Deux ressortissants afghans qui ont fui Kaboul, à la suite de la prise des talibans en août, ont été accusés d’avoir commis des crimes sexuels pendant leur séjour à Fort McCoy, une base militaire du Wisconsin.
Un grand jury fédéral du Wisconsin a inculpé les deux hommes. Leurs affaires ne sont pas liées.
Bahrullah Noori, 20 ans, est accusé d’une tentative d’acte sexuel par la force sur un mineur, trois actes sexuels avec un autre mineur, dont un impliquant le recours à la force.
Selon l’acte d’accusation, les deux victimes présumées de Bahrullah Noori avaient moins de 16 ans. Ils étaient donc plus jeunes que lui d’au moins 4 ans.
Pendant son séjour sur la base militaire américaine, située à environ 160 km au nord-ouest de Madison, dans le Wisconsin, Bahrullah Noori aurait touché les organes génitaux de l’une de ses victimes à trois reprises, l’une des agressions présumées ayant eu lieu dans une caserne et les autres dans une salle de bain.
Le second réfugié inculpé, Mohammad Haroon Imaad, 32 ans, est accusé d’avoir agressé son épouse en l’étranglant et en l’étouffant. Cet incident aurait eu lieu le 7 septembre.
Selon l’acte d’accusation, la femme a déclaré aux soldats, par l’intermédiaire d’un interprète, qu’il avait frappé leurs enfants à de « multiples occasions ». Elle a affirmé : « Mon mari m’a battue de nombreuses fois en Afghanistan au point que j’ai perdu la vue des deux yeux. »
Elle a également affirmé avoir été violée par son mari qui l’avait menacé de « la renvoyer en Afghanistan où les talibans pourraient s’occuper d’elle ».
Bahrullah Noori et Mohammad Imaad ont comparu devant le tribunal de Madison le 16 septembre pour répondre aux accusations portées contre eux et sont actuellement détenus à la prison du comté de Dane.
Leur mise en accusation est prévue pour le 23 septembre, à 9 h 30 et 10 h 15 respectivement, devant le juge d’instance Stephen L. Crocker, a annoncé le ministère de la Justice dans un communiqué.
S’il est reconnu coupable, Bahrullah Noori risque une peine minimale obligatoire de 30 ans et une peine maximale de prison à vie dans une prison fédérale pour les accusations d’usage de la force, et une peine maximale de 15 ans pour les deux autres accusations. Mohammad Imaad risque une peine maximale de 10 ans de prison.
Ces accusations font suite à une enquête menée par le FBI et la police de Fort McCoy.
Les deux hommes faisaient partie des plus de 12 000 ressortissants afghans évacués du pays et transportés à Fort McCoy lors du retrait des troupes américaines par le président Joe Biden, selon l’Associated Press.
Felicitations a vous Mara, vous tirez admirablement les conclusions sur tous les innombrables imbeciles de l Occident qui n ont toujours rien compris concernant ces betes qu on derait laisser parquees dans leurs territoires!
(Zut, le 2ème ‘ h ‘ de psychopathe s’est envolé..)
J’en pense que les gens qui tirent les ficelles du pantin Biden (ou de son sosie, parce qu’il était presque à l’article de la mort peu de temps avant sa soit-disant élection) sont d’implacables psychopates qui savent très bien ce qu’ils veulent: le cahos. Ils lui ont fait prendre ces incroyablement stupides décisions lors du retrait des Américains en Afghanistan – et les méfaits de ces deux Afghans n’est que le début d’une longue série de fait similaires.