« Netflix » s’est imposée depuis 1997 comme l’un des principaux médias de divertissement télévisuel, avec 200 millions d’abonnés payants dans le monde (dont près de 8 millions en France). En examinant le contenu des propres productions de cette société, on constate une ligne directrice évidente : « Netflix » est un vecteur de l’idéologie mondialiste, reposant sur un cahier des charges très précis. La violence, le sexe, le multiculturalisme, le mouvement LGBT sont promus dans la plupart des programmes produits par l’entreprise. L’un des deux créateurs de « Netflix », Marc Randolph, est le fils aîné de Stephen Bernays Randolph, ingénieur nucléaire d’origine autrichienne et de Muriel Lipchik, qui comptera parmi les premiers investisseurs de la plate-forme. Élément familial intéressant, Marc Randolph est l’arrière-petit-neveu de Sigmund Freud et d’Edward Bernays, par la branche paternelle. Or Bernays est considéré comme le père de la propagande politique et d’entreprise (le marketing), ainsi que de l’industrie des relations publiques. Edward Bernays est par ailleurs l’auteur d’un livre important : « Propaganda – Comment manipuler l’opinion en démocratie ». Voilà une excellente question à laquelle « Netflix », l’entreprise co-fondée par Marc Randolph, apporte une réponse éclairante.
Extrait de: Source et auteur
Chez les enfants et ados des “cités” Netflix a remplacé en influence les paraboles tvs musulmanes prosélytes d’Arabie Saoudite de la décennie précédente qui ont bien imprégné d’islam partie haineuse et bête , les séries nombreuses actuelles sont d’une violence vraiment inouïe, regardez au moins une fois : combats mortels à 10 contre un , poignardages, décapitations, mitraillages et meurtres sans pitié de toute part à un rythme soutenu. Un enfant non contrôlé par adulte et une bande encore mieux vont prendre au 1er degré les réflexes de toute cette violence sans la traduire symboliquement et moralement . Très très grande influence modèle dans les guerres de bandes actuelles , et meurtres de gens très jeunes par des très jeunes. Occulté ou non réalisé encore par les commentateurs mainstream.