11. septembre 2020, Thomas Matter, conseiller national, Meilen
La Suisse profite-t-elle des Bilatérales I et de la libre circulation des personnes? Une nouvelle étude qui nous vient d’Angleterre montre que les accords bilatéraux I appauvrissent les Suissesses et les Suisses.
Depuis des années, la plupart des hommes politiques, des organisations économiques et des médias de notre pays proclament unanimement que la libre circulation des personnes avec l’UE, comme les accords bilatéraux I en général, sont dans l’intérêt de la Suisse.
Certaines études ont conclu que la Suisse en a bénéficié. Il convient toutefois de relever que la plupart de ces études ont été réalisées par des organisations proches des autorités, comme le Centre de recherches conjoncturelles de l’École polytechnique fédérale de Zurich, ou sur mandat de la Confédération ou d’Economiesuisse.
Toutefois, la question cruciale n’a pas été soulevée: la population suisse bénéficie-t-elle économiquement des bilatérales I et de la libre circulation des personnes?
Nous avons désormais la réponse. Elle nous a été fournie récemment par le célèbre institut de recherche britannique Europe Economics, qui a également conseillé la Commission européenne et des ministères britanniques. Le résultat de cette étude, qui repose sur les données les plus récentes, donne pour le moins à réfléchir: les chercheurs concluent en effet non seulement que les Bilatérales I n’ont pas eu d’effet positif sur le produit intérieur brut (PIB) par habitant de la Suisse. Ils montrent également que ces accords appauvrissent les Suisses.
Les travailleurs paient la facture
Selon cette étude, quatre des sept accords n’ont aucun effet économiquement mesurable sur le produit intérieur brut (PIB) par habitant. Seuls trois accords ont un impact économique, à savoir: l’accord sur la réduction des obstacles techniques au commerce, l’accord sur le transport aérien et l’accord sur la libre circulation des personnes.
Les avantages pour les personnes en Suisse sont minimes. Les accords sur les obstacles techniques au commerce et sur le transport aérien n’ont contribué chacun qu’à hauteur de 0,1 à 0,2 % au PIB par habitant entre 2002 – c’est-à-dire depuis l’introduction des accords bilatéraux I, y compris la libre circulation des personnes – et 2017. Avec un PIB annuel par habitant qui s’élève actuellement à quelque 80 000 francs suisses, sans les deux accords, cela ne représenterait que 80 à 160 francs suisses de moins chacun.
Les inconvénients sont nettement plus lourds. L’étude montre en effet que depuis 2002, autrement dit depuis l’introduction des Bilatérales I, jusqu’à 2017, la libre circulation des personnes nous a coûté 0,7 pour cent de croissance du PIB par habitant.
L’étude montre concrètement que les salaires seraient de 3,5 à 3,7 pour cent plus élevés s’il n’y avait pas d’immigration excessive. A noter en passant qu’il s’agit là de calculs prudents. Autrement dit, contrairement au dogme des autres partis et des organisations économiques, les bilatérales I n’apportent rien à la Suisse, si ce n’est des coûts!
Les syndicats en profitent
Selon les chercheurs britanniques, la chute des investissements et la baisse de la productivité sont les principaux canaux par lesquels l’immigration a réduit le PIB par habitant. La libre circulation des personnes a permis aux entreprises d’avoir accès à une main-d’œuvre étrangère nombreuse et bon marché, retardant ainsi les investissements nécessaires, quand on n’y a pas carrément renoncé. Résultat, les salaires baissent tandis que le rendement du capital augmente. Autrement dit, une immigration excessive a pour effet de rendre plus riches celles et ceux dont les revenus proviennent principalement des investissements en capital. Il semble donc presque grotesque que ce soit précisément les syndicats qui défendent avec autant de véhémence la libre circulation des personnes. La raison est pourtant simple: ces mêmes syndicats gagnent de l’argent grâce à l’immigration de masse: les mesures d’accompagnement introduites en réponse à la libre circulation des personnes leur permettent en effet de verser dans leurs caisses des millions chaque année.
La libre circulation des personnes a non seulement rendu la population suisse plus pauvre, les chercheurs estiment en effet que ces effets iront s’aggravant à l’avenir: à chaque fois que la zone euro connaîtra une crise, il faudra escompter avec une nouvelle immigration de masse. La pandémie du coronavirus a eu également pour effet une forte augmentation du nombre de chômeurs dans les pays voisins. C’est pourquoi nous avons plus que jamais urgemment besoin d’une immigration raisonnable.
Il faut donc dire OUI le 27 septembre à l’initiative de limitation.
Lisez intégralement l’étude ici: begrenzungsinitiative.ch
Voilà l’hypocrisie de ces ONG crapuleuses: https://www.24heures.ch/suisse/appels-multiplient-faveur-aquarius/story/28178713 qui affirment ce matin à la radio qu’on a pas de réfugiés en Suisse alors qu’ils débarquent en clandestins et sont nourris pas Caritas qui demande éternellement du fric. Les “catholiques” idiots utiles au service du terrorisme musulman !
Ce matin la RTS nous intoxique au profit exclusif des gauches donc une radio-tv squattée par le du PS. Après Madame Amaudruz, c’est au tour de l’inévitable Nordmann de prendre la parole. Mais la connasse de service appuie bien l’entrée en matière, dans le genre “alors le parti socialiste défend les pauvres…” comme si l’UDC ne pouvait pas aussi le faire mais de manière plus constructive en évitant d’en faire venir depuis l’étranger. En plus le dernier bouquin de Nordmann autoproclamé écolo vendu depuis l’année passée est déjà soldé à Fr. 5.- à la Fnac, ce qui en dit long sur sa notoriété et crédibilité.
Après cet épisode, sur une belle lancée gauchisante c’est au tour d’un représentant de CARITAS, digne des syndicats gauchistes, avec naturellement un accent étranger sur-mesure qui nous gratifie de ses théories sur les pauvres oubliant au passage que CARITAS EST PARTIE PRENANTE POUR ALLER CHERCHER DES MIGRANTS EN MER. Or l’individu ose dire qu’on n’a pas pris de réfugiés en Suisse… alors que c’est un flux continu et qu’ils passent nos frontières passoires sans obstacles pour aboutir dans les files de clandestins nourrie par LES INDUSTRIELS DE LA PAUVRETÉ DE CARITAS. FINALEMENT POUR CARITAS LES SUISSES DOIVENT PAYER POUR TOUTES LES CONNERIES DE LA PLANÈTE, PARCE QUE C’EST UNE TRADITION HUMANITAIRE DE LA SUISSE… Là ce minus doit penser que les billets de banques tombent des arbres aussi en continu et que l’affaire est bonne puisque le chiffre d’affaire de la pauvreté est en train d’exploser grâce aux importations de pauvres.
C’est clair que l’arrivée massive d’imbéciles porteur du Coranovirus ne va pas nous enrichir ! https://lesobservateurs.ch/2020/08/01/pres-de-70-des-migrants-arrives-a-malte-ont-ete-testes-positifs-au-coronavirus-annonce-le-gouvernement-maltais/ Et ce ne sont pas les clients de l’industrie de l’immigration de masse et ses faux réfugiés, dont Rocroa nous donne une excellente illustration, qui vont faire redresser le bateau qui coule.
En plus comme nous achetons plus à l’Europe que nous vendons, ON NE VOIT PAS POURQUOI LES SUISSES RENONCERAIENT AU RESTE DU MONDE POUR S’ASSURER UNE VÉRITABLE SÉCURITÉ D’APPROVISIONNEMENTS ET DE VENTES ET NON DES CHANTAGES A PERPÉTUITÉ d’une Europe UErss digne de l’URSS, raison suffisante pour avoir imposé aux Anglais la nécessité d’un brexit, alors que nous ne sommes même pas dans l’Europe et heureusement. Les accords bidons pour nous menotter à long terme définitivement à ce radeau de la méduse qu’est l’Europe, ça suffit !!!
C’est finalement la seule question à poser au Suisses: « Toi, personnellement, quels avantages les bilatérales t’ont-elles apportées? ». La réponse est simple: stagnation ou baisse des salaires, explosion du prix de l’immobilier, difficulté à trouver un logement, destruction des paysages pour construire une ville de 80’000 habitants chaque année depuis 13 ans, chômage à partir de 45-50 ans avec l’aide sociale au bout de 2 ans. Et destruction de ta retraite par la même occasion. Sans parler du facteur culturel: on n’est plus chez nous.