24 heures du 24 février 2021 – Courrier des lecteurs
Lettre de Jean-Pierre Sueur, syndic du Mont-sur-Lausanne
[...] Plus une commune se développe démographiquement, plus elle s’appauvrit. Ce qui est le cas du Mont-sur-Lausanne. A cela s’ajoutent les investissements des infrastructures directement liées aux prestations obligatoires, que certains veulent toujours plus luxueuses et dépassant le nécessaire et nous avons là un ingrédient pour allumer la mèche d’un cocktail détonant qui peut mettre la commune dans une problématique financière inextricable à terme. [...]
La fiscalité ne doit et ne peut plus augmenter, qu'il y ait pandémie ou non, et malgré les velléités de certains. Le pouvoir d'achat des Montains ne doit plus diminuer.
Article complet réservé aux abonnés
*********
Ganga Jey Aratnam : « L’immigration ne peut plus guère être arrêtée » Avec ses déclarations, Ganga Jey Aratnam a déconstruit l’image de la Suisse cloisonnée. Dans son exposé, il parle de la diversité et des cours [...]
La Suisse se rue partout dans le monde, où l’extrême-gauche sème la guerre, pour y faire son importante et sous prétexte de rétablir le dialogue entre les belligérants et les légitimer à part égale puisque [...]
*
Un sociologue invite les Suisses à s’intégrer aux étrangers car « les migrations de masse ne peuvent pas être stoppées »
Les Suisses doivent suivre des cours sur l’intégration avec les étrangers afin de s’habituer à « devenir une minorité » dans leur propre pays, a déclaré un sociologue.
Ganga Jey Aratnam, qui a émigré en Suisse il y a 25 ans, a déclaré lors d’un entretien avec Tages-Anzeiger que la migration de masse vers la nation suisse « est une voie à sens unique, il n’y a pas de retour en arrière ».
La population indigène de la Suisse devrait abandonner les coutumes et traditions historiques du pays au fur et à mesure que sa population est remplacée et en venir à reconnaître « l’hyper-diversité » comme la culture nationale, a déclaré l’universitaire sri-lankais, soutenant que « la culture suisse n’est pas perdue, elle se développe ».
À la question de savoir s’il reconnaissait qu’une telle transition pourrait être « écrasante » pour les Suisses natifs, M. Aratnam a répondu : « C’est pourquoi je pense qu’il devrait y avoir des cours d’intégration pour les gens du pays. »
« Nous avons déjà des cours d’intégration pour les immigrés. C’est une bonne chose. Ces cours sont également nécessaires pour les locaux parce qu’ils deviennent lentement une minorité. »
Il est « dans l’intérêt des Suisses » de se familiariser avec les migrants, selon le sociologue, qui affirme que « si les locaux ne s’adaptent pas, ils deviendront des perdants dans leur propre pays ».
Illustrant ces « perdants », il a cité l’exemple des personnes âgées qui peuvent « se battre » avec les étrangers puis devenir « frustrées » lorsqu’elles sont hébergées dans une maison de retraite où 90 % du personnel vient de l’étranger.
Interrogé par le quotidien suisse-allemand sur la possibilité de « ralentir » au moins la migration de masse, le chercheur de l’université de Bâle a insisté sur le fait qu’une fois la porte ouverte aux transferts de population du tiers monde, elle ne peut plus être fermée.
« Une fois que la diversité est atteinte, on ne peut pas l’arrêter », a-t-il déclaré, notant que le regroupement familial et d’autres politiques liées aux « droits de l’homme » signifient que la migration en provenance du Sud continuera à augmenter, quelles que soient les lois nationales qu’un gouvernement essaie de mettre en place.
En outre, M. Aratnam a fait remarquer que les femmes migrantes ont « en moyenne plus d’enfants que les femmes suisses ».
« L’immigration ne peut plus être arrêtée même avec de nouvelles lois [car cela] serait contraire aux droits de l’homme, à l’intégration européenne et à notre structure économique », a-t-il déclaré.
Toutefois, Aratnam a reconnu dans l’interview que le Japon était un exemple de pays qui « a atteint une grande prospérité sans immigration ».
Après que Tages-Anzeiger ait souligné qu’« environ 90 % des demandeurs d’asile reçoivent une aide sociale » et que « la majorité des Érythréens en Suisse ne travaillent pas, même après des années », l’ancien athlète a simplement insisté sur le fait que « davantage d’efforts sont nécessaires », alléguant qu’« il y a un potentiel inexploité considérable ici ».
Les données recueillies et publiées par l’Office fédéral de la statistique et le Secrétariat d’État aux migrations ont révélé que 83,7 % des Somaliens en Suisse dépendent des revenus de l’État, contre 2,3 % des Suisses et seulement 0,6 % des ressortissants japonais.
le kosovo,slave d’origine,en est le bon exemple
On peux également quitter notre pays et aller ailleurs ? C`est bien cela que certaines personnes aimerait voir arriver !