Ce qui caractérise notre époque est une immense fatuité. Le woke est l’éveillé, celui qui sait tout, qui est éveillé à toutes les injustices, à toutes les discriminations et qui peut regarder le passé de haut car il n’a rien à en apprendre. Aujourd’hui, il est un blanc-bec insupportable.
A 6’40.
Le combat des féministes est l’avortement le plus tard possible, jusqu’à 8 mois, il y a un moment il faudra quand même dire qu’on broie un être. Comme liberté, le broyage d’un être. Il faut quand même que ça s’arrête.
A 19’40.
Le mot d’ordre du nouveau féminisme et du nouvel antiracisme, c’est “Mâle blanc dégage !”
A 21’00.
Il y a un passage magnifique dans le livre de Claude Habib, “La question trans”. On demande aux étudiants “Vous souhaitez qu’on vous désigne par quels pronoms? ” Chacun choisit. (…) Et il y en a eu un qui a cette réponse géniale : “Its Majesty” (Sa Majesté).
(…)
La différence sexuelle est déjà la finitude, on n’est pas tout l’humain. Et bien, maintenant, non (grâce au wokisme, on choisit ce qu’on est). Au bout du bout de l’émancipation, on peut choisir un jour ceci, un jour cela, donc la vérité (des pronoms) est “Its Majesty“.A 24’00.
Je vais citer un homme qu’on n’a vraiment pas le droit de citer aujourd’hui, Renaud Camus, qui dit dans un tweet : “Par rapport à la presse muselante, la presse muselée, c’était le bon temps.” Nous sommes entrés dans l’ère de la presse muselante.
A 34’35.
Au nom de l’humour (de gauche), on peut me ch… dessus en toute impunité.
A 58’00.
9’00:
L’Europe centrale est formée de petites nations. Ce n’est pas une notion géographique, mais existentielle. Une nation dont l’existence peut être remise en question et qui le sait, dont l’existence ne va pas de soi.
Le premier vers de l’hymne national polonais est “La Pologne n’a pas encore péri”. Vous imaginez cela pour l’Angleterre ? Pour la France ? Pour l’Espagne ? Non !
Parce que ce sont des nations bien assises. Mais ce n’est plus vrai.
D’abord, parce qu’il y a un changement démographique qui fait que la continuité historique n’est certainement pas assurée, un désaveu de la France par elle-même: une francophobie française, un oubli jusque dans l’école, dans la culture, la France se vide elle-même de sa propre culture.
A 9’00.
L’égalité elle-même peut devenir folle. Elle est dévoyée, c’est à dire qu’on est passé, peu à peu, de l’égale dignité des personnes à l’idée d’une égalité de toutes les façons d’être et donc, de toutes les cultures. C’est de l’égalitarisme. Qui a tué l’école.
A 10’05.
La France est multiculturelle, elle tend à le devenir, mais je ne crois pas qu’elle doive faire de cette réalité un idéal.
A 17′.
La France est devenue chère à mon coeur assez tardivement. Pour moi, au départ, elle ne représentait pas grand-chose, je ne raisonnais pas en ces termes, quand j’ai fait de la politique, j’ai traversé la période gauchiste, on était immédiatement universalistes. J’ai changé quand je me suis rendu compte que la France était fragile, que nous allions rentrer dans une sorte d’après-France, qu’il y avait quelque chose que je ne voulais pas perdre.
A 22’30.
Ce qui me fait pleurer est l’idée que la France puisse disparaître, qu’elle est mortelle.
A 25’10.
Extrait de: Source et auteur
C’est moins ce qu’elles disent mais ce que ça dit d’elles….allez vous faire massacrer idiotes…..
@SD-Vintage. La gauche est comme le plomb ou le cuivre, ses sécrétions venimeuses naturelles (le vert-de-gris) la protègent contre toute corrosion.
“Mâle blanc dégage !” : qui protègera les gauchistes quand ils ne seront plus là ?