16 septembre - Après la mort tragique de George Floyd à Minneapolis, le Conseil municipal – presque entièrement Démocrate – avait voté en juin un démantèlement de la police de la ville, à remplacer par des solutions alternatives à base communautaire.
Mais maintenant que la violence sévit dans la ville depuis des mois, ce même Conseil demande : « Que fait la police ? »
Dans un entretien de deux heures avec le chef de la police Medaria Arradondo, le Conseil municipal a eu le culot de demander pourquoi la police n’en faisait pas plus pour endiguer la violence.
Le nombre des meurtres en 2020 a déjà dépassé le total de 2019, les vols en tout genre ont augmenté aussi, les incendies dépassent de 55% le total de l’an dernier.
Les gens demandent : Où est la police ? C’est toujours la seule solution qu’ils ont pour défendre leur sécurité.
Arradondo a répondu que le département de police avait bien pris des mesures pour contrer la violence, qu’il avait mis davantage d’agents dans les patrouilles et sur les enquêtes.
Mais la police subit aussi une hémorragie de personnel : plus de 100 agents ont démissionné cette année, soit plus du double de l’ordinaire.
Résumé Cenator
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Rappel :
28 juin - Plusieurs membres du Conseil municipal de Minneapolis qui avaient voté pour le démantèlement de la police ont reçu des menaces et dépensent maintenant 4500 dollars par mois d’argent du contribuable en escortes policières privées.
Report: Minneapolis council members calling to defund police spending $4,500/day of taxpayer dollars on private security details
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