Article qui fait suite à l'attaque de Morges. Ceci est un autre individu repéré dans le périmètre du Gymnase de Morges.
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Quinze jours avant le crime, le Gymnase de Morges a été informé de la présence dans son périmètre d’un individu au comportement suspect et l’a signalé à la police, qui l’a pris en charge. Ce garçon, dans la vingtaine, toujours habillé de façon identique, demandait de la drogue et incitait les élèves à se connecter à son compte Instagram. Ses 21 publications, des photos et vidéos étranges et sombres, le montrent fumant des joints, maniant un cutter ou faisant, du bout des doigts, le geste de trancher la gorge.
Dans l’une des vidéos, il tire au pistolet en extérieur, dans une autre, il se filme avec des munitions dans la bouche.
Sous son pseudo, le Prince des ténèbres, il affiche notamment les drapeaux suisse et turc. Sa violence numérisée s’accompagne de musique rap.
Les responsables de l’établissement scolaire ont envoyé un e-mail dimanche 13 septembre, lendemain de l'attaque de Morges, demandant aux élèves de ne pas relayer ses images, tout en dissociant son cas de celui du meurtrier arrêté le jour même afin de «dissiper tout risque d’amalgame».
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Qu’il s’agit des individus radicalisés ou pas , en Vaud existe bel et bien un syndicat du crime organisé. Point barre. Et les vrais responsables sont à l’abri de tout jugement. Les “exécutants” représentent que la face visible et la ” divulgation” selon laquelle l’auteur avait des problèmes de drogue et que il avait été libéré par les psychiatres (???) ne fait que confirmer cette affirmation . Plus que sûr les psychiatres n’auront a subir aucune conséquence. Mais comment se fait-il que exactement dans le canton le plus sévère, point de vue psychiatrie , ce genre de “libération” puisse avoir lieu?? Des gens complètement sains d’esprit et innocents sont levés de chez eux et INCARCÉRÉS dans les goulags psychiatriques indéfiniment et avec aucune possibilité de s’échapper et exactement ce soi-disant connu radicalisé et de plus avec des problèmes de drogue est laissé se balader en liberté. Quelque chose ne va pas dans cette histoire ou dans l’agissement de psychiatres , fait qui ne serait pas si étonnant vu leur moindre probité professionnelle et morale( évidemment le jugement n’est pas exhaustive). Il serait intéressant connaître le mobil exact du crime mais les vrais auteurs probablement ont tout caché et il est possible que ce “radicalisé” a été drogué contre son gré. De plus dans l’éventualité d’un vrai radicalisé pourquoi avoir-t-il choisi précisément un portugais. Par hasard était-il “radicalisé” contre les portugais? Alors pourquoi les buter précisément en Suisse. Il se peut qu’il s’agit d’un radicalisé mais il n’est pas certain que cela a déterminé le mobil de ce crime précis. En tout cas ce n’est pas la seule piste envisageable et le cas est emblématique pour ce que se trame dans ce canton ” multiculturel” où le fric coule a flot. N’est ce pas chers psys, juges, avocats et autres. Savoir bien dissimuler – la clé de toute réussite.
Encore un petit imbécile qui mériterait d’être fessé sur la place publique…
Le lexique des journalopes… “qui l’a pris en charge”… “le pauvre dizikilibri”… tout faire pour édulcorer la réalité.