La Cinquième Symphonie de Beethoven commence par un thème d’ouverture angoissé – dun dun dun dun DUNNNN – et se termine par une glorieuse mélodie en clé majeure. Depuis sa création en 1808, le public a interprété cette progression depuis la lutte jusqu’à la victoire comme une métaphore de la résilience personnelle de Beethoven face à sa surdité imminente.
Ou plutôt, cela a longtemps été la lecture populaire parmi les hommes blancs riches qui ont embrassé Beethoven et ont fait de sa symphonie un symbole de leur supériorité et de leur importance. Pour d’autres – femmes, personnes LGBTQ+, personnes de couleur – la symphonie de Beethoven peut être surtout un rappel de l’exclusion et de l’élitisme au sein de l’histoire de la musique classique. Un fan de musique classique de New York avait écrit dans les années 1840, par exemple, qu’il souhaitait que “toutes les femmes soient bâillonnées par des officiers dûment chargés de cette tâche avant d’être autorisées à entrer dans une salle de concert”.
Aujourd’hui, certains aspects de la culture classique consistent toujours à contrôler qui est dans le coup et qui est en dehors, et une grande partie a commencé avec la Cinquième de Beethoven. Lorsque vous entrez dans une salle de concert standard, il existe un ensemble de conventions et d’étiquettes (“ne toussez pas”, “n’applaudissez pas”, “habillez-vous correctement”) qui visent davantage à démontrer votre appartenance qu’à apprécier la musique. […]
Tient, la jeune fille avec le décolleté au musée est d’extrême gauche et islamistophile :
“Tô’ @jeavnne ·14 sept.
j’ai pris la parole pour prôner la liberté de porter ce qu’on souhaitais sans que l’on projette des fantasmes dessus. Ça veut dire que l’on ne sexualise pas nos corps, ça veut aussi dire de pouvoir les couvrir comme souhaité, et ça inclus le voile, n’en déplaise aux islamophobes”
Son corps est sexué, elle a un sexe. Sinon, il y a les tenues Mao
et pourquoi quelqu’un de la diversité irait écouter de la “musique de blancs” ? Cultural apropriation : ) (c’est vraiment une idéologie de stupids)
Dans les orchestres de musique classique, il y a une très grosse proportion de musiciennes femmes.
Si il ne faut pas tousser, c’est qu’il n’y a pas d’amplification électrique comme pour la musique d’aujourd’hui : journalistes incultes
On peut aimer ou non Beethoven (je trouve le Romantisme trop mièvre dans tous ses aspects artistiques) mais il ne me viendrait pas même à l’idée que la 5e Symphonie célèbre le triomphe de l’Homme Blanc, riche de surcroît ! Pour imaginer cela, il faut avoir le cerveau d’un colibri, ce qui caractérise les “progressistes”, “indigénistes” et pervers de tout poil.
Et, au passage, ce n’est pas la faute de Beethoven si sa 5e Symphonie plaît aux gens éduqués. Enfin, signe des temps, les éructations barbares d’un rappeur idiot sont préférées par les oligophrènes décadents aux fugues de Bach. O tempora ! O mores !
Cet article est l’expression d’un immense désordre mental. Le gauchisme, cette maladie psychiatrique.
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Tient, la jeune fille avec le décolleté au musée est d’extrême gauche et islamistophile :
“Tô’ @jeavnne ·14 sept.
j’ai pris la parole pour prôner la liberté de porter ce qu’on souhaitais sans que l’on projette des fantasmes dessus. Ça veut dire que l’on ne sexualise pas nos corps, ça veut aussi dire de pouvoir les couvrir comme souhaité, et ça inclus le voile, n’en déplaise aux islamophobes”
Son corps est sexué, elle a un sexe. Sinon, il y a les tenues Mao
et pourquoi quelqu’un de la diversité irait écouter de la “musique de blancs” ? Cultural apropriation : ) (c’est vraiment une idéologie de stupids)
Dans les orchestres de musique classique, il y a une très grosse proportion de musiciennes femmes.
Si il ne faut pas tousser, c’est qu’il n’y a pas d’amplification électrique comme pour la musique d’aujourd’hui : journalistes incultes
On peut aimer ou non Beethoven (je trouve le Romantisme trop mièvre dans tous ses aspects artistiques) mais il ne me viendrait pas même à l’idée que la 5e Symphonie célèbre le triomphe de l’Homme Blanc, riche de surcroît ! Pour imaginer cela, il faut avoir le cerveau d’un colibri, ce qui caractérise les “progressistes”, “indigénistes” et pervers de tout poil.
Et, au passage, ce n’est pas la faute de Beethoven si sa 5e Symphonie plaît aux gens éduqués. Enfin, signe des temps, les éructations barbares d’un rappeur idiot sont préférées par les oligophrènes décadents aux fugues de Bach. O tempora ! O mores !
Cet article est l’expression d’un immense désordre mental. Le gauchisme, cette maladie psychiatrique.