«Ici c’est chez nous». Ce tag inscrit sur le mur de l’allée 62 de l’immeuble de l’Étoile Palettes résume à lui seul la situation.
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Dans l’allée 62, toutes les vitres sont cassées. Les boîtes aux lettres sont brûlées et éventrées. Ici, pas question de se faire livrer des paquets. Ils disparaîtront dans les heures qui suivent.
Cela s’observe dans tous les pays occidentaux dont les politiciens se réfugient derrière la bannière “Etat de droit” pour cacher leur lâcheté, avec la bénédiction d’un pouvoir judiciaire qui se complait dans le laxisme. Les délinquants allogènes s’octroient une zone habitée dont les autochtones ont été progressivement chassés par leurs nuisances. Ainsi le sacro-saint “Etat de droit” génère-t-il des zones de non droit. Magnifique autogoal de nos bisounours droits-de-l’hommistes !
Là encore le couvre-feu s’impose puisque toutes ces cochonneries sont liées à des activités essentiellement nocturnes, c’est-à-dire essentiellement quand les polices ronflent au lieu de faire leur boulot. Par analogie avec les avions d’interceptions qui ne fonctionnent pas parce que les bureaux sont fermés..
Ils ont voulu le multiculturalisme. Sauf que maintenant il se retourne contre eux. Et ce n est que le début.
Faudra-t-il se substituer aux forces de l’ordre complètement dépassées par la situation ?
Faudra-t-il en arriver à ”casser” des ”jeunes” pour que l’ordre soit rétabli ?
Faudra-t-il cesser de payer des impôts pour que le message arrive jusque tout là-haut dans les tours d’ivoire ?
Faudra-t-il en arriver là … ? Genève, la Suisse prend le même chemin que la France !
Quel (mauvais) exemple !!