Lausanne Cités: La Suisse serait en retard pour légiférer contre les discours de haine sur les réseaux sociaux

Cenator : Lausanne Cités, c’est l’hebdomadaire « gratuit » racheté en hâte par les socialistes, au pouvoir depuis trente ans, lorsque le bruit a couru que Christoph Blocher s’y intéressait.
Ainsi, le seul média qui a failli échapper à la propagande marxiste est tombé également dans le giron de la gauche.

Dans sa dernière publication accessible en ligne, Lausanne Cités déplore que la censure de Trump sur Twitter soit arrivée si tardivement.

Il va de soi, pour le journaliste de cet article comme pour les personnes interviewées, que Donald Trump a diffusé de la haine et qu’il a bien mérité son bannissement des réseaux sociaux. Ici, comme toujours dans les médias de la bien-pensance, les faits, la réalité sont totalement soumis à l'idéologie.

L’ensemble des médias subventionnés de la Suisse romande ont diffusé sur Trump, durant toute sa présidence et jusqu’au-delà, un déversement de haine et de diabolisation systématique, absolument sans nuance et sans limite. Mais à présent, pour ceux qui détiennent le pouvoir, la haine se trouve dans le camp de Trump, de ceux qui ont plébiscité sa politique et sa vision du monde.

Nous imaginons aisément ce que seront les générations d’économistes qui vont sortir de nos universités, où ils sont endoctrinés par des professeurs marxistes, comme Samuel Bendahan, qui enseigne l’économie à l’EPFL et à l’UNIL et est aussi conseiller national socialiste.
Avec tous nos Bendahan, nous avons de gros soucis à nous faire pour l’avenir de la Suisse, car les nouvelles élites sortant de certaines facultés des Hautes Ecoles vont œuvrer à la destruction de certains fondements de notre pays, causer des souffrances terribles, comme partout où la jeunesse gauchiste fanatisée a pris le pouvoir.

Voici quelques extraits de cette perle qu’est l’article de

Charaf Abdessemed : Haine sur les réseaux sociaux: la Suisse est-elle laxiste ?

Samuel Bendahan : « Il est juste que le compte de Donald  Trump ait été suspendu, même s’il relève de l’hypocrisie que cette suspension arrive aussi tard [...] »

Bendahan trouve que « l’inertie de la Suisse est incompréhensible », et il explique cela par le fait que « la majorité du parlement défend prioritairement les intérêts des milliardaires et des grandes entreprises qui  songent plutôt à faire du profit au lieu de contrôler la société. »

Stéphane Koch, expert en réseaux sociaux : « La décision de Twitter fait suite à un ensemble de mises en garde qui ont été adressées à Trump après le 6 janvier. Et il est quand même rassurant de voir que comme tout le monde, même un président peut être soumis à un règlement. »

Koch veut que « les États se dotent de législations » pour censurer et « punir les personnes qui propagent les appels à la haine », et déplore que la Suisse soit si en retard dans ce domaine.

Isabelle Moret, toujours aussi opportuniste et désireuse de plaire à tous, se dépêche d’ajouter qu’elle « condamne le contenu de beaucoup de tweets de Donald Trump », mais que la censure peut être « le début d’une pente dangereuse ».

http://www.cfch.ch/fileadmin/user_upload/20_Zusatzseiten/10_Aktuell_News/Dokumente/Lausanne_Cites_10.02.2021_web_3.pdf

Un commentaire

  1. Posté par antoine le

    Soit la liberté d’expression et de pensée existent et nous vivons en Démocratie, soit on plébiscite la censure et notre pays vivra sous la DICTATURE … !!
    ”Koch veut que « les États se dotent de législations » pour censurer et « punir les personnes qui propagent les appels à la haine », et déplore que la Suisse soit si en retard dans ce domaine.”
    Un pays qui prône la liberté est forcément très en retard concernant la censure … !!
    Sur le drapeau vaudois, nous pouvons lire : Liberté et Patrie
    Certainement 2 mots qui ne sont plus dans le vocabulaire de M. Koch !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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