J’ai commencé mon cours en présentant des dessins de Daumier [un célèbre caricaturiste du XIXe siècle], puis des Unes de Charlie Hebdo, mais pas celles représentant Mahomet. Jamais, je n’ai employé le mot caricatures. Le cours s’est bien passé. Après, je leur ai dit de prendre une feuille et de répondre, anonymement, à ces trois questions : Que s’est-il passé le 16 octobre ?
; Qu’avez-vous retenu du discours d’Emmanuel Macron lors de l’hommage à Samuel Paty ?
; Y a-t-il des points que vous souhaitez évoquer ?
Rassurez-moi, vous n’allez pas me décapiter ?
Et là, je suis tombée de ma chaise. En résumé, un tiers des élèves disait : Ce n’est pas normal de critiquer l’islam, comme les autres religions, d’ailleurs
; C’était mieux avant quand il n’y avait pas de liberté d’expression
; « Pourquoi les caricatures sont-elles aux programmes ? » ; Je ne vois pas l’intérêt de parler de tout ça.
Nous avons échangé là-dessus. À la fin, je leur ai dit, pour détendre l’atmosphère : Rassurez-moi, vous n’allez pas me décapiter ?
Un élève m’a répondu : Vous inquiétez pas. Pas vous…
[...]
Dans l’école française post-68, ce sont les enseignants refusant le pro-cosmopolitisme de Cohn-Bendit qui étaient persécutés ; la communauté juive chapeautait toutes les mouvances antipatriotiques, jusqu’au couronnement de la loi Gayssot, rédigée par P.Vidal-Naquet, L.Fabius, et Grand Rabbin R.N.Sirat, scellant la décomposition française.
La communauté juive a déserté l’extrême gauche comme un seul homme après le 11/09/01.
Les falsifications historiques des Observiteurs sont-elles liées à certaines subventions étrangères ?