Depuis vendredi, un homme du Mali se trouve devant le tribunal régional de Berlin.
Affaire 606. L'accusé : Sankun K. (24 ans). Selon l'acte d'accusation, il a étranglé la femme le 5 juillet 2020 vers 11h15 à Kreuzberg avec ses deux mains alors qu'elle était couchée sur le sol sous lui. Puis il lui a arraché la moitié gauche du nez et le coin gauche de la bouche.
A-t-il quelque chose à dire à ce sujet ? Il ne veut rien dire. La femme qui a été mordue est à la barre des témoins. Albana R., 42 ans, diplômée de l'université.
Elle déclare : "Cette chose est arrivée. J'ai été mordue. "J'ai des points de suture. Je lui pardonne et lui souhaite une bonne vie". Le public dans la salle est stupéfait. Comment peut-elle dire cela alors que son visage est défiguré de façon permanente ?
Albana R. : "Je voudrais aussi savoir ce qui s'est passé. J'étais assis sur la rive. Nous avons entamé une conversation. Nous sommes allés dans l'eau ensemble. J'avais avalé une pilule d'ecstasy rose. Je lui ai dit dans le fleuve : "Pour moi, tu es Jean-Baptiste ! Ensuite, j'ai lavé les feuilles dans le jardin. Il m'a suivie. "Puis il m'a prise et m'a mordue."
Le juge : "A-t-il arraché des parties ?" La femme : "Oui, l'opération a été très lourde. J'ai des cicatrices". Le juge : "Sur les photos, il manque une partie de la joue, les dents sont visibles." La femme : "Je vais bien. "Je me demande ce qui n'allait pas dans mes actions. Je souhaite qu'il soit libre". Le public dans la salle est horrifié.
La femme déclare : "Je l'ai trouvé très sensible". Le juge demande comment elle en est arrivée à cette conclusion. Elle répond : "Je pense qu'il est clairvoyant. Il savait des choses". Le juge dit : "Quelles choses ?" Elle poursuit : "Ce que je chantais dans les toilettes à la maison". Le public dans la salle d'audience est irrité.
[...]
Sankun K. a été arrêté le jour même. Son placement permanent dans un hôpital psychiatrique est envisagé. Sentence prononcée le 27 novembre.
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Nos remerciements à Para bellum
Deux tarés drogués ! Je ne vois pas pourquoi la psychiatrie ne profiterait qu’au migrant. C’EST DU RACISME ! Au Mali ne peuvent régner que les forces du Mal ! LA PEINE DE MORT EST LA SEULE SOLUTION POUR TOUT CE QUI TOUCHE A LA DROGUE, MULES COMPRISES !
Il n’y a pas que l’agresseur qui a sa place en asile psychiatrique, à mon humble avis.
Et après on se fait traiter de raciste quand on les traite de cannibales..
L’anthropophagie est inscrite dans les gènes de ces sauvages, l’atavisme la fait ressurgir au gré de rencontres avec des femelles dégénérées comme cette nunuche.