Le temps est comme une rivière. Vous ne pouvez pas vous baigner deux fois dans la même eau, car le flux qui est passé ne repassera plus jamais.
Franklin Graham s'exprimait à la First Baptist Church de Jacksonville, en Floride, lorsqu'il a déclaré que l'Amérique ne reviendrait pas.
Il a dit: "Le rêve américain s'est terminé le 6 novembre 2012 dans l'Ohio. Le deuxième mandat de Barack Obama a été le dernier clou du cercueil de l'héritage des hommes blancs chrétiens qui ont découvert, exploré, fait œuvre de pionnier, installé et développé la plus grande république de l'histoire de l'humanité.
Une coalition de noirs, de latinos, de féministes, d'homosexuels, de fonctionnaires, de syndicalistes, d'extrémistes environnementaux, de médias, d'Hollywood, de jeunes désinformés, de "toujours nécessiteux", de chômeurs chroniques, d'étrangers en situation irrégulière et d'autres "compagnons de route" ont mis fin à l'Amérique de Norman Rockwell.
Vous ne vaincrez plus jamais ce genre de personnes par des élections. Il faudra des actes individuels de défi et des manifestations massives de désobéissance civile pour récupérer les droits que nous leur avons cédés. Il faudra des fanatiques, et non des RINO (Républicains de nom seulement) modérés et timides qui pactisent avec l'adversaire, pour redresser ce navire et redonner son ancien statut à notre pays bien-aimé.
Les gens comme moi sont complètement insignifiants sur le plan politique, et je ne pourrai probablement plus jamais faire de commentaires juridiques ni m'inquiéter de la coalition susmentionnée, qui a abandonné notre culture, notre héritage et nos traditions sans qu'un coup de feu ne soit tiré.
Le cocker est devant le porche, le pit-bull est dans la cour derrière.
La Constitution américaine a été remplacée par l'"Être radical" de Saul Alinsky, et des gens qui n'annonçaient pas la couleur, comme l'escroc de Chicago David Axelrod et le socialiste international George Soros, ont tiré les ficelles de leur marionnette et nous ont apporté l'acte 2 du Nouvel ordre mondial.
Le rideau va tomber, et le mal est fait. La messe est dite.
Ceux qui viendront après nous devront à nouveau risquer leur vie, leur fortune et leur honneur sacré pour faire revenir la République que cette génération, par lâcheté, a laisser perdre à cause de la culpabilité blanche et du politiquement correct.
source: https://fellowshipoftheminds.com/franklin-graham-america-will-not-come-back
Traduction libre Cenator
Le coup d’état (profond) contre le président Trump aura au moins eu le mérite d’éveiller une partie des protestants américains à une certaine thématique.
L’esprit de Munich est une maladie de la volonté chez les peuples nantis.
Un état d’âme permanent chez ceux qui se sont abandonnés à la poursuite de la prospérité à tout prix, ceux pour qui le bien-être matériel est devenu le but principal de leur vie sur terre.
Ces gens là — et il y en a beaucoup dans le monde aujourd’hui — ont choisi la passivité et la reculade, afin de prolonger un peu leur train-train quotidien, afin d’éluder/éviter la difficulté aujourd’hui.
Et demain, vous verrez, tout ira bien.
Mais rien n’ira bien.
Le prix de la lâcheté est toujours le mal.
Nous ne récolterons la victoire que si nous avons le courage de faire des sacrifices.
Alexandre Sojénitsyne 1918 – 2008
On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien;
Et ce que l’Éternel demande de toi,
C’est que tu pratiques la justice,
Que tu aimes la miséricorde (bienveillance, indulgence, clémence, compassion, compréhension, pitié),
Et que tu marches humblement avec ton Dieu.
Bible-Michée 6.8
L’Occident qui était perçu essentiellement comme le Chevalier de la Démocratie est désormais appréhendé comme le vecteur d’une politique pragmatique, souvent égoïste, voire cynique.
Sojénitsyne :Interview accordée à l’hebdomadaire Der Spiegel, juillet 2007.
L’Occident a défendu avec succès, et même surabondamment, les droits de l’homme, mais l’homme a vu complètement s’étioler la conscience de sa responsabilité devant Dieu et la société.
Sojénitsyne : Discours prononcé devant l’université de Harvard, le 8 juin 1978
Jan Patočka Patocka (dissident tchèque, 1 juin 1907, Turnov, Tchéquie – 13 mars 1977, Prague, Tchéquie, mort après un brutal interrogatoire policier) a défendu les droits de l’homme contre la tyrannie totalitaire, mais il était assez lucide pour voir la technique à l’œuvre dans l’illimitation de ces droits.
« Toute réalité implique par elle-même une limite. Ce qui n’existe pas du tout n’est jamais limitable. C’est pour cela qu’il y a affinité entre le totalitarisme et le mensonge. »
Simone Weil, Note sur la suppression générale des partis politiques
Le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l’Ouest aujourd’hui pour un observateur extérieur. Le monde occidental a perdu son courage civique, à la fois dans son ensemble et singulièrement, dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque pays, et bien sûr, aux Nations Unies. Ce déclin du courage est particulièrement sensible dans la couche dirigeante et dans la couche intellectuelle dominante, d’où l’impression que le courage a déserté la société toute entière. Bien sûr, il y a encore beaucoup de courage individuel mais ce ne sont pas ces gens là qui donnent sa direction à la vie de la société.
Discours prononcé devant l’université de Harvard, le 8 juin 1978
Chez nous, les dissidents étaient des jeunes gens qui portaient sous leur pèlerine des samizdats -des analyses critiques du système soviétique-, derrière le rideau de fer, les peuples souffraient mais il ont sauvé leur âme. La Russie se retrouvera, elle est vivante. Vous les Européens, êtes dans une éclipse de l’intelligence, vous allez vivre des heures difficiles, vous allez souffrir. Le gouffre est profond. Vous êtes malades. Vous avez la maladie du vide. Votre système occidental va vers son état ultime d’épuisement spirituel: juridisme sans âme, humanitarisme formel, abolition de la vie intérieure. Mais un jour viendra où le gouffre s’ouvrira à la lumière, des petites lucioles vacillantes sortiront de la grande catacombe portés par des dissidents. Aujourd’hui les dissidents sont à l’Est, mais bientôt ils vont passer à l’Ouest.
Alexandre Soljénitsyne (propos tenus à son ami Philippe de Villiers en 2008, peu avant sa mort)
Saul Alinsky, David Axelrod, George Soros… il y a là comme une continuité.
Excellent résumé : ”Le rêve américain s’est terminé le 6 novembre 2012 …”
Ceux qui viendront après nous devront à nouveau risquer :
– leur vie (comme Abraham Lincol, James Garfield,William McKinley, JFK, M. Luther King et tous les Patriotes dont Mme A. Bibbitt, etc …)
– leur fortune
– leur honneur sacré
pour faire revenir la République !