Les passagers de George Floyd lui ont fourni la drogue qui l’a tué
Le procès de l’officier de police de Minneapolis (MPD), Derek Chauvin, accusé du meurtre de George Floyd, est commencé. Ce dont aucun média de masse ne parle c’est du fait que Shawanda Hill et Morries Hall, les deux passagers présents dans la voiture de George Floyd, savaient parfaitement qu’il ingurgitait des drogues puisque c’était eux qui les lui fournissaient. À aucun moment, ils n’ont trouvé le courage de dire aux policiers que leur ami faisait probablement une overdose. Ils l’ont laissé mourir, alors que l’antidote qui aurait pu lui sauver la vie se trouvait dans la voiture de police à côté d’eux.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Frank Friday*, paru sur le site d’American Thinker, le 8 avril.
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Les faux amis de George Floyd
La défense a retourné la situation cette semaine dans l’affaire Derek Chauvin, en faisant admettre au témoin vedette de l’accusation, le chef de police, que les vidéos montrent M. Chauvin agenouillé sur l’omoplate de George Floyd, et non sur son cou.
L’accusation a également fait défiler une série de témoins de la police pour dire que le genou sur le cou n’a jamais été autorisé dans le cadre de la formation de la police, alors qu’il l’était très certainement. Un autre témoin de la police a admis qu’un coup de genou sur le côté du cou devait rendre une personne inconsciente en dix secondes, alors que M. Floyd a tenu pendant neuf minutes.
Ajoutez à cela que l’autopsie a montré des bleus non pas sur son cou, mais sur ses épaules, précisément là où l’officier Chauvin a appuyé, et la vidéo le montre, qu’il retenait George Floyd d’une façon nettement non létale. En fait, un type similaire de pression du genou à l’épaule se produit tous les jours sur les tapis de lutte des lycées sans que personne n’en meure.
Donc, nous avons des témoins de l’accusation qui se parjurent et se contredisent dans leur propre affaire.
Dans un procès normal, cela suffirait à innocenter l’officier Chauvin des charges criminelles qui pèsent sur lui.
Il n’a tout simplement pas eu l’intention de blesser M. Floyd.
Certains ont objecté que la défense crée une certaine confusion en évoquant la foule qui aurait distrait la police, disant que cela prouve que la défense n’est pas certaine de pouvoir montrer que le policier a agi selon les règles, en gardant trop longtemps son genou appuyé sur M. Floyd.
Il semble certain que M. Chauvin et les autres policiers ont perdu la notion du temps, en partie à cause de la foule hostile. Mais cela en fait un cas de négligence civile, sans intention criminelle.
Ce n’est pas un procès ordinaire, et les jurés sont suffisamment effrayés pour rendre un verdict de culpabilité.
Le groupe Black Lives Matter (BLM) menace de provoquer des émeutes si M. Chauvin n’est pas condamné, et elles seront probablement pires que celles de l’an dernier.
Mais cela m’amène aussi à ce que je crois être le fait important dont personne n’a parlé jusqu’à présent dans cette affaire : les deux passagers dans la voiture de M. Floyd ce jour-là et leur comportement.
M. Floyd s’est montré très ému lors de sa première confrontation avec la police, mais a insisté sur le fait qu’il n’avait pris aucune drogue. La police semble l’avoir cru, supposant tout au long de l’épreuve que M. Floyd était une sorte d’homme mentalement perturbé ayant un épisode psychotique.
Pourtant, les deux passagers de M. Floyd savaient qu’il ingurgitait des drogues. C’était souvent eux qui les lui vendaient, selon la petite amie de M. Floyd.
À aucun moment, Mme Shawanda Hill ou M. Morries Hall, ne sont allés parler à la police afin de lui dire que leur ami consommait beaucoup de drogue et faisait probablement une overdose.
Ce point est crucial, car la police de Minneapolis administre systématiquement du naloxone à toute personne soupçonnée d’avoir fait une overdose.
Apparemment, les drogues que M. Floyd a prises ce jour-là provenaient de M. Hall, qui refuse de témoigner, de peur d’être accusé de complicité criminelle.
Au lieu d’aider leur ami alors qu’ils auraient pu facilement le faire, ces deux pourris l’ont tranquillement regardé mourir, alors que l’antidote qui aurait pu lui sauver la vie se trouvait dans la voiture de police à côté d’eux, plutôt que de s’attirer des ennuis pour leur propre criminalité.
Ce n’est pas le racisme systémique ou les brutalités policières qui affectent les communautés noires d’Amérique. Ce sont les nombreux personnages de rue sans cœur comme Mme Hill et M. Hall qui font tant de dégâts chaque jour.
Au lieu de brûler les villes américaines l’an dernier, nous aurions dû avoir une discussion honnête sur les petits voyous et les dealers qui maintiennent nos quartiers pauvres dans l’indécence, où les enfants sont aspirés dans un cycle de crime, d’abus et de violence à cause des adultes qui en sont responsables – des adultes comme Mme Shawanda Hill et M. Morries Hall.
Ce sont là les soi disant «amis» de George Floyd.
* Frank Friday est un avocat de Louisville, dans le Kentucky.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source 2: https://www.americanthinker.com/blog/2021/04/george_floyds_rotten_friends.html
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L’ami de George Floyd cherche à éviter de témoigner
MINNEAPOLIS (CN) - La connaissance de George Floyd, Morries Hall, a comparu devant le tribunal mardi matin pour éviter de comparaître à la barre du procès pour meurtre de Derek Chauvin, qui s'est agenouillé au cou de Floyd après l'avoir arrêté le dernier Memorial Day.
Avant que le témoignage ne commence pour la journée, le juge Peter Cahill a tenu une audience sur une requête de Hall pour annuler une assignation à comparaître.
Hall était dans la voiture dans laquelle Floyd a été appréhendé le 25 mai 2020, et les deux parties ont demandé son témoignage.[ ...]
Hall a quitté la ville après la mort de Floyd, se dirigeant vers le Texas. Il est finalement retourné au Minnesota après avoir été appréhendé par les Texas Rangers.
Ses raisons de quitter l'État faisaient partie des questions sur lesquelles l'avocat de Chauvin, Eric Nelson, voulait poser des questions. Celles-ci comprenaient également la consommation de drogue de Floyd le jour de sa mort et le comportement à l'intérieur de la Mercedes-Benz où lui, Hall et Shawanda Hill ont été appréhendés pour la première fois.
L'avocate de Hall, Adrienne Cousins, a déclaré que son client ne témoignerait pas durant le procès de Chauvin. Il plaiderait le cinquième amendement, a-t-elle dit, en ce qui concerne l'un des événements du 25 mai et toute question sur la consommation de drogue de Floyd jusqu'à ce jour-là ou sa relation avec Floyd.
Cousins a souligné que la loi sur le meurtre au troisième degré du Minnesota avait une large portée en matière de décès liés à la drogue.
La loi autorise des condamnations pour meurtre au troisième degré pour avoir «directement ou indirectement, illégalement vendu, donné, troqué, livré, échangé, distribué ou administré une substance contrôlée» à une personne qui en décède.
[...]
«Pour le moment, M. Hall ne bénéficie d'aucune immunité. Il n'a bénéficié d'aucune immunité, d'aucune protection pour son témoignage », a déclaré Cousins.
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Extraits de l'article: https://www.courthousenews.com/friend-of-george-floyd-seeks-to-avoid-testifying/
Voici le “musculeux” Floyd dont la photo ci-dessus est exemplaire. Voir mon commentaire sous: https://lesobservateurs.ch/2021/04/07/washington-un-policier-mort-lors-dune-attaque-contre-le-capitole-lassaillant-est-un-sympathisant-du-mouvement-noir-nation-of-islam/ …où je développe des arguments sérieux pour la défense du malingre policier, qui n’a pas eu d’autres choix à part lui tirer dessus. Ce nez gros qui occupe les 3/4 du visage appartient à une bestiole cultivée hors-sol avec des artifices propres aux sportifs de la triche. Un géant, une montagne de muscles dopés à la drogue. Et s’il y a ces pseudo-sportifs qui se droguent, ce n’est pas pour rien, sinon de développer une force herculéenne.
Donc la technique du policier était la seule prise valable dans cette circonstance. Celle qui diminue l’oxygénation pour affaiblir son tonus musculaire, sinon le policier était foutu et aurait du sortir son flingue. Avec tout le baratin des quotas et de la diversité, il y avait vraisemblablement d’autres policiers plus baraqués et de type négroïdes qui auraient fait l’affaire. Mais ces pleutres étaient certainement au courant de ce qui allait se passer. Tout ceci était un coup monté, comme dans de nombreux cas du même genre où la police est parfois piégée. Mais là en plus ce dégonflé de chef coloré n’a rien trouvé de mieux que de condamner son subalterne, comme si un policier était une d’infirmière, apte à doser un vaccin. Il avait bien le droit d’avoir peur, tout simplement. Voilà ce qu’on doit aussi savoir.