Cenator: Il semblerait qu'il manquait une vingtaine de places par jour pour les SDF, demande qui a justifié la construction de cette bâtisse. C'est cher payé diraient les mauvaises langues.
Pas un mot dans l'article sur les coûts de fonctionnement annuel de ce nouveau palais.
Ah Lausanne! Rien n'est trop cher pour ses assistés! Nous défions quiconque de trouver une ville au MONDE qui dépense autant par tête d'habitant que Lausanne pour ses cas sociaux. Lausanne détient le record de la densité d'associations, de structures, d'employés, vivant, et faisant vivre, les usines à "assistance". Cette abondance fonctionne comme une pompe aspirante et, bien entendu, jamais rien ne suffira, tant Lausanne est connue jusqu'au fin fond de la Roumanie ou de la Géorgie pour sa grande générosité.
La luxuriance des prestations d'assistance ne semble pas connaître de limite dans cette ville dirigée exclusivement par la gauche depuis des décennies et qui a trouvé par là un moyen de se faire réélire sans entrave.
La ville est probablement autant endettée que la Grèce, mais construit métro sur métro, logements sociaux sur logements sociaux et les contribuables lambda qui y restent encore versent tant et plus de leurs revenus en impôts. Autant dire que tous ceux qui le peuvent fuient la ville... hormis les assistés et les fonctionnaires grassement payés. Ces deux catégories ont ainsi réussi à créer un "perpetuum mobile". Et si la maintenance décèle un peu d'usure, hop, on rajoute un nouveau droit de vote: les étrangers, les mineurs... Distribution de permis, de passeports, d'aides et de postes de fonctionnaires à tout va, assurant du même coup la réélection d'autorités de gauche.
Lausanne d'Oscar Tosato est devenu le nouvel empire sur lequel le soleil ne se couche jamais.
*******
lien vers la photo de KEYSTONE/Jean-Christophe Bott:
Le «Manteau», rue de Saint-Martin 10-18, à Lausanne. Les premières prestations sont accessibles depuis le 1er juin. La Soupe populaire s’installera dans un mois.
[...] pour les personnes en difficulté, notamment sans domicile. Réunir des logements sociaux, des places d’hébergement d’urgence, un accueil de jour mais aussi la Soupe populaire, c’est le principe du Manteau, immeuble qui vient d’ouvrir ses portes à la rue Saint-Martin 10-18, au cœur de Lausanne.[...]
[...] 41 places en hébergement d’urgence y sont disponibles: 30 pour les hommes, 11 pour les femmes et les enfants. Au total, ce sont donc 15’000 nuitées annuelles d’urgence [...] la Soupe populaire [...] Chaque soir, la nouvelle cuisine lui permettra d’en préparer 300. [...] aussi le couvert trois midis par semaine. [...] 37 appartements à loyer contrôlé et les six appartements communautaires [...]
il est difficile de savoir précisément combien de personnes dorment dehors à Lausanne mais on rapporte une vingtaine de refus chaque soir (par manque de place) dans les structures de la Ville. «Mais il faut peut-être ajouter 30 ou 40 personnes qui ne formulent pas de demande.»
les retraités suisses? ces mâles blancs hétéros, qui ont participé à la construction de la renommée Suisse? circulez y a rien à voir….n’existe pas pour nous!
Saint Martin a partagé son manteau avec un cas soc. Ils ont pris froid tous les deux.
”Ah Lausanne ! Rien n’est trop cher pour ses assistés ! ”
La gôche au pouvoir dépense sans compter l’argent qu’elle n’a pas !
Si le trou dans la caisse est trop gros, il y a la péréquation financière … toutes les communes du canton de Vaud participent ”volontairement” à ces dépenses pharaoniques inconsidérées …
Et pour les Suisses, les retraités, ceux qui peinent à boucler le mois … RIEN ou moins que RIEN !!