des manifestations. Selon lui, sa fille a été arrêtée pour avoir protesté contre les soldats qui avaient tiré avec une balle de caoutchouc sur le cousin d’Ahed, Mohammed Tamimi, 14 ans, plongé dans un coma artificiel depuis.
Tamimi Press
Les actions d’Ahed sont régulièrement filmées par son oncle qui a créé son agence de presse, Tamimi Press. Il possède des heures et des heures d’images d’affrontements entre Palestiniens et soldats israéliens, les enfants en première ligne, bravant le danger. Souvent Ahed, reconnaissable à sa flamboyante chevelure, fait partie des meneurs.
Considérée comme un symbole de la contestation palestinienne, la jeune femme a d��jà été reçue par Mahmoud Abbas, le président palestinien, et par Recep Tayyip Erdogan, le président turc. Elle a reçu des récompenses pour son engagement pour la cause palestinienne.
Mais côté pro-israélien, ce n’est pas la même image qu’on a de la jeune femme. Considérée comme une actrice provocatrice et manipulatrice, elle est accusée de créer volontairement les conditions des affrontements entre les soldats israéliens et les Palestiniens de Nabi Saleh, haut lieu de contestation contre l’occupation israélienne, pour faire ensuite de la propagande anti-Israël sur les réseaux sociaux.
« Insulte nationale »
Les heurts qui ont mené à l’arrestation de la jeune militante ont eu lieu dans un contexte particulièrement tendu. La décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël a brisé tout espoir palestinien dans la région. Depuis, les heurts quotidiens ont fait des dizaines de blessés et huit morts palestiniens, dont un homme en fauteuil roulant atteint d’une balle dans la tête alors qu’il manifestait dans la bande de Gaza.
Le nouvel affrontement avec les Tamimi a été la goutte d’eau qui a cristallisé les tensions. Ce n’est pas tant ce que représente la jeune fille dans le monde, mais l’humiliation des soldats qui a enflammé Israël. Après l’épisode de la gifle, l’armée israélienne a envoyé 16 soldats arrêter Ahed, 30 selon son père. Une démonstration de force bien étonnante.
Mais un tel déploiement sert à montrer à la population israélienne qu’« une jeune Palestinienne qui frappe un soldat israélien est une insulte nationale qui ne peut être apaisée que par des images de cette même fille emmenée de sa maison par des soldats en uniforme », écrit le journaliste Anshel Pfeffer sur le site Haaretz, un grand quotidien national.
La réaction du gouvernement a été violente. « Elles doivent finir leurs vies en prison », a déclaré Naftali Bennett, ministre israélien de l’Éducation. Selon lui, la jeune femme risque sept ans de détention. Sur les réseaux sociaux, les messages de soutien pour Ahed sont nombreux, réunis par le hashtag #FreeAhedTamimi.
Ce jeudi 28 décembre, les trois femmes ont comparu à nouveau devant le tribunal militaire israélien d’Ofer, en Cisjordanie. L'adolescente et sa mère resteront en détention jusqu'à lundi. Sa cousine doit être en principe libérée ce dimanche.
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« La SSR n’aime pas les Juifs » .
article complet: https://lesobservateurs.ch/2018/04/24/ssr-naime-juifs/
mon commentaire: le 24 avril 2018 à 23h35
L’article porte sur la RTS alémanique, mais la RTS romande ne vaut pas mieux.
Ainsi, il est absolument scandaleux que la RTS (et la totalité des médias romands) ne cessent d’encenser la fille d’un djihadiste qui a poignardé un Israélien, Chaim Mizrahi, puis, avec une cruauté inimaginable, l’a enfermé dans le coffre de sa voiture et y a mis le feu (voir l’article).
Jamais ces faits ne sont évoqués lorsque la TSR parle de la fille de ce meurtrier, Ahed Tamimi, présentée comme une jeune icône qui lutte courageusement pour la cause palestinienne. Comme s’il allait de soi qu’un jeune soldat doive se laisser mordre, encaisser des coups de pied, être frappé, parce qu’une ado a été dressée à faire cela par ses parents.
Jamais la RTS n’a pipé mot sur le passé d’assassin bestial du père de cette « icône », qui la filme lorsqu’elle agresse les soldats. (Tout un staff professionnel prépare toujours la scène.) La jeune fille, très photogénique avec ses boucles blondes bien arrangées, sait exactement comment se placer devant les caméras.
https://www.alterinfo.net/Ahed-Tamimi-nouvelle-icone-de-la-resistance-palestinienne_a135482.html
Et la TSR reprend cette propagande, gave la population d’infos pour susciter encore et encore la haine d’Israël, tout en défendant la cause des migrants (et des musulmans) d’une manière inconditionnelle.
Uniquement en recensant les liens ci-dessous, nous avons constaté que parmi les journalistes présentant ces émissions, quatre sont d’origine musulmane. Peut-être que cela contribue au fait que la RTS diffuse à profusion et sans vergogne la propagande pro-palestinienne.
https://www.rts.ch/play/radio/la-matinale/audio/le-proces-de-ladolescente-palestinienne-ahed-tamimi-reporte?id=9212743
https://www.rts.ch/play/radio/le-12h30/audio/debut-du-proces-de-ladolescente-palestinienne-ahed-tamimi-en-cisjordanie?id=9310206
https://www.rts.ch/play/tv/12h45/video/licone-palestinienne-ahed-tamimi-est-jugee-par-isral?id=9330980
https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/le-proces-dune-adolescente-palestinienne-devenue-une-herone?id=9333080
https://www.rts.ch/play/radio/la-matinale/audio/le-proces-de-ladolescente-palestinienne-ahed-tamimi-reporte?id=9212743
http://www.rts.ch/info/monde/9429513-huit-mois-de-prison-pour-une-ado-devenue-une-icone-palestinienne.html
La lobotomisation et le formatage des cerveaux d’ados fonctionnent à merveille.
Les soldats israéliens ne vont pas prendre trop au sérieux une gamine qui les invective avec le poing levé … mais lorsque l’ado de 15 ans poignarde une mère de famille dans le dos, il ne faudra pas s’étonner si les armes parlent …
La région d’Israël-Palestine est un panier de crabe et croire qu’il y a de la violence que d’un seul côté est du manichéisme. Maintenant si on veut regarder les faits de manière historique, nous avons une population d’origine berbéro-européenne (ashkénazes et séfarades) colonisant un territoire peuplé par un peuple d’origine arabo-sémite qui descend des habitants vivant dans ces lieux au temps de Jésus (la preuve avec le fait que les Samaritains sont une des communautés palestiniennes et qu’elle a perdu quantité d’adeptes au cours des siècles suite à des conversions). Et là je n’utilise que des données facilement trouvables.
Les amoureux de Billag et des autres escroqueries gauchistes peuvent jubiler. Plus ils ridiculisent ceux qui ne sont pas de leur avis, mieux ils se portent. Notre pianiste leur fera octroyer encore davantage de subventions à la gloire exclusive de l’internationale. On a supprimé les saints et le drapeau suisse pour complaire aux éternels offensés, bientôt ce seront nos soldats qui se battront pour l’état islamique.