Cet ancien journaliste algérien de 43 ans était jugé pour avoir attaqué trois policiers sur le parvis de Notre-Dame en 2017. Il n’a manifesté aucun regret.
Les magistrats professionnels l’ont jugé coupable de tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste et d’association de malfaiteurs terroriste. Une interdiction définitive du territoire français à l’issue de sa peine a été prononcée à son encontre.
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« Il vit pour le djihad »
En matière terroriste, rarement un accusé avait-il aussi longuement expliqué son cheminement intellectuel, son basculement vers l’islamisme radical. Diplômé en sciences de l’information, éternel étudiant aux nombreux échecs professionnels, Farid Ikken a parfois donné le sentiment, en pleine audience, de vouloir débattre de la situation au Moyen-Orient, voire de tenter de convaincre son auditoire du bien-fondé de son geste, qu’il ne regrette pas. Peu lui importaient les réactions de la cour quand il faisait l’éloge de l’organisation Etat islamique. « Il n’a pas d’autre perspective que le djihad, il vit pour le djihad », a résumé l’avocate générale.
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Pendant 28 ans en prison moins les remises de peines pour ”bonne conduite”, grâce présidentielle de M. Micron, il ressortira pour Noël … !!
Qu’est-ce qu’on attend pour rétablir la peine de mort ?
Le djihad, c’est tuer les mécréants (auxquels je suis très fier d’appartenir), ce qui devrait permettre à notre “justice” de condamner à mort les fous comme tous les terroristes essentiellement islamistes.
Cet indidu non humain semble donc n’avoir trouvé aucune autre perspective que celle de la vie de prisonnier en Europe. Espérons que cette mode touristique ne devienne pas “tendance”.