Pauline Rumpf - Minoritaires dans les faits, les violences conjugales touchant les hommes sont peu connues, mais bien réelles. Genève est pionnière en Europe dans la reconnaissance de ce phénomène.
[...] Sophie Del Duca étudie ce phénomène grandissant dans une thèse en cours, dont un des terrains d’observation a été les HUG.
Une victime sur 10 est un homme
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Combien sont-ils à rester dans l’ombre?
Les chiffres constatés par la chercheuse varient de 7 à 15% de cibles masculines pour les dossiers de violences conjugales en milieu hospitalier en Europe. Près de 10% des victimes de violences conjugales suivies aux HUG par l’Unité interdisciplinaire de médecine et de prévention de la violence (UIMPV) sont des hommes. Et la chercheuse soupçonne l’existence d’un «chiffre noir», une part d’hommes qui resteraient dans l’ombre. Dans un article co-écrit entre autres par le médecin adjoint de l’UIMPV Emmanuel Escard, l’on estime que 25% des hommes genevois auraient subi des violences domestiques au cours de leur vie. Des hommes meurent aussi parfois sous les coups de leur partenaire, même si le déséquilibre statistique reste fort.
Les femmes frappent davantage avec les objets
Outre la fréquence, le type de violence est également différent, constate Emmanuel Escard. «Les hommes hétéros sont plus rarement victimes de violences physiques conséquentes et de violences sexuelles, mais plutôt de violences psychologiques», rapporte-t-il. Les témoignages récoltés par Sophie Del Duca font, eux, bien état de violences physiques, mais elle confirme que leur forme est souvent différente. «Il semble que les agresseures utilisent davantage les objets, que ce soit pour frapper ou brûler ou comme cible de leurs attaques, et visent surtout le haut du corps, explique-t-elle. Elles s’inscrivent aussi dans des logiques de contrôle et de privation: économique, sexuelle, ou encore des enfants.»
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«J’étais pris au piège»
[...] … J’étais pris au piège. Heureusement, j’avais un ami gendarme qui m’a pris au sérieux et qui m’a aidé. Je n’ai pas porté plainte.»
*prénom d’emprunt
Un tabou lié à la «force masculine»
[...] Même si ce sont à ce jour les rares à s’y être intéressés, en évoquant la «crise de la masculinité contemporaine»».
article complet: https://www.20min.ch/fr/story/une-etude-se-penche-sur-le-tabou-des-hommes-battus-210506272681
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LES VIOLENCES CONJUGALES FAITES AUX HOMMES SONT IGNORÉES !
•5 janv. 2021
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Il y a 40 ans...
Lorsque l’on parle de violence, on pense tout de suite à la violence physique. Or, avec des mots, on peut turer quelqu’un. Et c’est précisément l’arme préférée des femmes. J’en sais quelque chose. Certains propos peuvent être assimilés à une tentative de meurtre, de meurtre mental. Une petite mort.
La seule violence reconnue par la société, notamment les tribunaux, est la violence physique. Or, une gigantesque baffe peut n’être rien par rapport aux propos endurés. Mais, devant un tribunal, seule la baffe sera reconnue comme une violence condamnable…
La violence des femme envers les hommes est également psychologique , cela ne laisse pas de trace sur le corps et il est très difficile de la prouvé .
La moindre faute, la moindre erreur, le moindre oublie et c’est l’avalanche de mépris, de remarques désobligeante voir d’insulte en privé comme en publique qui lentement détruit l’homme qui sachant que si il porte la main sur “l’agresseuse” risque de finir en prison , c’est a dire faire plaisir a “l’agresseuse” puisque elle est débarrasser de sont conjoint.
De ce faite en provoquant en permanence les hommes elles provoquent chez certains une réaction de défense qui ce traduit par des coups avec au bout , plaintes, incarcération de l’homme qui n’est en fin de compte qu’une victime de la machination organisé par celle qui vie avec lui.
Le film la pilule rouge tourner par une ancienne féministe montre bien ce qui ce passe actuellement, tout les hommes devraient le regarder pour mieux éviter de ce faire piégé par les femmes .
Le mouvement misandre actuel est de plus en plus fort avec sont infiltration dans les mouvements féministes, les administrations, les gouvernements ; pour ce faire reconnaitre entre elles ces femmes porte un collier ou tout autres bijoux représentant le signe de la féminité avec un poing a l’intérieur, dans certains pays ont les appels des FémiNazi , ce qui veux tout dire. Ce symbole peux être vu notamment autour du cou de la commissaire Européenne suédoise charger de la sécurité des frontières de l’Europe.
Le but des misandres est l’asservissement des hommes tel des esclaves par la prise du pouvoir des pays.