« La France est un pays de mécréants » : Il voulait décapiter un gendarme, un Marocain expulsé en urgence

post_thumb_default

 

Il faut lire l’article. De la scène sur le toit d’une voiture en Djellaba devant les salariés de Thales, de son rappel à la loi pour détention de cutters et de stupéfiants, de sa GAV où il vomit les femmes impudiques, à son passage dans un supermarché… non, vraiment, lisez 🤦🏻https://t.co/LQK9wpSACn

— MEHDI AIFA (@Mehdi_Aifa_AJR) June 4, 2021

En mai dernier, un marocain résidant dans le Var a été expulsé de France, manu militari. Une procédure pas si fréquente liée au danger représenté par l’individu. Après avoir déploré les us et coutumes françaises, celui-ci avait notamment menacé de décapiter un policier. Récit.

Une procédure rare à la hauteur du danger. En mai dernier, Khouya, un Marocain de 31 ans, a été expulsé du territoire français en urgence après avoir proféré des menaces à caractère terroriste. Sa radicalisation semble être survenue en plusieurs étapes.

Domicilié à Mandelieu-la-Napoule (Alpes-Maritimes), sans emploi, Khouya affirme être arrivé en France, où réside une partie de sa famille, à l’âge de 15 ans dans le cadre d’un regroupement familial. Problème : il a toujours été en situation irrégulière, ce qui contredit cette déclaration.

PRÊCHE SUR LE TOIT D’UNE VOITURE

L’homme fait d’abord parler de lui en 2019 dans la région de Cannes, en décidant d’organiser un prêche, en djellaba, sur le toit de sa voiture. Son public ? Les employés de Thalès, entreprise spécialisée dans les armements. Une initiative qui ne rencontre pas un franc succès, et bientôt interrompue par les forces de l’ordre.

Quelques mois plus tard, tandis qu’il est convoqué par la préfecture de Nice pour régulariser sa situation, le jeune homme explique que la mentalité des Français n’est pas satisfaisante…

« LA FRANCE EST UN PAYS DE MÉCRÉANTS »

En septembre 2019, Khouya est contrôlé dans les rues de Saint Raphaël (Var), un couteau à cran d’arrêt et une boite de lames dans les poches. « La France est un pays de mécréants qui ne méritent pas le respect dans le monde », déclare-t-il une fois arrivé au commissariat. Il aurait aussi ajouté que les femmes se comportent mal comme en attestent leurs jeans et leurs décolletés… Les policiers le laissent repartir.

En novembre de la même année, second contrôle. Cette fois, c’est un cutter et du cannabis que les forces de l’ordre trouvent dans ses affaires. Il écope alors d’un rappel à la loi.

[…]

La suite sur Marianne

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

3 commentaires

  1. Posté par antoine le

    Un, deux trois rappel à l’ordre …
    Un, deux, trois contrôle avec les lames de cutter …
    Un, deux, trois cette fois avec du cannabis …
    Un, deux, trois cette fois c’est la bonne !! EXPULSION immédiate !
    Merci M. le juge qui a pris cette saine décision !

  2. Posté par the end le

    je suis contre les expulsions mais pour les exécutions = méthodes radicales ……

  3. Posté par baechler le

    Sur le si doux et accueillant littoral de la Côte d’Azur, certains touristes n’aiment pas les critiques envers leur créateur du Cosmos et son système de lois, mais par contre il leur arrive de s’appliquer à crier partout que l’on y diffuse volontiers des menaces de mort et de décapitation tous azimuts. Heureusement que ce voyageur s’est vu indiquer la direction vers laquelle il retrouvera avec bonheur son terroir natal et un sens des valeurs qu’il apprécie tellement.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.