Nous reproduisons la traduction partielle d’un article de Junge Freiheit du 31 janvier 2021 sur les présupposés anti-européens de certaines universités allemandes appuyées par l’Union européenne. Certains intertitres sont de notre rédaction.
Schiller et la Déclaration d’Iéna
En septembre 2019, l’Institut de zoologie et de recherche sur l’évolution de l’Université Friedrich Schiller a adopté la « Déclaration d’Iéna », dans laquelle on lit : « L’exclusion du terme race doit désormais faire partie de l’éthique scientifique ». Car : « le racisme » « a inventé les races ».
Nous aurions donc jusqu’à présent vécu dans un monde de constructions fausses dans lequel « les êtres sont discriminés pour des raisons apparemment biologiques ». Les auteurs incluent également « la qualification de l’Africain comme menace présumée pour l’Europe » dans le bannissement linguistique.
Cette dernière phrase indique clairement que la déclaration provient de l’opportunisme politique et non d’une quelconque éthique scientifique. Si les « races » ne sont que des constructions sociales ou racistes reste à voir. Quoi qu’il en soit, le concept de race est aujourd’hui un élément central de la politique identitaire. Ses porte-parole déterminent leurs intérêts en fonction de leurs origines sociales ou ethniques, de leur culture, de leur sexe, de leur religion, voire même de leur race et en tirent des revendications. Le destinataire de ces revendications est le «vieil homme blanc» qui refuse d’abandonner sa domination (« suprématie blanche »).
Mise en œuvre du plan d’action de l’UE contre le racisme
Pourtant, cette suprématie n’existe plus. Elle a été remplacée par un antiracisme imposé par l’État ‑un Etat qui répond progressivement aux exigences des mouvements noirs, islamistes et autres factions identitaires. Le gouvernement fédéral a adopté un ensemble de mesures à cette fin, dont les coûts s’élèveront à un milliard d’euros d’ici 2025. Ce faisant, il a mis en œuvre le « Plan d’action de l’Union Européenne contre le racisme 2020–2025 », adopté en septembre 2020. Le programme de lutte contre le racisme comprend également le projet de supprimer le terme «race» de la Loi fondamentale (n.d.t. : équivalent de notre constitution).
Cette idée, cependant, a provoqué une intéressante réaction de la part des lobbyistes antiracistes. En juillet 2020, Natasha A. Kelly, sociologue spécialiste du colonialisme et du féminisme, a insisté dans un quotidien berlinois sur le fait que « le terme juridique de « race » est un instrument nécessaire pour pouvoir lutter par le biais de la loi contre le racisme anti-noir. Il est donc indispensable d’adopter le terme «race» dans le vocabulaire de la résistance anti-raciste .” Kelly est membre fondateur du Black European Academic Network (BEAN), une plate-forme pour les universitaires qui promeut la formation de réseaux pour la diffusion de l’histoire des Noirs européens. Kelly met l’accent sur l’utilisation de la « race » comme catégorie sociale et non biologique. Son argumentation se résume à nier la réalité tangible — y compris sociale – et à modeler une réalité idéologisée jusqu’à fantasmer une «histoire allemande Noire (n majuscule dans le texte original)» et critique le fait que, « qui dit Allemand dit Blanc ».
Petit remplacement dans les universités allemandes
L’Allemagne aurait besoin d’un « revirement racial », pour lequel « des scientifiques noirs et des scientifiques de couleur devraient être embauchés sur le long terme dans les universités allemandes » et « des études sur les Noirs devraient être mises en œuvre dans toutes les universités d’Allemagne ». Bref, il ne s’agit pas de science ou de recherche, mais de lobbying, de subventions, de l’installation d’une bureaucratie politique parasitaire supplémentaire, de la satisfaction des instincts prédateurs et de domination…
La compréhension de la culture et de l’histoire, façonnée par l’Europe du Nord, les anglo-saxons, l’antiquité gréco-romaine et le judéo-christianisme, est également remise en question. Et ça continue : en Allemagne, les pisteurs antiracistes ont également identifié les règles de grammaire et d’orthographe comme outils de la répression raciste coloniale de la suprématie blanche.
Ils spéculent sur la conscience coupable, la honte du « vieil homme blanc ». Les réalisations du monde occidental sont le fruit d’une auto-réflexion collective et d’une autocritique. Contrairement à ce que pense l’Européen bien intentionné héritier forcé des Lumières, il ne s’agit pas de principes universels, mais de spécificités culturelles. Il en résulte une asymétrie dangereuse : si une partie ne s’impose aucune réflexion critique et se forge des armes politiques de plus en plus acérées sous couvert de reproche moral, l’autre reste sans défense. Le daltonisme – que l’on retrouve dans la «Déclaration d’Iéna» — est unilatéral et aveugle à la réalité : il refuse d’accepter le fait que l’antiracisme s’est transformé en racisme contre les Blancs.
Les Blancs sont une minorité de plus en plus petite
Si toutes les autres ethnies, races, cultures, religions poursuivent une politique identitaire et défendent de plus en plus agressivement leurs intérêts de groupe sur le territoire même du «vieil homme blanc», celui-ci n’a d’autre choix que de réaffirmer vigoureusement sa propre identité et de définir ses propres intérêts. Ce, en songeant que les Blancs représentent une minorité de plus en plus petite à l’échelle mondiale.
Abandonner les illusions universalistes ne doit pas être synonyme de se détourner d’idéaux qui vont au-delà de son propre cercle — qu’il soit culturel, ethnique ou racial. Mais qui, en politique, parle d’ «humanité», triche. L’ancien chancelier Helmut Schmidt l’a bien rappelé : on ne peut pas faire de politique avec le Nouveau Testament sous le bras.
Le « vieil homme blanc » honni a le devoir de tracer enfin une ligne de défense spirituelle et morale,derrière laquelle il pourra puiser des forces nouvelles pour défendre froidement ses intérêts.
Pour mettre en joue leurs argumentation, on peut leurs demander de définir le noir ! Si ce n’est pas une race, c’est une couleur ? Si c’est une couleur le blanc bien bronzé est noir ? Le noir est su l’echelle de valeurs (0-255) à combien ? 10 ? 50 ? 100 ? Si c’est pas une couleur c’est une revendication basé sur le sentiment personnel ? Donc je peux me sentir noir aujourd’hui et faire parti de cette communauté ?
La logique n’est pas dans leurs camp. Malgré-tout ils vont réussir à s’imposer vu qu’ils ont toutes les institutions sous leurs houlette.
D’où vient cette guerre des races ? Si le but ultime est de casser la suprématie des blancs dans tous les sens du terme, alors c’est bien une guerre raciale qui profite essentiellement aux parti communistes asiatiques, visant à affaiblir les pays concurrents par une tiers-mondisation de tous les instants. Pour les États-Unis c’est déjà fait depuis longtemps, à savoir grâce au trafic d’esclaves qui a empêché l’avancée de l’industrialisation et de l’automatisation comme l’immigration de masse d’aujourd’hui, aussi néfaste partout dans le monde.
Le PCC a des sérieux complices dans le monde entier. Comment ? Grâce à SOROS qui gère les plus grandes fortunes mondiales, https://www.youtube.com/watch?v=q3oAybriBuk …même celles issues des camps de concentrations nazis ou staliniens, EN ALLIANCE AVEC LES “DEMOCRATES” ET BIDEN. SOROS S’APPUIE SUR LE CHAOS(dont le Coranovirus dit Covid-19 fait ses plus grandes affaires) POUR FAVORISER SES RAPINES en agissant SUR LES ÉTATS AVEC LES MONNAIES, PUIS LES ENTREPRISES ET LES ACTIONS. Dans ce sens SOROS est un super Bernard Tapie… Et BIDEN était sénateur du Delaware de 1973 à 2009, un paradis fiscal mondial bien connu aussi par des voyous suisses, dont une partie trempant dans l’immobilier et à la tête de coopératives… donc de réels otages indirectes des chinois du PCC.
La méthode du PCC est simple. En fabriquant des citoyens “transgéniques” devenus milliardaires grâce au PCC, donc grâce au différentiel des coûts entre les marchandises venues de Chine et les coûts réels dans leurs pays respectifs. Tous des obligés du PCC comme Apple, qui pour maintenir leur fortunes feront tout ce que la Chine leur ordonne. L’exemple le plus patent mais pas nécessairement le meilleur et terme de fortunes les plus colossales, c’est celui du doyen des sénateurs Républicains, Mitch McConnel ennemi “absolutiste” de Trump.
C’est que ce sénateur cumule de curieuses accointance avec le PCC. D’un part, il est marié à une chinoise, laquelle secrétaire aux transports était dans le gouvernement Trump… et avec laquelle il dispose pour son entreprise d’un quasi monopole sur les transports de marchandises entre la Chine et les Etat-Unis. Et cette information est aujourd’hui censurée, pas besoin de se demander pourquoi ? fr.ntd.tv/violence-policiere-en-chine-les-liens-dun-fonctionnaire-americain-et-sa-femme-avec-la-chine/
“Nous exposons la relation de la secrétaire américaine aux transports avec le Parti communiste chinois, ainsi que celle de son mari, le leader de la majorité au Sénat Mitch McConnell. Des…”
Mais revoilà la vidéo censurée: https://www.youtube.com/watch?v=Zimy9AOfixo
J’espère que maintenant vous comprendrez pourquoi BIDEN, DE CONCERT AVEC SES MAFIEUX “DEMOCRATES”, A ORGANISÉ D’ÉNORMES TRICHERIES AUX ELECTIONS, POUR CONTINUER DE FAVORISER LE PCC ET SES MILLIARDAIRES.