A Berlin, des hommes en meute partent à la chasse la nuit. Ils traînent des jeunes femmes dans un SUV. Ils se jettent sur elles l’un après l’autre. Ils les violent pendant des heures...
L'un d'entre eux a été condamné par le tribunal régional ce lundi : Wisam B. (33 ans), anciennement policier en Irak. La sentence : 13 ans, six mois de prison pour viols particulièrement graves, prise d'otages, privation de liberté, lésions corporelles.
Il n'était pas le seul accusé. Il y avait également son frère Karrar (25 ans), tous deux nés à Bagdad, citoyens irakiens. Le frère aîné vit à Charlottenburg, le plus jeune à Spandau.
Sa première victime date du 27 mars 2018. Il s'agit de l'ex-petite amie de 14 ans de son frère. La scène du crime était son appartement. Quatre autres ont suivi...
► Une jeune femme qu'il a rencontrée dans un club est rentrée avec lui - par sympathie. Pour en savoir plus sur sa vie difficile dans son pays d'origine....
► La fois suivante, l'accusé était dans la voiture avec un complice. Deux Australiens l'ont pris pour un taxi Uber. Après s'être débarrassé du petit ami de la femme, celle-ci a été violée - sur le siège arrière.
► Le 18 janvier 2020, vers 3h30 du matin, trois d'entre eux ont attrapé une diplômée du secondaire alors qu'elle sortait du club " Mensch Meier " dans la Storkower Straße (Berlin-Friedrichshain). Ils l'ont traînée dans un SUV, l'ont étranglée et violée. D'abord dans la voiture. Plus tard, dans l'appartement de l'accusé. La juge a décrit "quatre heures d'enfer", d'"agonie". Et de graves conséquences psychologiques. À 7 h 20, ils auraient jeté la jeune femme blessée dans la rue à Berlin-Charlottenburg.
► 23 février 2020. Cinq semaines plus tard, il y avait même quatre violeurs brutaux en chasse. Au club techno "Berghain", ils ont saisi une jeune femme de 21 ans, ils lui ont enfoncé 3 comprimés d'ecstasy dans la gorge et ils se sont rués sur elle à maintes reprises sans protection. Avant de jeter leur victime hors de la voiture avec de graves blessures génitales, ils ont effacé toutes les données de localisation de son téléphone portable.
La lycéenne a été capable de se souvenir d'une partie du numéro de la plaque d'immatriculation et des détails de l'appartement où a eu lieu le crime. Les agresseurs ont laissé des empreintes génétiques sous forme d'ADN. Ils sont derrière les barreaux depuis le 25 mars 2020.
La juge a déclaré : "L'accusé a détruit la vie de cinq jeunes femmes." Ses actions étaient caractérisées par un profond mépris pour les femmes... "Et l'expression d'un désir sadique de pouvoir." Elle a affirmé qu'il avait agi avec un sentiment de supériorité, sans la moindre émotion humaine.
Au tribunal, il s'est tu, il a nié, il a menti... dégradant ainsi ses victimes une fois de plus. "Nous sommes à court de mots face à la souffrance insensée qu'il a causée", a poursuivi la juge.
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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
LES DROITS DE L’HOMME S’APPARENTENT A UN SOUS-GROUPE INFERIEUR DES DROITS DES ANIMAUX. Hier on attaquait les “grands” de ce monde qui participaient à des safaris en Afrique et aujourd’hui on plébiscite les criminalités islamiques pour qu’elles puissent accéder facilement à des safaris de violeurs et tueurs professionnels dans les pays de préférence blancs et chrétiens.
Toutes les opérations pro-migrants des l’Europe UErss visent à fournir comme objets sexuels des blancs et des blanches à des imposteurs pseudo-réfugiés avec l’aval des politicards racistes anti-blancs les socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes devenu les otages des dealers du trafic humain et du trafic des drogues. D’où toutes les interminables propagandes médiatiques pour soutenir le cannabis et ses multiples usages dont on s’était passé durant des siècles.
Les gouvernement n’interviennent pas, alors faite la loi vous même
Castration chimique c’est tout et prison bien sûr.
13 ans dans une prison de luxe allemande sur le dos du contribuable allemand, ou dans une geole irakienne apres des siens?
Quelle chance pour nous occidentaux de recevoir ces malheureux réfugiés, de leur ouvrir nos pays, de leur offrir argent de poche, vivre, couvert et soins , sans contrepartie ; Eux se contentant de nous initier à certaines de leurs belles coutumes, comme ici, la chasse aux femmes : en Egypte le “harcèlement sexuel” suivi de viol s’appelle “taharosh”, c’est une des belles traditions de ces hommes en manque de femmes.
Depuis longtemps, cette coutume s’est étendue aux autres membres de l’oumma, car bien sûr
comme leur grand prédicateur l’affirme, la femme n’existe que pour être labourée et porter de futurs adeptes. Alors, au gré de leurs pérégrinations dans nos belles provinces ouvertes, ils s’en donnent à coeur joie et labourent, labourent… Les habitantes de Cologne – et d’autre villes européennes -, ont déjà goûté aux joies de ces chasses.
Nous ne remercierons jamais assez nos gouvernants de laisser entrée libre à ces prédateurs – si conviviaux- , invités à venir chasser la chair fraîche occidentale dans ce que sont devenus nos pays : des réserves de gibier.
Quant à vous, Mesdames, jeunes filles, vous êtes averties : Si cela vous arrive, ce sera de votre faute exclusivement car vous aurez tenté un pauvre mâle déraciné en rut…
Après avoir élargi les trottoirs et donné des cours d’éducation sexuelle à ces barbares, le peuple a cru que les incivilités allaient cesser. Mais les islamo-gauchistes et les féministes adorent les clandestins et leur égérie répète en boucle “wir schaffen das”. Alors, circulez !
La corde ou la guillotine au choix !
Ah la peine de mort n’existe plus; il faudra peut-être la réintroduire si on ne veut pas que cela dégénère !!