Du mauvais usage des bonnes lectures
Patrick Vincent est professeur à l'Université de Neuchâtel. Il lit LesObservateurs. Il a donc de bonnes lectures. Mais il en fait un mauvais usage. Le 08 mai 2020, il avait les honneurs du quotidien Arcinfo et faisait savoir aux populations qu'"en Suisse, des tribuns tels qu’Yvan Perrin ou Roger Köppel continuent de ruer dans les brancards, accusant notamment l’Union européenne d’avoir failli à ses responsabilités, alors que la santé n’est pas de sa compétence, traitant le Conseil fédéral de «dictatorial», et argumentant que le risque de mourir est de toute façon «pratiquement nul» chez les moins de 65 ans."
Le hic, c'est que je n'ai jamais tenu ces propos. L'auteur de l'article m'attribue ceux de l'excellent Roger Köppel. Par suite de cela, j'ai chargé mon avocat Jean-Luc Addor de faire le nécessaire auprès du Conseil de la presse. Il est apparu que le bon enseignant s'était basé sur sa lecture des Observateurs où j'ai plusieurs fois "critiqué le manque de solidarité de l'UE concernant le Covid-19". Donc, pour cet universitaire qui en forme d'autres, critiquer l'UE, c'est prétendre "que le risque de mourir est de toute façon pratiquement nul chez les moins de 65 ans." Rigueur, quand tu nous tiens. Une légèreté un peu inquiétante de la part d'un professeur d'université mais c'est à Neuchâtel, là où la gauche a droit à toutes les indulgences du moment qu'elle s'en prend à l'UDC, fut-ce de manière mensongère.
Le Conseil de la presse a rétabli les choses comme vous pouvez le voir avec l'extrait ci-joint. Je me réjouis de voir si le rédacteur en chef d'Arcinfo partagera sa condamnation avec ses lecteurs, le cas échéant comment il présentera la chose.
Yvan Perrin, 14.05.2021
Patrick Vincent, au contraire de son homonyme David, n’a jamais vu “les Envahisseurs”. Par contre sa raideur intellectuelle s’immisce jusqu’à son petit doigt. Cet individu hors sol en serait-il un ?
Yvan Perrin, comme beaucoup d’autres, est plongé dans un état de sidération provoqué par certains mythes incapacitants dont la raison d’être est de discréditer “l’extrême droite”, ou plutôt de paralyser toute renaissance nationale.
Il suffit de relire le conte de Hans-Christian Andersen intitulé “Les habits neufs de l’empereur” pour se rendre compte qu’Yvan Perrin “voit” l’extrême droite avec le même regard que ses adversaires.
Dans la mesure où l’on considère le PDC et le PLR à droite, ce qui est un gag car ils sont à l’extrême gauche en matière sociétale (mariage gay, féminisme, immigration, multiculturalisme, etc.), alignés sur le PS et les Verts en matière climatique (prêts à voter le nouvel impôt appelé sans rire “loi CO2”), favorables à l’accord-cadre de soumission à l’UE et donc pour la disparition de la nation-Suisse, il est clair que l’UDC est à l’extrême droite.
En vérité, l’UDC EST LE SEUL PARTI DE DROITE. Plus précisément : CONSERVATEUR. Libéral sur le plan économique (condition nécessaire mais non suffisante pour être classé à droite), conservateur sur le plan sociétal (défense de la famille “naturelle”, non féministe, valeurs chrétiennes, etc.), pour le maintien de la nation-suisse (souveraineté et indépendance politique, démocratie directe, neutralité, etc.). Et le moins que l’on puisse dire, c’est que tout cela n’a vraiment rien “d’extrêmiste” ! Donc, le PDC et le PLR sont à gauche ; le PS et les Verts étant eux, clairement à l’extrême-gauche (Certains militants verts recourant même parfois à la violence physique).
Que la “justice” neuchâteloise déclare que l’UDC est à l’extrême-droite n’a rien de surprenant puisque ce canton est un fief franc-maçon.
Intéressant de noter le no 3, qui démontre comment le Conseil de presse considère la diffamation: comme valide lorsqu’une personne diffuse une diffamation inconnue de l’ensemble du public, mais invalidée lorsqu’elle est devenue connue parce que répétée constamment par cette même presse, généralement sous-qualifiée d'”objective”.
On repère là une exception déontologique d’inspiration bolchévique, par soumission idéologique imposée dans une dictature de même qualification. Tout ceci dans seul le but de trafiquer l’esprit critique de gens réveillés à coup de très grossières fake-news, volontairement et unilatéralement dédiées à de la propagande. En parfaite rupture et opposition avec le devoir d’information. Ce qui devrait être sanctionné par l’absence totale d’aides publiques complétées par des amendes salées aux responsables. Cette classe médiatico-politique vire à l’extrême-gauche, certitude que le Conseil de presse doit aussi se réformer, parce qu’il soutient l’expression “extrême droite” dans une ultime tentative de justification des délits de l’extrême gauche et non le contraire.
A l’inventaire comptable en chiffres, en nombre et en ampleur de crimes et de délits commis régulièrement par l’extrême-gauche et ses succursales à associations, ONG et syndicats multiples, le tout pour mieux abuser les citoyens, on est déjà très loin de l’Udc un vrai parti gouvernemental et non pas une officine de provocations et de manifestations permanentes et abusives qui enquiquinent toutes les fins de semaines, les commerces déjà gravement atteints par la crise, tout comme le liberté de déplacement de citoyens libres qui n’en demandent pas tant.
Et toute cette mauvaise foi d’orchestrations médiatiques mensongères a été aussi le déclencheur de crapuleries telles que celles commises par cette juriste Brésilienne d’Oerlikon, qui s’était auto-mutilée, tout en dénonçant d’avoir eu le ventre tagués à coups de cutter par des membre de l’Udc. Au point même de créer une crise diplomatique avec le Brésil. A ce jour on n’a pas encore vu une telle perversité d’une brésilienne envoyée par Bolsonaro, agissant de même contre les gauches, alors qu’il est pourtant régulièrement traité “d’extrême droite” par ces mêmes manipulateurs médiatiques, soutenus mordicus par le Conseil de presse. Comme on dit les conseilleurs ne sont pas les payeurs, c’est donc bien qu’ils devraient l’être dans ces circonstances.
J’avais déjà remarqué le niveau très bas de l’argumentation de cet extrémiste de gauche qu’est ce Monsieur Patrick Vincent, paraît-il professeur d’université. Le voilà confondu de mensonge. J’espère que le journal “Arcinfo” (quel drôle de nom !) ne l’invitera plus à propager son idéologie.