Le 2 avril 2021, Euronews (allemand), une chaîne de l’UE très orientée à gauche qui qualifie systématiquement les conservateurs hongrois « d’extrême droite », a diffusé la destruction d’une statue fraîchement inaugurée, une copie en plastique de la Statue de la Liberté, agenouillée, avec l’arc-en-ciel LGBT et une inscription Black Lives Matter. L’œuvre avait été choisie après un concours très orienté de cet arrondissement de Budapest dirigé par la Gauche.
Nos explications autour de cet événement
L’opposition hongroise est très profondément infiltrée par la bande à Soros. Elle réclame plus de migrants, plus de visibilité pour la minorité LGBT, cherche à imposer aux enfants les théories du genre, réclame plus de mesures contre le dérèglement climatique, est contre le vaccin… bref, elle s’oppose systématiquement à toute la politique gouvernementale.
Ainsi, cette Gauche, appelons-la « la bande à Soros », a déposé cette œuvre dans un parc de Budapest, après avoir ameuté les réseaux sociaux et les journalistes de son bord, pour en faire un événement politique.
Aussitôt, la Droite, très réactive, mais aussi d’autres personnes qui sont de simples pékins, se sont rendus sur place pour contester cette sculpture antiblanc et antichrétienne.
La maire socialiste et le président du parti «Mi Hazánk», László Toroczkai, ont répondu tous deux aux journalistes, exposant chacun ses arguments pour et contre la statue.
Puis, des membres de Mi Hazànk ont dressé des panneaux en bois autour de la statue, expliquant leur refus total dans l’espace public d’un symbole anti-blanc, anti-hétérosexuel et anti-chrétien.
Toroczkai a dénoncé cette provocation de la Gauche comme étant clairement une insulte aux valeurs hongroises, qui plus est juste avant les fêtes de Pâques.
Un des manifestants a dit : si nous ne détruisons pas à la racine ces lobbies LGBT, nous allons nous retrouver dans la même situation que les Occidentaux, qui ne peuvent plus résister contre aux.
Sur les paravents fixés autour de l’œuvre, des affiches et slogans ont été posés par les conservateurs ainsi que des croix. On pouvait y lire les persécutions anti-Blancs et les exactions que les Blancs subissent un peu partout dans le monde.
Puis, sans chichis, les conservateurs ont simplement détruit ce machin sur socle.
La propagande LGBT suscite de violentes réactions de la part de la population hongroise, qui refuse catégoriquement la normalisation de ce genre de déviance, ainsi que le culte des minorités. Ces modes sont clairement identifiées comme toxiques, toutes importées de l’Occident décadent, et la population dit clairement que des faux problèmes comme Black Lives Matter n’ont rien à faire dans la culture hongroise.
Ceux qui défendaient la statue ont traité les opposants de nazis et de racistes, et les conservateurs les ont traités en retour de «bouzis», c’est à dire, homos ou gays. (Il est difficile de traduire la nuance, car auparavant, l’équivalent de gay en hongrois était «bouzi», mais ce terme est devenu insultant pour la novlangue et les homosexuels sont rebaptisés les «chauds», comme nous ne disons plus un «vieux» mais une «personne âgée».)
Les gauchistes sur place ont réclamé plus d’égards pour les minorités opprimées, plus de liberté d’expression, plus de respect pour les œuvres d’art, des statues pour les tziganes, un meilleur accueil des migrants venus du monde entier, et plus d’amour universel...
*******
Deux vidéos en hongrois :
Zéro tolérance envers le lobby LGBT, sinon nous allons nous retrouver dans la même situation que les Occidentaux :
*******
Plus de détails dans cet article :
What has happened to the newly inaugurated BLM statue in Budapest exactly?
(traduction automatique)
*******
La Hongrie, comme la France, est en année préélectorale et la Gauche hongroise, haineuse des valeurs chrétiennes, multiplie ses provocations.
Un autre exemple : affiche blasphématoire apparue à Budapest pour les fêtes de Pâques 2021.
*******
Rappel : En Occident, les œuvres d’art des églises sont souvent attaquées et détruites par la diversité.
Et hélas, ce ne sont jamais les œuvres gauchistes – l’art moderne – qui sont visées, et ce ne sont pas les conservateurs qui leur font la peau.
Notre exemple lausannois illustre parfaitement ce qu’est notre réalité :
Et vous, qu'en pensez vous ?