Ivres de leur victoire inespérée aux municipales, acquise grâce à l’abstention massive due au Covid-19, les Verts se lancent avec frénésie dans leur programme délirant.
Au nom d’un “état d’urgence climatique” imposé à leurs administrés, les maires écolos frappent tous azimuts. Transports, urbanisme, alimentation, rapports hommes/femmes, énergie, rien n’échappe à leur volonté de renverser la table.
Les diktats pleuvent sans la moindre concertation. Un règne sans partage parfaitement assumé, la démocratie et l’écoute du peuple n’étant pas la priorité de ces nouveaux élus.
Ici, on interdit les voitures. Là, on développe massivement les pistes cyclables au cœur des cités, au détriment des petits commerçants qui protestent sans la moindre chance d’être écoutés. Idéologie d’abord !
La “transition écologique” devient une véritable dictature, où les réalités économiques et sociales n’ont pas leur place.
On abandonne les grands projets d’urbanisme et d’infrastructure, comme les tours, les périphériques de contournement des villes, les grandes surfaces.
L’avion, comme la voiture, est devenu indésirable. L’ouverture de lignes aériennes est enterrée, les agrandissements d’aéroports abandonnés.
La clientèle d’affaires internationale va se raréfier ? Peu importe, elle n’est plus la bienvenue !
À Grenoble, ville écolo s’il en est, les permis de construire ont dégringolé de 40 % depuis 2014 !
Partout, la 5G est combattue, jugée nocive sans la moindre preuve scientifique. Car l’heure est au “Low tech” !
Pour promouvoir cette politique délirante, on crée des postes de conseillers municipaux aux titres éloquents.
On n’est plus adjoint à la sécurité, mais à la tranquillité publique, c’est plus soft. On voit des adjoints en charge du “défi climatique”, de “l’économie circulaire” ou de la “gouvernance par l’intelligence collective”. Du grand art !
Les slogans foisonnent : “économie sociale et solidaire”, ou “économie zéro déchet”.
À Nantes, les “pastèques” défilent en affirmant que “la première catastrophe écologique, c’est le capitalisme”.
Bref, c’est une dangereuse économie de la décroissance qui se met en place, alors que le Covid-19 a détruit 1 million d’emplois. C’est cela le bon sens écologique.
Et pas un mot sur l’insécurité, préoccupation majeure des Français après la vague d’agressions de l’été.
On n’installe plus des caméras de vidéo-surveillance, mais de vidéo-protection. Car chez les Verts, l’insécurité n’est pas une réalité mais un sentiment trompeur. Bref, un fantasme d’extrême-droite, dirait Dupond-Moretti.
À Grenoble, où le niveau de délinquance est supérieur de 53 % à celui des villes comparables, la sécurité n’est pas une priorité. Pourtant, pas moins de 7 fusillades ont ensanglanté la ville et semé la mort depuis fin juin. Gérald Darmanin a d’ailleurs souligné le laxisme de la municipalité en matière de sécurité.
L’image de “l’écolo beatnik” indifférent à l’insécurité n’est pas usurpée.
Quant à l’immigration qui désintègre la nation et l’islam conquérant qui mène son combat séparatiste, ce sont deux sujets sur lesquels les Verts ont toujours été très accommodants.
Rappelons que Jadot, immigrationniste acharné, veut créer un statut de réfugié climatique, statut qui pourrait concerner la moitié de l’humanité !!
Car chez les Verts, on diminue la taille du gâteau avec la décroissance, mais on augmente le nombre de convives avec l’immigration.
Cette ahurissante contradiction est gravée dans leur ADN.
Grands spécialistes des fadaises et des fariboles en tous genres, ces allumés de la transition climatique nous mènent à la ruine.
Proches de LFI et des islamo-gauchistes, les Verts ménagent leur électorat.
Ils se vantent d’être à la pointe du combat pour l’égalité hommes-femmes, mais ils se gardent bien de dénoncer l’état de soumission de la femme musulmane.
Pour terminer, soulignons quelques élucubrations vertes.
Dégenrer les cours de récréation, jugées trop masculines
Interdire la voiture en ville
Réquisitionner les logements vides
Faire du Tour de France un évènement indésirable
Interdire le survol de la ville par la Patrouille de France
Généraliser l’écriture inclusive, pourtant jugée comme étant un “péril mortel” pour notre langue par l’Académie française.
On le voit, les délires des Khmers verts sont sans limite. Élus pour six ans, ils ont largement le temps de ravager les cités dont ils ont la charge.
Et on imagine aisément le séisme économique, identitaire et sécuritaire, que provoquerait l’accession de ces clowns à la magistrature suprême en 2022.
Ils mettraient la France au rang du Liban en un seul quinquennat.
(source article du Figmag)
Jacques Guillemain
”Pour promouvoir cette politique délirante, on crée des postes de conseillers municipaux aux titres éloquents.”
L’efficacité de cette administraaaation est redoutable, surtout pour vider les caisses et augmenter les impôts et les taxes !!
”On le voit, les délires des Khmers verts sont sans limite. Élus pour six ans, ils ont largement le temps de ravager les cités dont ils ont la charge.”
Encore une fois les citoyens électeurs ont été trompé et roulé dans la farine !
”Généraliser l’écriture inclusive, pourtant jugée comme étant un “péril mortel” pour notre langue par l’Académie française.”
Toutes les méthodes pour cannibaliser notre culture sont déployées !!
”À Grenoble, où le niveau de délinquance est supérieur de 53 % à celui des villes comparables, la sécurité n’est pas une priorité. Pourtant, pas moins de 7 fusillades ont ensanglanté la ville et semé la mort depuis fin juin. Gérald Darmanin a d’ailleurs souligné le LAXISME de la municipalité en matière de sécurité.”
Postes très bien rémunérés à la municipalité de Grenoble !
Les Grenoblois apprécient cette atmosphère, puisque M. E. Piolle a été largement réélu !
https://www.liberation.fr/france/2020/03/16/grenoble-le-sortant-vert-eric-piolle-bien-en-tete-et-ultrafavori_1781895