L'opération de propagande et de censure de la Chine est inégalée par aucune autre nation dans le monde
Le Parti communiste chinois (PCC) a utilisé une "armée" de trolls sur les médias sociaux pour diffuser de fausses informations et façonner le récit concernant la pandémie decCovid-19 en Amérique et dans d'autres pays clés, selon un reportage récent.
L'effort massif de propagande et de censure a d'abord été déployé contre la nouvelle du décès, dû au coronavirus, du médecin chinois Li Wenliang, qui avait lancé l’alerte dès les premiers stades de l'épidémie.
Il s’agissait pour le gouvernement chinois de reprendre le contrôle du récit à l'intérieur du pays, et à l'étranger, sur la crise qui s'aggravait rapidement, explique le reportage produit conjointement par ProPublica et le New York Times.
Sur la base de documents ayant fait l’objet d’une fuite, cet article publié le 19 décembre décrit la réaction à la mort de Li Wenliang le 7 février et à d'autres événements survenus dans les premiers jours de l'épidémie.
Les principaux objectifs étaient apparemment de faire paraître l'impact du virus moins grave et de masquer les origines de l'épidémie, ainsi que de faire paraître l’emprise des responsables communistes sur l’épidémie plus forte qu’elle ne l’était. Les responsables chinois ont également pu craindre de déclencher une panique, a rapporté l’Associated Press en avril.
L’AP relève que les dirigeants chinois sont restés sans agir pendant six jours en janvier - entre le jour où ils ont appris qu'il y avait une pandémie et le jour où ils ont informé le public – bien que des centaines de personnes infectées se sont présentées dans les hôpitaux pendant ces jours-là.
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Les censeurs ont également embauché des trolls pour publier des "bavardages distrayants" sur internet afin de contribuer à influencer l'opinion publique à mesure que le coronavirus prenait de l'ampleur.
Le personnel de sécurité a reçu l’ordre de faire taire les commentateurs dont les opinions ne correspondaient pas à celles du gouvernement.
Les documents divulgués suggèrent un déploiement massif de personnes et de technologies – "et, vraisemblablement, beaucoup d'argent" - pour contrôler le narratif.
Ces informations ont été tirées de plus de 3 200 directives et 1 800 mémos ainsi que d'autres fichiers de la CAC (Cyberspace Administration of China) et du code informatique de la société chinoise Urun Big Data Services, un fournisseur de services aux gouvernements locaux.
ProPublica et le Times ont identifié le groupe de hackers CCP Unmasked (PCC démasqué) comme étant la source des documents - et les intermédiaires affirment avoir vérifié l'authenticité d'une grande partie du matériel.
Les documents indiquent les mots à éviter dans les titres, tels que "incurable" et "fatal", et proscrivent le mot "confinement" dans les articles sur les voyages.
L’article tend donc à confirmer les inquiétudes du président Donald Trump et de nombreux Républicains quant à la culpabilité présumée de la Chine dans la propagation mondiale du coronavirus, qui, au 17 décembre, avait infecté plus de 76 millions de personnes dans le monde et tué plus de 1,6 million de personnes, dont plus de 316 000 aux États-Unis, selon l'université Johns Hopkins.
Trump et d'autres Républicains ont accusé le gouvernement chinois d’avoir minimiser la gravité de l'épidémie, dont beaucoup d’observateurs estiment que l'origine se trouve à Wuhan, et reproché à l'Organisation mondiale de la santé de ne Selon eux, les fausses informations provenant de la Chine ont eu un impact négatif sur la capacité des autres nations à se préparer contre la propagation du virus sur leur territoire.
La décision audacieuse du président Trump de limiter les voyages en provenance de Chine dans les premiers jours de la pandémie, malgré la forte opposition des Démocrates, est considérée aujourd’hui encore comme ayant sauvé d’innombrables vies américaines.
Source : Chinese Communist Party Used Internet Propaganda 'Army' to Shape COVID Narrative
Résumé Cenator
Le tout repris servilement et avec paresse par les journalopes de nos merdias “de qualité”.
Propagande du PCC Parti Communiste Chinois :
”Les censeurs ont également embauché des trolls pour publier des “bavardages distrayants” sur internet afin de contribuer à influencer l’opinion publique à mesure que le coronavirus prenait de l’ampleur.”
TOUT peut être influencé, même les actions journalières que nous entreprenons sont conditionnées par ce virus chinois et la propagande qui lui est associé !