En février 2018, un père de famille afghan est mort par asphyxie dans son logement de Delémont, incendié par l’amant de sa femme. Cette dernière sera jugée ce lundi pour complicité.
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«Les amants [NDLR : Tous deux Afghans] espéraient que l’époux décède d’une mort naturelle, des suites de son hépatite, ou de sa consommation d’héroïne», lâche Me Gigandet
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