Vers 15h30, une femme a signalé à la police cantonale de Zurich qu'elle venait d'être attaquée sur une route de campagne à Otelfingen par un homme qu'elle ne connaissait pas et qu'elle avait été poignardée.
La Suissesse de 38 ans a subi des blessures non précisées et elle a été transportée à l'hôpital en ambulance.
Les opérations de recherche effectuées immédiatement ont conduit à l'arrestation d'un suspect peu de temps après. Il s'agit d'un demandeur d'asile de 22 ans, originaire d'Érythrée, dont la demande avait été rejetée. L'auteur présumé de l'infraction a été emmené dans un commissariat de police pour une enquête plus approfondie. (...)
Outre la police cantonale zurichoise, la police municipale de Limmattal a participé à la chasse à l'homme. Les forces d'intervention ont été soutenues par l'hélicoptère de la police.
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
C’est bien de m’avoir enfoui de la terreur rouge-noire. Je travaille pas, je paye pas d’assurance médicale, je rien a secouer, je balances mes… c…. s. THe EST is the best. Blessed the PARTY and our LEADER soupreme
Cet illégal coûte cher aux contribuables suisses parce qu’il n’a pas été arrêté à la frontière et interné immédiatement dans un camp de travail en attendant son expulsion.
Ah! Rectification. L’agresseur passe du statut de clandestin au statut d’admis provisoire. On peut supposer qu’après avoir poignardé cette femme, on lui décernera l’admission définitive. C’est logique.
Le Blick précise :
“Correction: une version antérieure de l’article indiquait que le détenu était un demandeur d’asile débouté. La police du canton de Zurich a corrigé cette information initialement fournie dans le communiqué de presse. La personne arrêtée est un demandeur d’asile admis à titre provisoire.”
https://www.blick.ch/schweiz/zuerich/opfer-mit-stichverletzungen-frau-auf-feldweg-attackiert-eritreer-22-festgenommen-id16368778.html
Elle s’est fait poignarder (mais il n’est pas stipulé si c’est un couteau)
Joli coup. Maintenant la Suisse a une raison de le garder au chaud en attendant que la machine immigrationniste se mette en route. Il va encore nous coûter un bras et il n’est pas près de retourner d’où il vient.