« Ça a été quatre ans de souffrances, c’est un homme odieux, vraiment odieux, Je suis si heureuse qu’il s’en aille, même si maintenant on va devoir se soucier de tous les gens qui ont voté pour lui, car eux sont toujours là », dit Jacqueline Brown, 58 ans, professeure d’université venue à vélo rejoindre la foule à Columbus Circle.
« Je suis submergé par la joie, dit aussi Bernie Jacobs, 84 ans, qui prenait ses bagels et son café à côté de la Trump Tower. Tous les matins, on vient ici et on critique Trump, ça durait depuis quatre ans, c’était trop. On le détestait dès le premier jour où il est arrivé au pouvoir (…). Il a été un président de rien du tout, avec un ego surdimensionné et zéro talent. »
Emmi Braselton, 37 ans, graphiste indépendante d’Atlanta, se promène avec sa fille Sylvie, âgée de 2 ans, qui lui a demandé : « C’est quoi, tout ça, maman ? » « Je lui ai dit : “Le gentil a gagné.” Et aussi : “Il y a désormais une femme à la vice-présidence”. Elle m’a répondu : “Je veux être présidente” », raconte-t-elle.
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Que c’est beau, plein de petits cœurs et de bougies et de bisounours !
Le Monde est une référence de journal que je ne lirai jamais !
C’est tellement mielleux et faux !
Pas de déontologie de journaliste, que des journaleux, ça vole bas … !
Trump n’a pas fait de nouvelle guerre pendant son mandat, donc n’a pas tué et estropié y compris des milliers d’enfants comme ses prédécesseurs dont Obama le prix Nobel de la paix…… on va voir ce que fait le gentil !