Chambres fédérales - Un intergroupe parlementaire LGBTQ+ a été créé
Le conseiller national PLR Damien Cottier a indiqué samedi que la communauté LGBTQ+ a désormais son intergroupe parlementaire. Il en sera l’un des coprésidents aux côtés de la Verte Lisa Mazzone.
Gays, lesbiennes et autres LGBTQ+ ont désormais leur intergroupe parlementaire. Celui-ci a pour objectif de «coordonner nos interventions aux Chambres fédérales et réunir nos forces», a déclaré le conseiller national Damien Cottier dans une interview à l’édition romande de Blick.ch.
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[...] dans l’interview menée par Blick.ch à l’occasion du don du sang des parlementaires dont il s’est vu exclu.
Pas suffisant
Conditionner le don du sang d’un homosexuel à une abstinence, même au sein du couple, de 12 mois représente une des discriminations dont les homosexuels sont encore victimes et qui justifient la mise sur pied de cet intergroupe. Il s’agit pourtant là déjà d’un progrès obtenu par Transfusion CRS en 2017: avant, il n’y avait aucune exception à l’exclusion.
Mais ce n’est pas suffisant pour les mouvements LGBTQ+. [...]
Deux thèmes
L’intergroupe aura rapidement à s’engager en faveur d’au moins deux autres thèmes chers aux mouvements LGBTQ+.
Ainsi le National doit traiter la semaine prochaine une motion visant à interdire les thérapies de conversion, ces thérapies pseudoscientifiques qui visent à «convertir» les jeunes homosexuels à l’hétérosexualité.
«Cette motion est en danger parce qu’elle a été déposée il y a deux ans déjà. Et si nous n’en discutons pas lors de cette session parlementaire, elle tombera. Il faudra donc peut-être la déposer à nouveau pour interdire cette pratique inacceptable, comme vient de le faire l’Allemagne», souligne le Neuchâtelois dans Blick.ch. Et en septembre, ce sera la votation populaire sur la loi sur mariage civil pour tous combattue par référendum.
Près de 150 intergroupes
Des intergroupes parlementaires existent sur toutes sortes de sujets. On en compte près de 150. [...]
Si ses membres sont exclusivement des parlementaires, leur secrétariat est souvent tenu par des lobbyistes.
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Cenator: Cette nouvelle a fait le tour de nos médias, mais nous n'avons vu nulle part la moindre réaction de ceux qui ne pensent pas comme ces lobbys.
Pour l’immédiat, c'est le mariage homosexuel, le don de sang et l'interdiction des thérapies de conversion qui sont en jeu, mais connaissant la tactique du saucissonnage permettant de rendre acceptables les idées les plus délirantes, nous craignons que le pire soit encore à venir pour notre civilisation.
Don de sang: Nous voudrions savoir sur quelles statistiques se base Damien Cottier pour affirmer que les couples homosexuels ne sont pas plus instables que les couples hétéros.
À notre connaissance, statistiquement, il y a plus de violence, d'instabilité, de suicides, de changements de partenaires et de MST parmi les couples non hétéros, ce qui est normal étant donné que ces facteurs sont liés.
Et n'oublions pas que le SIDA est parti de populations d’homosexuels qui fréquentaient les boîtes de nuits qui disposaient de "glory holes".
Est-ce que les homosexuels n'ont vraiment pas d'autres chagrins que de ne pas pouvoir donner leur sang comme les hétéros?
Ou bien ce choix ne découle-t-il pas du fait qu'ils ne savaient plus sur quoi se rabattre pour faire avancer leur agenda?
En ce qui concerne les thérapies de conversion: Dans un pays où la médecine naturelle, qui fait appel à la foi, est remboursée par l'assurance de base, soudainement il n'y aurait plus aucune tolérance pour les personnes soignant les orientations sexuelles!
Et ici, il ne s'agit pas de remboursement mais du droit de prodiguer, et de bénéficier, de telles thérapies pour des adultes responsables ayant fait ce choix.
Notons que les tenants de l'égalitarisme ont obtenu que chaque mineur, qui rêve de changer de genre, puisse recevoir actuellement toute aide, sans même l'autorisation des parents ou des représentants légaux.
En revanche, une personne voulant quitter l'homosexualité ne pourrait accéder à aucune aide allant dans ce sens.
Déjà actuellement, nos lois autorisent que la bien-pensance médiatique, l'enseignement public depuis le jardin d'enfants, le corps médical puissent faire de la propagande LGBTQ+, encourageant par là des jeunes en cours de développement, et des personnes perturbées à entamer un "changement de genre", et même à se faire mutiler à vie.
Quant au mariage pour tous, nous sommes dans la même configuration que pour le don du sang susmentionné. Des lobbies subventionnés, de plus en plus puissants, recherchent la petite bête pour continuer de faire gagner du terrain à leurs causes. La Gauche s'est greffée là-dessus car, pour elle, tous les chemins sont bons à prendre pour arriver au règne du marteau et de la faucille.
En Occident, partout où les lobbies LGBT sont devenus puissants, une explosion de mineurs entamant une transition de genre sévit. Cette épidémie autodestructrice s'inscrit dans le contexte de la guerre culturelle que le monde néo-marxiste mène contre notre civilisation.
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Qui est le PLR Damien Cottier, fondateur du groupe LGBTQ+ inerpar-lementaire ?
Damien Cottier: Expérience. Dynamisme. Compétence.
25 ans d'expérience politique au plan communal, cantonal, fédéral et international
Damien Cottier bénéficie d'une large expérience au plan communal et cantonal. Cette expérience est renforcée par une décennie passée à Berne où il s'est confronté de l'intérieur aux rouages du Conseil fédéral et du Parlement et à ceux de la politique internationale.
Député pendant plus de 10 ans, chef de groupe parlementaire au Grand Conseil, conseiller général pendant 12 ans, Damien Cottier a une vaste expérience politique cantonale. Il a présidé plusieurs importantes commission du Grand Conseil ainsi que le Conseil général du Landeron. Au sein du PLR Damien Cottier a été tour à tour secrétaire cantonal, président du groupe parlementaire cantonal, vice-président du parti et président du district de Neuchâtel. Il est délégué au PLR suisse depuis plus de 20 ans.
Au niveau fédéral Damien Cottier a été tout d'abord responsable romand puis chef de presse du PLR Suisse. Lors de son élection au Conseil fédéral Didier Burkhalter lui a demandé de devenir son bras droit et principal conseiller politique. Il a exercé cette fonction de collaborateur personnel durant 8 ans entre début 2010 et fin 2017. Damien Cottier a ainsi pu parfaire sa connaissance intime des rouages fédéraux (Parlement, Conseil fédéral, administration), mais aussi de la diplomatie internationale aux côtés du chef du DFAE.
De 2018 à 2020 il a représenté la Suisse auprès des Nations Unies au sein de la Mission permanente de la Confédération à Genève en tant que chef de la section des affaires humanitaires.
Il a quitté le DFAE en février 2020 suite à son élection au Conseil national d'octobre 2019, les 2 fonctions étant formellement incompatibles.
Depuis le 2 décembre 2019, il siège au Conseil national où il est membre de la Commission des institutions politiques.
Depuis janvier 2020 il représente également la Suisse au sein de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe à Strasbourg.
« A Berne avoir des réseaux est essentiel. Je veux activer les miens : pour un canton qui rayonne »
Informations personnelles
Prénom, nom | Damien Cottier |
Adresse | 2068 Hauterive |
Date de naissance | 3 avril 1975 |
Né à | Neuchâtel |
Etat civil | En couple |
Hobbies
- Marche
- Promenades avec mon chien
- Lectures
- Voyages
- Vélo
- Ski
- Cuisine
Expérience professionnelle
- Conseiller d'Ambassade, DFAE, Mission suisse auprès de l'ONU (2018-2020)
- Collaborateur personnel du conseiller fédéral D. Burkhalter (2010-17), qui fut aussi
président de la Confédération en 2014
- Responsable romand puis chef de presse du PLR Suisse (2008-10)
- Responsable de projets à economiesuisse (2004-08)
- Project manager, Consulat général de Suisse, New York (2004)
- Chambre Immobilière N'teloise, Responsable de l’information (2000-04)
- Assistant parl. de la Conseillère aux Etats M. Berger-Wildhaber (2002-03)
- Secrétaire cantonal du Parti radical-démocratique n'telois (1996-99)
Expérience politique
nationale et internationale:
− Conseiller national (2019-...)
− Membre de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (2020-...)
− Collaborateur personnel et chef de cabinet d'un conseiller fédéral (2010-17)
− Chef de la communication du PLR suisse (2008-10)
− Assistant parlementaire d'une conseillère aux Etats (2002-03)
cantonale:
− Vice-président du PLR neuchâtelois (2009-11)
− Député au Grand Conseil neuchâtelois (1997-08)
− Président de groupe (2001-05) au Grand Conseil,
− Président de la commission financière et de gestion
− Président de la Comm. d'enquête parlementaire II
− Secrétaire cantonal du PRD neuchâtelois (1996-99)
communale et de district:
− Président du PRD du district de Neuchâtel (2004-05)
− Président du Conseil général, Le Landeron(1998-99)
− Conseil général Hauterive et Le Landeron (entre 1996 et 2010)
Formation
- Diplôme postgrade (DEA) en relations internationales, HEI, Genève (2003)
- Licence ès lettres, Université de Neuchâtel (2001)
- Etudes à la Freie Universität et Humboldt Universität, Berlin, D (1995-96)
- Gymnase cantonal de Neuchâtel, maturité ès lettres (1993)
Formation continue:
- Cours de droit des réfugiés, Institut de droit international humanitaire, San Remo, I (2018)
- Cours de droit des migrations, OIM (2018)
- Certificate (CAS) en Corporate Communication, HEG Fribourg, SPRI (2008)
source: https://damiencottier.ch/portrait/
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Lis Mazzone:
Parcours personnel: Née à Genève, le 25 janvier 1988, Lisa Mazzone grandit à Versoix, où elle suit sa scolarité obligatoire, s’engage activement dans la fondation du Parlement des Jeunes et participe au journal indépendant Versoix-Région, en tant que rédactrice, entre 2007 et 2011. Elle obtient sa maturité au CEC André-Chavanne, avant d’étudier les lettres à l’Université de Genève, en langues et littératures française et latine, suivant aussi un module en littérature comparée et un autre en études genre.
Selon Wikipedia, [...] son père, Sergio Mazzone, est conseiller municipal de la commune jusqu’en 2011 pour le Parti écologiste de Genève. [...]
Outre la nationalité suisse, elle a conservé la nationalité italienne [...]
Elle étudie pendant trois ans à l’Université de Genève, en lettres, littératures française et latine. [...]
Ndlr: Ce qui signifierait que Lisa Mazzone n'aurait jamais terminé ses études à l'uni. Ensuite, il semblerait qu'elle n'ait jamais fait autre chose que du militantisme.
Au sujet des étudiants universitaires qui disent: "J'ai fait la médecine" mais n'ont jamais terminé avec succès, un dicton moqueur circule:
"il a fait la médecine... trois ans de médecine...",
Ce qui signifie que la personne a réussi à passer une année en redoublant, puis a été éjectée à la fin de sa deuxième année car on ne peut pas doubler deux fois.
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Elle devient coordinatrice de l’association PRO VELO Genève en 2010, puis chargée de projets en 2014, avant de quitter ce poste début 2016.
Aujourd’hui, Lisa Mazzone vit entre Genève et Berne et est mère d’un petit garçon depuis mai 2019.
Parcours politique
Lisa Mazzone s’initie à la politique en fondant, en 2006, le Parlement des Jeunes de Versoix, qu’elle préside jusqu’à son départ de la commune, deux ans plus tard. Dans ce cadre, elle participe au comité de la Fédération suisse des Parlements de Jeunes, entre 2007 et 2008. Après cette première expérience, elle décide d’adhérer aux Verts genevois et s’engage au sein des Jeunes Verts. Elle est élue pour la première fois, en 2011, au Conseil municipal du Grand-Saconnex, où elle réside alors. Élue au Grand Conseil en octobre 2013, elle reprend la présidence des Verts genevois en mars 2014.
En octobre 2015, elle est élue au Conseil national et devient la benjamine du parlement, ce qui lui offre l’opportunité de prononcer le discours d’ouverture de législature, le 30 novembre 2015. Elle siège dans les commissions de la sécurité et des affaires juridiques. Après avoir remis son mandat de présidente des Verts genevois, elle accède à la vice-présidence des Verts suisses le 16 avril 2016.
Quatre ans après son accession au Conseil national, elle se fait élire, en novembre 2019, au Conseil des États. Elle siège au bureau du Conseil des États ainsi que dans les commissions des affaires juridiques, des institutions politiques, des transports et des télécommunications et finalement de l’environnement, de l’aménagement du territoire et de l’énergie.
En juin 2020, elle remet son mandat de vice-présidente du parti national et accède à la vice-présidence du groupe des Verts au sein du parlement.
Engagements associatifs
Lisa Mazzone entame son engagement associatif au sein de PRO VELO Genève, pour améliorer les conditions de circulation des cyclistes. En 2013, elle rejoint le comité de l’association genevoise F-information, qui conseille et accompagne les femmes dans leurs parcours. Elle devient, en 2015, vice-présidente de l’ATE-Genève (association transports et environnement) puis présidente en 2017 et poursuit ainsi son engagement pour la mobilité durable. C’est dans ce contexte qu’elle participe à la fondation de la Coordination pour un aéroport de Genève respectueux de la population et de l’environnement (CARPE), qu’elle préside. Dans le cadre de son activité parlementaire, elle collabore avec plusieurs associations de défense des migrants et du droit d’asile. En 2017, elle reprend la co-présidence de CIVIVA, l’association faîtière en faveur du service civil et devient également présidente de la Société pour les peuples menacés en 2018.
En quelques dates
2006 : Fondation du Parlement des Jeunes de Versoix (-2008)
2007 : Comité de la Fédération suisse des Parlements de Jeunes (-2008)
2010 : Coordinatrice de PRO VELO Genève (-2014)
2011 : Election au Conseil municipal du Grand-Saconnex (-2013)
2013 : Election au Grand Conseil genevois (-2015)
2013 : Comité de l’association F-information (-2016)
2014 : Présidente des Verts genevois (-2016)
2015 : Vice-présidente de l’ATE-Genève (-2017)
2015 : Election au Conseil national
2016 : Vice-présidente des Verts suisses
2016 : Vice-présidente du NOMES (-2018)
2016: Vice-présidente de Habitat Durable (-2018)
2016: Membre du comité central de l’ATE Suisse
2016: Présidente de la Coordination pour un aéroport de Genève respectueux de la population et de l’environnement (CARPE)
2017: Co-présidente de la Coalition nationale environnement et santé pour un trafic aérien responsable (CESAR)
2017: Co-présidente de CIVIVA
2017: Présidente de l’ATE-Genève et vice-présidente de l’ATE Suisse
2018: Présidente de la Société pour les peuples menacés
2019: Election au Conseil des Etats
2020: Vice-présidente du groupe des Verts au parlement
source: https://lisamazzone.ch/portrait/
@antoine
Bien sûr qu’il y a une porte de sortie à l’homosexualité masculine, la même que par où on entre!
Il y a un point commun à tous ces politicards de pacotille, ils n’ont jamais eu un vrai travail.
Le PLR, ce parti en pleine dérive. Et pleine métamorphose gauchiasse.
”En revanche, une personne voulant quitter l’homosexualité ne pourrait accéder à aucune aide allant dans ce sens.”
Cela ressemble comme 2 gouttes d’eau à la philosophie de l’islam; tu peux y rentrer mais il n’y a pas de porte de sortie (pour un vivant !)
Les politiciens “professionnels” vivent sur une autre planète.