Parmi les innombrables pasionarias féministes dont les grands médias nous infligent à longueur de journée les incessantes jérémiades, il en est une qui se démarque aujourd’hui du lot. « Historienne » et membre du « laboratoire de l’égalité » en charge de la question de la précarité des femmes, Lucile Peytavin vient en effet de signer un livre androphobe, intitulé Le Coût de la virilité, dans lequel elle n’hésite pas à écrire que la « culture de la virilité » est non seulement responsable de la surpopulation carcérale, mais coûte en outre à l’Etat « près de 100 milliards d’euros par an » ! Plus qu’à cette estimation tout droit sortie d’un chapeau, on s’intéressera surtout à ce que Peytavin entend par « culture de la virilité » : en clair, « les valeurs viriles qu’on inculque » aux hommes dès leur plus jeune âge. D’où sa proposition, pour remédier à l’engorgement des cachots, « d’éduquer les garçons aux valeurs des filles », en leur confiant par exemple « un poupon pour qu’ils apprennent à s’occuper d’autrui »…
Une suggestion évidemment stupide et ridicule, qui, en outre, « oublie » qu’environ 70 % de la population carcérale de notre pays est constituée de délinquants étrangers ou issus de l’immigration. Des gens qui n’ont pas sombré dans la criminalité parce que leurs parents les ont élevés comme des hommes, mais parce que ceux-ci ne les ont pas élevés du tout, ou bien encore parce qu’ils ont agi en fonction de mœurs d’importation en contradiction totale avec celles de notre civilisation. •
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