Orbán : Aujourd’hui, nous nous souvenons du jour où nous, Hongrois, avons montré qui nous sommes vraiment

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Nous nous souvenons du jour merveilleux d'il y a 65 ans, où nous, Hongrois, avons montré qui nous sommes vraiment, a déclaré le Premier ministre Viktor Orbán dans un discours prononcé à Budapest pour marquer le 65ème anniversaire de la révolution et de la guerre d'indépendance de 1956.

Dans son discours lors de la cérémonie au carrefour des routes Bajcsy-Zsilinszky et Andrássy, le Premier ministre a déclaré que "ce n'est pas un lieu ordinaire ; il y a quinze ans, à ce moment précis, ici, à l'angle des routes Andrássy et Bajcsy-Zsilinszky, le passé et le présent se regardaient en face".

D'un côté, les jeunes communistes au pouvoir, (de retour au  gouvernement depuis le départ des troupes soviétiques) ont transformé la commémoration du début de révolution de 56 avec la commémoration du jour, le 6 novembre, lorsque les tanks soviétiques ont écrasé la révolution de 56.  Des grenades lacrymogènes, des balles en caoutchouc, des vipères, des uniformes non identifiables (services secrets) et des canons à eau.
De l'autre côté, il y avait une nation trompée et humiliée, qui, après 50 ans, devait entendre à nouveau qu'on lui avait "menti du matin au soir"[1] , a-t-il déclaré.

M. Orbán a souligné que "d'un côté se tenait le pouvoir qui avait été trompé par des centaines de ruses et défendu bec et ongles, et de l'autre côté se tenait le peuple désespéré aligné derrière des pancartes avec des lettres géantes  de Liberté".

Lors de la commémoration, le Premier ministre a souligné qu'il y a des moments dans la vie des nations où, soudain, tout le monde sent que c'est assez, que les choses ne peuvent plus continuer comme avant.

"Le moment où nous devons décider, et notre décision nous montrera qui nous sommes vraiment. Une nation entière sera révélée pour ce qu'elle vaut. Se taire ou protester, acquiescer ou se rebeller, détourner le regard ou se lever, regarder lâchement ailleurs ou se battre."

On ne peut pas se cacher dans ces situations, parce qu'il y a une vérité supérieure qui ne tolère des contradictions se montre devant tout le monde et nous met face à cette vérité.
Il faut décider de quel côté vous vous tenez. Et d'un clin d’œil, on peut voir, qui est le bon et qui est la scélérate, qui se tient du bon et du mauvais côté de l'histoire.

M. Orbán a déclaré que "nous, les Hongrois, avons pris la bonne décision, nous avons protesté, nous nous sommes levés, nous nous sommes rebellés et nous nous sommes battus.
La liberté contre l'esclavage, l'indépendance contre l'occupation, les patriotes hongrois contre les communistes."

Nous souvenons de ce jour merveilleux où nous, Hongrois, avons montré à nous-mêmes, au monde et à nos ennemis qui nous sommes vraiment.
Nous  nous souvenons du moment où nous n'avons pas remis en question si Dieu est avec nous, mais nous nous demandions si nous sommes avec Dieu. Des puissantes forces sont levées en nous pour faire trembler les piliers du communisme totalitaire.

Nous nous souvenons du moment où la nation hongroise a écrit l'histoire, s'est retrouvée en un clin d'œil, et où le nom hongrois est redevenu beau et digne de sa grande et ancienne réputation.
Gloire aux héros qui ont mené la révolution, qui ont été exécutés par la suite. En regardant nos héros, nous voyons cette nation fière à laquelle nous appartenons tous.

Puis, Orban est revenu sur cette nouvelle génération de communistes qui, en 2006, ont à nouveau représenté la Hongrie à tous.
Ils sont arrivés au pouvoir sur la base de mensonges.
Ils ont éblouis les électeurs lors d'une campagne électorale avec des réductions d'impôts, puis ont augmenté les impôts. Ils ont introduit des augmentations des frais d'hospitalisations, des frais médicaux et des factures de services publics qui ont explosé. Ils ont supprimé le 13ème mois de pension et supprimé les allocations familiales.
En collusion avec le monde bancaire international, ils ont piégé des centaines de milliers de familles avec des prêts en devises étrangères".

Le pays a été bradé, tout a été vendu aux étrangers, les aéroports, la compagnie nationale d'énergie, les services publics. Puis, après avoir pillé et mis en faillite tout le pays, ils nous ont "mis la laisse du FMI autour de notre cou".

 

Et lorsque nous nous avons manifesté, ils ont répondu par des gaz lacrymogènes, des balles en caoutchouc et avec des armes à feu et avec des policiers venus sur des chevaux. Des yeux ont été crevés, des femmes sans défense et des personnes âgées ont été battus à coups de matraque. Là où nous sommes maintenant, il y a 15 ans, violences, du sang et des larmes ont rempli les rues de Budapest.

Tous cela s'est déroulé au vu du monde entier, durant la 50ème commémoration de la révolution de 56. Je l'articule lentement: Nous n'allons jamais l'oublier!

(Ndlr: Il y a 15 ans, nos médias orientés 'Gauche' n'en avaient jamais parlé en ces termes, la RTS et la presse romande défendaient le gouvernement communiste corrompu face à la révolte de la population, tout en oubliant de parler de la répression sanglante.)

L'humour de Budapest dit, il ne faut jamais se fâcher lorsque tu as raison mais seulement lorsque cela rapporte. Nous avons attendu le bon moment aussi. Quatre longues années pour gagner les élections à nouveau. Ils ont reçu en punition, ce que nous avons gagné en récompense, c'est-à-dire, gagner les élections avec 75%. Comme en 56, nous, nous. On s'est serré les coudes, et nous avons balayé loin cette Hongrie socialiste.  Applaudissements

En 1956, Ernö Gerö et ses camarades ont fui en panique à Moscou pour de l'aide. En 2006, nous n'avons pas eu cette chance. rires
Et les socialistes et leurs dirigeants sont encore sur notre dos. Depuis, ils errent parmi nous, dans la vie publique, comme le fantôme du Parlement.  rires, applaudissements

Il a fallu des années pour rebâtir ce que la Gauche avait détruit.

"C'est une grande miséricorde que l'unité nationale ait été maintenue tout au long de cette période, et que les ruines aient été effacées par l'unité des travailleurs, des ingénieurs, des agriculteurs, des petits et grands entrepreneurs, des scientifiques, des enseignants, des infirmières et des médecins nous avons réussi à nettoyer les ruines", et nous avons remis la Hongrie debout.

Nous avons créé un million de nouveaux emplois, nous nous sommes débarrassés des prêts en devises, nous avons écrasé les impôts et nous sommes même arrivés au point où, l'année prochaine, le salaire minimum sera plus élevé que le salaire moyen sous les socialistes.

Nous avons repris des entreprises, des banques, des services publics  et des médias, et nous avons multiplié la richesse nationale par un fois et demi. Nous avons taxé les multinationales, protégé les familles et réduit les frais généraux (frais fixes des ménages comme l'électricité, le chauffage, etc) au niveau le plus bas d'Europe,

La Hongrie est désormais suffisamment forte pour respecter les personnes âgées et les jeunes en même temps. Le Premier ministre a déclaré que le 13ème mois de la rente de vieillesse sera rétabli, que les jeunes qui vivent de leur travail ne devront pas payer d'impôts jusqu'à l'âge de 25 ans. Les familles avec enfants récupéreront les impôts qu'elles ont payés cette année.

Nous avons un univers hongrois et une vie hongroise qui n'appartient qu'à nous. Nous avons une constitution qui garantit qu'ils ne puissent plus jamais nous faire, ce qu'ils nous ont fait en 56 et en 2006.
Nous nous sommes reliés avec les Hongrois qui vivent dans les territoires perdus.  Forts applaudissements

Il y fallait la volonté de beaucoup de millions de Hongrois, et également leur travail. Ceux qui ont crû dans la force de la solidarité et de l'amour du pays, la gloire, la reconnaissance est à eux.
Le fait que nous avions un gouvernement qui ne se composait pas de bras cassés, mais de personnes lucides et pragmatiques, n'a non plus pas nuit à la cause. Applaudissements, rires.

N'oublions pas que, lorsque nous avons baissé les frais de ménage, lorsque nous avons écrémé les profits des multinationales et nous avons renvoyé à la maison le FMI, toute l'UE nous a attaqué.
Et ils nous ont aussi attaqué, lorsque nous avons stoppé les migrants, nous avons bâti nos clôtures et défendu nos frontières. Des tas de ministres européens ont attaqué la Hongrie. Nous y sommes toujours, mais qui se souvient du nom de ces ministres? applaudissements

Maintenant aussi, comme en 1849, 1920, 1945 et aussi en 1956, les seigneurs européens, au-dessus de notre tête, ont délibéré et veulent délibérer sur nous mais sans nous. Ils nous battent jusqu'à ce que nous devenions des Européens sensibles aux causes des libéraux, même si nous allons en crever.

Bruxelles nous parle et se comporte avec nous, et aussi avec les Polonais, comme cela est habituel avec ses ennemis.
Le doctrine brejnevienne balaye actuellement l'air de l’Europe.

À l'endroit où nous nous trouvons aujourd'hui, il y a 15 ans, les rues de Budapest étaient couvertes de violence, de sang et de larmes. Tout cela s'est passé le jour du 50ème anniversaire de la révolution de 1956, sous les yeux du monde entier. Nous ne les oublierons jamais.

Il était grand temps que Bruxelles comprenne que les communistes n'ont pu trouver leur bonheur avec nous.

"Nous sommes le sable dans la machinerie, le bâton mis dans les rayons, l'épine sous l'ongle. Nous sommes le David que Goliath ferait mieux d'éviter. C'est nous qui avons troué le navire du communisme mondial en 56 et c'est nous qui avons fait tomber la première brique du mur de Berlin".

Et nous tenons encore face à ceux qui nous salissent, et nous ne disons que ceci: les Hongrois n'ont pas encore obtenu gain de cause, mais qu'ils auront finalement à nouveau raison.

Nous restons sur nos positions et tout ce que nous pouvons dire, il n'y a jamais deux sans trois, avec la bataille de l'énergie et l'affaire des migrants. (ndlr: la Hongrie a l'électricité 7-9 fois moins chère que beaucoup de pays d'Ouest et refuse de taxer davantage l'énergie.)
Nous aurons des votations populaires et nous allons défendre nos enfants contre la propagande LGBT.

"La Hongrie sera le premier pays d'Europe qui arrêtera la violente propagande LGBTQ avant l'entrée des écoles."

Forts applaudissements

N'oublions pas que tous étaient nos ennemis, que nous devions nous affronter à tous, la Gauche nous a tiré dans le dos, et nous a nui partout où elle pouvait. Tout le monde peut voir, que de nouveau ils se réorganisent, et font leurs bassesses, créent de toute pièce des hostilités, suscitent la haine, des conflits, et sèment les graines de la violence.

Nos ennemis imaginent que s'il mettent un peau d'agneau sur le loup, nous n'allons pas les reconnaître. Mais nous reconnaissons le loup et savons que le loup va manger la grand-mère et c'est pire, il l'a déjà mangée. C'est pour cela que tout le monde a disparu dans l'estomac du loup qui était copain-copain avec lui (toute l'opposition s'est liguée contre le parti d'Orban). Et il y a encore de la place pour les hommes sortis du chapeau au dernier moment. applaudissements

Il est écrit: Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent vers vous en peau d'agneau. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Un bon arbre porte de bons fruits, mais un mauvais arbre porte de mauvais fruits."

"Seule une politique de gauche peut pousser sur l'arbre de la gauche, et il n'y a qu'une seule gauche, quelles que soient les mascarades qu'elle arbore. Ils commencent par des mensonges, poursuivent par la violence et laissent la faillite dans leur sillage"

Ceux qui ont tiré sur le peuple il y a 15 ans se préparent aujourd'hui à remonter sur scène. Et quelque part, et quelque part de l'autre côté des eaux larges, l'oncle Gyuri (1e ministre socialiste de 2006) se prépare déjà.

Lorsque nous avons demandé qu'ils viennent, ils ne sont pas venus et à présent, que nous ne leur demandons pas, ils sont là. Les envahisseurs ne veulent pas nous imposer leurs commissaires, mais ils veulent les faire élire (les=UE). De nos jours, ils ne viennent pas avec les armes à feu, ils ont Facebook.

Et Orban ironise: Je crois qu'ils nous ont mal compris en 56. L'appel (aux occidentaux) voulait dire que l'armée soviétique allait nous libérer, et non pas qu'ils se mêlent de notre démocratie.

En 1956, ceux qui ont déboulonné la statue de Staline n'étaient ni des intellectuels, ni des généraux expérimentés ou des personnages habitués à faire des discours. Les héros de 1956 sont de simples garçons et filles de notre peuple, comme nous le sommes ici sur cette place.

Aujourd'hui aussi, ce qui compte pour nous, ce n'est  pas ce qu'on veut nous imposer de Bruxelles, de Washington et dans les médias, dirigés depuis l'étranger. Aujourd'hui aussi, le destin des Hongrois sera décidé par le peuple hongrois.

Le 23 octobre nous rappelle de ne pas oublier notre responsabilité personnelle.

"1100 ans ont gravé dans notre ADN qu'ici, dans le bassin des Carpates, nous devons nous battre pour la liberté chaque jour, encore et encore"

Il a ajouté que la lutte pour la liberté exige non seulement le cœur et l'esprit, mais aussi la force, et notre force est notre unité.

Il a souligné que l'union fait la force, nous sommes ensemble parce que nous partageons nos croyances. Nous croyons tous en une Hongrie forte et indépendante, en la famille, en la nation, a-t-il ajouté.

Celui qui défend sa famille et sa nation contre des attaques étrangères peut compter non seulement sur son intelligence, son cœur et sa force, mais aussi sur le fait d'avoir raison.

La justice était alors et est toujours du côté des combattants de la liberté. C'est cette vérité qui nous a gardé en vie au cœur de l'Europe, la vérité des Hongrois. Depuis des siècles nous voulons cela: la justice pour la Hongrie, en 56, en 2006 et aujourd'hui.

Ne croyons pas que dans chaque situation nous avons toujours raison, mais nous avons toujours raison si nous sommes attaqués et nous nous défendons.
Nous avons raison lorsque nous défendons la justice du côté de ce qui était juste pour nos parents, de nos grand-parents.

Cette force de la vérité invincible. Cette vérité est dans l'âme des Hongrois.  Écoutez-la, annoncez partout, agissez selon sa voix en vous, et si les temps arrivent, tenez-vous debout devant vos maisons et défendez les!

Si nous voulons protéger la sécurité de nos familles, les frontières de notre pays, l'avenir de nos enfants, le fruit de notre travail, nos pensions, nos salaires, la réduction des frais de ménage, si nous voulons préserver notre culture, nos coutumes, notre langue, en d'autres termes, si nous voulons défendre la liberté de notre vie quotidienne, alors chacun doit prendre sa part dans la lutte qui nous attend.

Ce que nous avons acquis hier et avant-hier, nous devrons le défendre demain. Ce qui est suffisant aujourd’hui va s’avérer insuffisant demain.

Nous comptons sur tous les Hongrois qui se soucient de l'avenir de la Hongrie - "La Hongrie passe avant tout pour nous, donc ceux qui ne votent pas pour nous seront également mieux lotis avec notre gouvernement".

[...]

Ce que la gauche fabrique actuellement ressemble davantage à l’industrie de divertissement qu’à la politique. Ils ont annoncé sur des affiches géantes qu’ils vont nous vaincre, mais ils ne sont même pas arrivé à Noël (Jeux de mot de Orban avec le nom du maire socialiste de Budapest qui s’appelle Noël). Ils ont organisé une votation qu’ils n’ont pas été capables de gagner alors qu’il était le seul candidat.

Ils sont en concurrence pour savoir, qui sera le préposé de Soros et de Bruxelles en Hongrie. Qui sera celui qui va régner sur le peuple hongrois avec sa clémence. Qui sera le nouveau pacha à Buda ?

« Ils disent ouvertement être prêt à s’allier avec le diable pour arriver au pouvoir. »

Leur but est de prendre le pouvoir des mains de Marie (c’est-à-dire, les valeurs chrétiennes) pour le déposer devant  les pieds de Bruxelles.

Ne nous laissons pas abuser par la capacité de jugement vacillante et les malheurs spectaculaires de la Gauche hongroise. Ce n’est pas cela qui compte. Ce qui compte, ce sont les forces internationales qui les soutiennent, ce qui est puissant, c’est le véritable défi, et même, la menace, c'est l’arrière-front international, son argent, les médias et le réseau qui les soutiennent. Il s'agit d'une force sérieuse que seuls des millions de Hongrois unis peuvent vaincre et chasser ensemble du pays.

Nous avertissons tous à temps : Ceux qui nous ont mordu, y ont cassé leurs dents ou se sont retrouvé avec des chicos.

Peu importe à quel point nos ennemis étaient puissants, nous n’avons jamais fui et maintenant non plus, nous n’allons pas reculer car nous savons que nous irons ensemble jusqu’au bout.

Regardez à ceux qui sont autour de nous. Vous voyez dans leurs yeux que vous pouvez compter les uns sur les autres. Votre voisin fera tout son possible pour traverser même les murs les plus épais. C’est notre force, c’est notre arrière front et il n'y a pas assez de dollars ou d'euros dans le monde pour nous enlever cela.

 

« Nous sommes venus, nous avons vu et nous gagnerons à nouveau!

Le Bon Dieu est au-dessus de nous tous, la Hongrie avant tout ! Allez, Hongrie, allez, Hongrois ! »

***

[1] (Ndlr: Le gouvernement socialiste de Gyurcsany était de retour; et un conversation du Premier ministre Gyurcsàny, enregistré en secret, puis diffusée contenait entre d'autres aveux  "menti du matin au soir", phrase devenue emblématique depuis pour tous les Hongrois. Les socialiste ont amené une corruption, un appauvrissement, une dilapidation des richesses nationales, pillage des caisses publiques, une débâcle économique, dont la Hongrie ne s'est pas complètement remise.
Les mêmes sont actuellement en lice contre Orban pour les votations présidentielles de 2022, avec une astuce; une marionnette à la place d'Orban et dans les coulisses, Soros tire les ficelles)

traduction libre, notes: Albert Coroz

source: vidéo en hongrois

rappel: Plus de 500'000 personnes ont participé à cette commémoration de la révolution anticommuniste de 56 et de la répression du gouvernement socialiste de 2006.

Et en Suisse, plus de 500 000 personnes ont participé, le 14 juin 2019, à la manifestation marxiste, dit "Grève des femmes ", ce qui serait la plus grande manifestation jamais connue en Suisse.
Cherchez l'erreur!

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