Le traquenard du 6 janvier

Stéphane Montabert
Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens
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Le 6 janvier restera dans l'histoire des États-Unis comme un jour à marquer d'une pierre blanche. Pour les Démocrates et les médias, donc à terme la version officielle, celui où la violence à peine contenue de l'extrême-droite américaine aura éclaté au grand jour. Pour les Républicains et la majorité des électeurs, volés de leur vote, celui où la gauche se sera livrée à son propre Incendie du Reichstag pour mieux s'excuser des mesures extrêmes qu'elle entend appliquer.

La journée du 6 janvier fut dès le départ marquée comme un rendez-vous avec l'Histoire. Les Chambres - les Représentants et le Sénat - devaient se réunir pour déterminer le vainqueur de l'élection selon les Grands électeurs décidés dans chaque état fédéré. Beaucoup espéraient que Mike Pence, vice-président et président de la session, utiliserait des pouvoirs dont il dispose pour contester les listes de Grands électeurs soumises, d'autant plus que certains états contestés envoyèrent deux listes au Capitole.

Dehors, une foule massive était assemblée, à l'appel de Trump. Il galvanisa ses partisans, tentant d'influer sur Mike Pence - son propre vice-président - pour "qu'il fasse le bon choix" et permette enfin une analyse sérieuse des fraudes électorales du scrutin du 3 novembre...

Nous étions une fois de plus dans la configuration de la force irrésistible contre l'objet inamovible.


L'hallucinante foule de supporters de Trump le 6 janvier à Washington (cliquez pour agrandir)

L'appel à la violence

La version officielle est facile à retrouver puisqu'elle tourne en boucle sur tous les médias depuis une semaine. BFMTV résume par exemple dans une vidéo:

Scènes inimaginables à Washington ce 6 janvier. Des partisans de Donald Trump ont envahi mercredi le Capitole, temple de la démocratie américaine, interrompant la session qui devait confirmer la victoire de Joe Biden. Les manifestants ont agi après un nouveau discours de Donald Trump, où il réfutait toujours les résultats de l’élection présidentielle. Ces images prises à l'intérieur du Congrès vont marquer l’Histoire américaine.

Il est totalement clair pour le rédacteur des lignes ci-dessus que Donald Trump est à l'origine de l'invasion. Pourtant, Donald Trump dit aux gens de marcher paisiblement en direction du Capitole pour faire entendre leurs voix. Une séquence impossible à trouver dans les médias normaux, puisqu'elle contredit le récit selon lequel le Président a lancé des appels à la violence. En voici une sauvegarde.

Lorsque les violences éclatèrent, Trump se prononça encore, appelant au calme. Mais pour nos amis journalistes, ce fut un encore un appel à la violence. Tellement d'ailleurs que là encore, Twitter, Facebook et YouTube censurèrent cette abominable prise de parole, tant elle était excessive... Les sites web des médias refusèrent tout autant de la montrer, et le refusent toujours. Trop dangereux. Mais vous pouvez la voir ici et vous faire une idée à votre tour, plutôt que de laisser d'autres vous expliquer ce que vous devez en penser.

Dans ces séquences je ne vois nul appel à la violence. Et je crois qu'en leur for intérieur, les journalistes le savent très bien aussi. Parce que si Trump avait lancé un quelconque appel à la violence, non seulement il n'aurait pas été censuré, mais chaque phrase, chaque mot litigieux tournerait en boucle sur les plateaux télés pendant que des manifestants anti-Trump les écriraient en lettres de sang sur leurs banderoles. On en parlerait du matin au soir.

Censurer Trump est une étape essentielle pour pouvoir l'accuser d'avoir dit ce qu'il n'a pas dit.

Je comprends néanmoins le trouble des journalistes. Ils sont un peu confus sur ce qui constitue ou non un appel à la violence. Ainsi, dans toute cette séquence d'extraits vidéo, il n'y a pas un seul appel à la violence. Et prenons ces phrases prononcées par des politiciennes américaines de premier plan:

  • "Il doit y avoir du désordre dans nos rues" -- Représentante démocrate Ayanna Pressley, du Michigan
  • "Les protestataires ne doivent pas laisser tomber" -- Kamala Harris
  • "Si vous voyez quiconque de ce cabinet (Trump) dans un restaurant, un grand magasin, une station d'essence, sortez et rassembler une foule et ramenez-vous contre eux et dites-leurs qu'ils ne sont plus les bienvenus, où que ce soit" -- Maxine Waters
  • "Je ne comprends pas pourquoi il n'y a pas de soulèvement dans tout le pays. Peut-être qu'il y en aura." -- Nancy Pelosi

Ce ne sont pas des appels à la violence, puisqu'ils concernent Black Lives Matter, et le mouvement BLM ne saurait être violent, puisque les médias ont toujours dit qu'il ne l'était pas. On en arrive à un système de doublepensée assez fascinant.

Candace Owens montre quelques images de manifestations pacifiques de BLM à titre de comparaison.

Vous seriez bien en peine de trouver des images équivalentes de l'assaut du Capitole, puisque les "assaillants" se sont montrés d'une exquise courtoisie, allant jusqu'à respecter les cordons de protection dans les salles... S'il y avait eu des brasiers, des tags violents sur les murs, des statues défigurées ou maculées, bref, de la dévastation, alors les images de ces déprédations tourneraient en boucle dans les médias depuis une semaine. Comme pour l'appel à la violence de Trump, l'absence de toute image exploitable dans les médias (et ce ne sont pas les images qui manquent) tend à démontrer que ce qu'ils dénoncent ne s'est pas produit.

Ce décalage avec la réalité peut amener des conséquences pratiques amusantes, comme de nouveaux filtres anti-robot sur les sites web. Celui montré ci-dessous est particulièrement puissant puisque non seulement il écarte les robots, mais il peut même dire si l'internaute est de droite ou de gauche (ou simplement de mauvaise foi).

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L'assaut des Pro-Trump, vraiment?

Personne n'explique comment un média de gauche comme NPR parvint à annoncer que le Capitole était pris d'assaut cinq heures avant l'événement.

Les Antifas (les milices de casseurs associés à l'extrême-gauche et aux manifestants de Black Lives Matter) avaient bien sûr infiltré la manifestation. Ils ont l'habitude. Ils furent aux premières loges pour prendre d'assaut le Capitole, dans l'espoir de transformer la manifestation en émeute, puis, dans le meilleur des cas, en bain de sang. Ils avaient des complices dans la police. Ils avaient des caches d'armes. Mais le public ne les suivit pas dans l'hystérie destructrice. Certes, quelques vitres furent brisées, mais c'est le moins que l'on puisse faire lorsque l'on veut pénétrer sans autorisation dans un lieu.

Je ne dis pas que c'est très bien, mais j'aimerais vraiment que ceux qui s'indignent de cela montrent l'indignation équivalente qu'ils ont affiché pendant les six mois de mise à sac de l'Amérique par les milices de BLM. Parlant de ces gens, le leader de Black Lives Matter lui-même fut reconnu en train de filmer, à l'intérieur du Capitole, au moment même où Ashli Babbit fut exécutée. Il passait par là, il avait vu de la lumière...

La seule victime ce jour-là dans le Capitole, la seule, fut Ashli Babbit. D'autres gens moururent le 6 janvier 2021 à Washington D.C., mais pas au Capitole. Aucun officier ne mourut ce jour-là - les déclarations du contraire sont une erreur que les médias partisans refusent de rétracter. Entre accident de circulation, suicide, ou piétinement dans une bousculade de la foule, il y a eu des morts, c'est vrai. Les médias les comptèrent immédiatement comme du sang sur les mains de Trump, et des victimes de la "prise du Capitole". Je le répète, la seule victime au Capitole fut Ashli Babbit.


Ashli Babbit

D'origine syrienne, Ashli Babbit avait donné quatorze ans de sa vie à l'armée américaine. Quatre tours de service actif, luttant sur divers champs de bataille au nom de la démocratie. Elle fut abattue par un agent de sécurité comme un animal ce 6 janvier d'une balle dans le cou, sans sommation,  alors qu'elle ne présentait pas le moindre danger. Elle franchissait une porte-fenêtre brisée. Son crime? Être venue au Capitole pour que son vote soit légalement pris en compte, comme il devrait l'être partout dans le monde.

Le feu n'a pas pris

Comment le centre du pouvoir du pays le plus puissant du monde, le jour où toutes les personnes politiques les plus importantes du pays sont présentes, a-t-il pu être envahi par une horde de barbus à casquettes MAGA, cinquantenaires et sans armes? Voilà la vraie question que personne, dans la classe médiatique, ne posera.

En attendant, ce genre d'image collera longtemps à la peau des politiciens américains:

Comme le commenta un internaute, "voici les gens qui votent pour envoyer mourir vos fils à la guerre". Était-ce réellement la panique, ou encore une session photo censée illustrer les "terribles risques" encourus par la classe politique pendant que des visiteurs impromptus se contentaient, hilares, de prendre des photos de l'intérieur du bureau de Nancy Pelosi abandonné à la hâte?

Je ne fais pas porter le chapeau de l'invasion du Capitole par la foule uniquement aux antifas mêlé au cortège. La foule provient bien des militants pro-Trump qui ont participé à l'aventure, et ils étaient nombreux. Malgré leur colère, ils ont fait preuve d'une étonnante retenue, de respect, et même d'humour. Le Congrès n'avait aucunement l'intention de faire quoi que ce soit sur les fraudes électorales ; les manifestants n'ont fait changer aucune trajectoire dans l'intronisation de Joe Biden. Mike Pence avait prévu de trahir bien avant cette journée, tout comme les Républicains renonçant au tout dernier moment à contester le résultat de l'élection présidentielle. Tout était prévu.

Il était aussi prévu qu'il y ait un massacre, mais le massacre ne vint malheureusement pas. Qu'importe, on fait comme si - on l'invente, on l'exagère, on honore sa mémoire, et on prétend, sans rire, que ce 6 janvier est équivalent au 11 septembre 2001... Et bien sûr, puisqu'il a eu lieu, finalement, en quelque sorte, on l'exploite. Le 6 janvier sert à museler Trump, à qualifier le moindre sympathisant pro-Trump de dangereux désaxé, en attendant la suite. La machine du totalitarisme se réveille aux États-Unis. Elle a faim de broyer des gens.

Pendant des mois en 2020, Black Lives Matter passa ses journées à brûler des quartiers résidentiels, détruire des entreprises privées et attaquer des innocents dans les rues (et dans des quartiers noirs, en plus). BLM et les "Antifas" tentèrent de s'emparer de secteurs entiers de Seattle et de Portland en les déclarant "zones autonomes" et en y installant leurs petites utopies à base de racisme antiblanc. Tout du long, les médias n'y trouvèrent rien à redire et les politiciens de gauche prétendirent que tout ce qui était fait était juste et bon.

Pour mémoire, la gauche avait elle-même été tout à fait paisible lors de la prestation de serment du Président Trump en 2016. C'était il y a quatre ans seulement. Nous pourrons comparer avec la façon dont les choses se passeront ce 20 janvier.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 15 janvier 2021

11 commentaires

  1. Posté par Jean-Francois Morf le

    Si les américains avaient réellement choisi Biden, il faudrait en déduire qu’ils avaient majoritairement envie d’être gouvernés par un gaga, ce qui est totalement invraisemblable.
    Les démocrates menteurs compulsifs ont triché en manipulant les machines à voter, et en bourrant les urnes de milliers de bulletins de vote fraichement imprimés pour Biden.

  2. Posté par Stephane Montabert le

    Mise à jour (19 avril): il aura fallu du temps pour que la vérité perce, mais elle finit par percer. Des mois après les faits, la “victime des extrémistes pro-Trump du 6 janvier” Brian D. Sicknick se révèle officiellement être morte de causes naturelles d’un accident cardiaque, sans traumatisme ni blessure, ni sans lien avec une réaction allergique aux gaz lacrymogène (une autre hypothèse qui a eu la vie dure). Les Démocrates menteurs et les faux journalistes auront utilisé ce “narrative” pour faire gober au grand public des mensonge durant des mois: https://archive.is/hwSxe

    Le New York Times s’est discrètement rétracté, avant de carrément supprimer les pires articles originaux de son site.
    Précisons encore que Brian D. Sicknick était un électeur pro-Trump, d’après ses proches. La gauche américaine aura donc instrumentalisé sa mort pour faire passer chaque électeur de Trump comme un extrémiste, salissant l’entier d’un mouvement qui contient bien des gens comme l’Officier Sicknick.

  3. Posté par Stephane Montabert le

    @M. Zufferey:

    Bonjour et nerci pour vos précisions, qui malgré votre morgue vindicative, sont exactes. Vous gagneriez à être moins insultant: je ne suis pas un journaliste payé pour mentir comme d’autres. Cet article comporte 27 liens, hors images. J’en déduis donc que le reste est correct.

    Ce billet comporte deux erreurs. La photo de la foule au début d’article, bien que circulant allègrement sur le web, n’a pas été prise le 6 janvier (où le ciel était couvert). C’est une photo plus ancienne d’un rassemblement à Washington qui n’a rien à voir. Je suis tombé dans le panneau, tout simplement. Je suis parvenu à retrouver une photo du 6 janvier mais elle n’est pas aussi impressionnante (ni aussi bien prise):
    https://i.imgur.com/1Q7KKgR.jpg
    Nous ne disposons d’aucune estimation de la taille de la foule réunie à Washington ce jour-là.

    Deuxième erreur, il y a bien eu un autre mort lors de l’invasion du Capitole: l’officier Brian D. Sicknick. Il est vrai qu’au moment où la partie du texte concernée était rédigée, il était encore vivant, bien que blessé, à l’hôpital. L’officier a été atteint à l’extérieur du Capitole par un lourd projectile (un extincteur semble-t-il) à la tête. Il existe de rares images de l’incident mais elles ne permettent pas d’identifier le protagoniste. J’espère évidemment que lumière sera faite sur l’auteur de cette agression indigne – et son affiliation politique.

    Cette mise à jour montre s’il en était besoin, que malgré toute ma bonne volonté, je n’ai rien d’infaillible. Avec mes excuses.

    Enfin, histoire d’apporter du nouveau, nous avons une vidéo qui démontre l’implication d’un leader de BLM dans l’attaque, John Sullivan. La vidéo est évidemment supprimée de partout mais elle se trouve aussi ici:
    https://video.maga.host/videos/watch/57f5d57b-2521-49d0-b90b-1da423c94dd3
    Elle démontre de façon claire que non seulement John Sullivan a participé à l’invasion, mais qu’il faisait partie des tous premiers.

  4. Posté par aldo le

    @Dominique le 15 janvier 2021 à 16h12 la réponse valable pour le monde entier, Suisse comprise, c’est exactement la méthode mondialiste de la Chine communiste impliquée dans le Coran0virus. Ce sont là des guerres civiles visant à affaiblir tout ce qui représente les principes démocratiques pour inféoder l’ensemble de la planète à une dictature totalitaire digne de la révolutions culturelle de Mao. Il suffit de s’informer pour constater cette symétrie. C’est très bien détaillé ici: https://fr.ntd.tv/perte-dindependance-des-grands-medias-villes-connectees-comme-outil-de-surveillance/ …et ça correspond exactement à la situation des journalistes du style du Corse Torracinta et d’artistes achetés tels Yves Montant qui courraient à l’Est pour leurs vacances grassement payées afin de nous vanter le paradis soviétique sur la TSR ou ses équivalences françaises.

  5. Posté par Chris le

    A quoi bon finalement? Trump a fait la plus grande erreur de sa vie en se rendant à cette manifestation: il en est devenu de facto l’organisateur et le meneur. Tous les débordements inévitables qui allaient y surgir devenant de sa responsabilité.
    Il a extrêmement mal joué, s’est crashé de manière lamentable.
    Et avec du recul on constate que Trump bluffait: pas de kraken, pas de lumière aveuglante, pas de vérité exposant les mensonges et la fraude. 85 juges se sont penchés sur les accusations de fraude, des juges à des degrés divers, balayant tout le spectre hiérarchique juridique, de toute obédience idéologique: pas un n’a donné suite.
    Trump a mis gravement en danger ses partisans ce jour-là.
    Cela aurait pu très mal tourner.
    Il n’y aura pas de troisième parti, Trump aura bien de la chance si il ne termine pas son existence en taule.
    Sa défense personnelle , la défense de son patrimoine et de ses affaires seront un job à plein temps.
    Son retour en 2024? Cela prouverait qu’il ne croit pas aux fraudes.
    Bon golf Donald, tu as bien bossé, tu mérites du repos.
    Passons à autre chose. Dans 5 jours Joe Biden sera président des USA et les démocrates occuperont ce siège pour au moins 8 ans. En regardant avec plaisir le parti républicain se déchirer, plus désuni que jamais. Un parti MAGA et le meilleur cadeau à faire aux démocrates et assurerait leur hégémonie pour toujours.

  6. Posté par Dominique le

    Comment tant de journalistes peuvent-ils mentir de manière aussi ignoble et inciter à la haine? Parce qu’ils sont partiaux et n’ont ni éthique, ni scrupule, ni honneur. Pourquoi tant de Suisses les croient-ils encore?

  7. Posté par Pierre Zufferey le

    La sympathique troupe des pro-Trump, je vous cite “Malgré leur colère, ils ont fait preuve d’une étonnante retenue, de respect, et même d’humour.”
    Ben voyons. On doit pas avoir le même sens de l’humour:
    https://www.youtube.com/watch?v=lfP_5L8epow
    Vous noterez à nouveau que le ciel était bien gris le 6 janvier. Probablement une rapide détérioration de la météo par rapport au ciel bleu quelques minutes auparavant.

  8. Posté par Pierre Zufferey le

    M.Montabert,
    votre stratégie est toujours la même, à savoir diffuser des fausses informations et fausses nouvelles afin de valider vos propos. Un exemple: les photos que vous montrez n’ont pas été prises le 6 janvier 2021, mais le 27 septembre 2020 lors d’une marche religieuse (agence Reuters) :
    https://www.reuters.com/article/uk-factcheck-photo-religious-march-trump/fact-check-mislabeled-photo-shows-2020-religious-march-at-lincoln-memorial-not-pro-trump-crowds-in-january-2021-idUSKBN29B2WX?edition-redirect=in
    D’ailleurs à Washington le 6 janvier le temps était couvert, et sur votre photo le ciel est grand bleu:
    https://www.timeanddate.com/weather/usa/washington-dc/historic.
    Par ailleurs la mort du policier le 6 janvier est confirmée sur le site web de la police du capitole:
    https://www.uscp.gov/media-center?page=1

    Si vous voulez faire avaler des balivernes, vous devriez vous y prendre de manière un peu plus subtile.

  9. Posté par antoine le

    ”Il était aussi prévu qu’il y ait un massacre, mais le massacre ne vint ”malheureusement” (pour les démon-rats) pas”
    La mayonnaise n’a pas pris et pour cause !
    D’un côté on a des manipulateurs et de l’autre on a le Peuple dont le vote lui a été volé !
    Le Peuple américain n’est pas naïf et est respectueux des lois en vigueur.
    La situation ne s’est pas dégradée suite à l’assassinat prémédité de Mme Babbit par un policier ”aux ordres” pour déclencher les émeutes.
    Le pouvoir ayant été acquis par la fraude, le règne de M. Bidon ou de Mme la marxiste Harris ne restera pas dans les annales comme un exemple du genre !!

Et vous, qu'en pensez vous ?

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